« La presse spécialisée se fait l’écho d’une communication orchestrée par les majoritaires vantant des perspectives positives et une restructuration de la gouvernance de FRAM. Il n’en est rien.
Depuis décembre 2006, les actionnaires minoritaires de Voyages FRAM représentés par Marie-Christine CHAUBET POLDERMAN n’ont aucun siège au conseil de surveillance et ne sont en mesure d’accéder à aucune information concernant la stratégie et la poursuite du plan de restructuration et de transformation de l’entreprise mis en oeuvre par Marie-christine CHAUBET depuis l’automne 2005.
Aucun business plan n’a été présenté aux actionnaires minoritaires, malgré une demande expresse formulée lors de l’AGO du 12 juin 2007
En outre, les minoritaires n’ont pas eu accès aux comptes des filiales et c’est dans l’urgence, en infraction totale aux règles élémentaires des sociétés commerciales, que les comptes consolidés du groupe ont été approuvés alors que certaines filiales n’ont toujours pas réuni valablement leurs assemblées générales.
Depuis décembre 2006, les actionnaires minoritaires de Voyages FRAM représentés par Marie-Christine CHAUBET POLDERMAN n’ont aucun siège au conseil de surveillance et ne sont en mesure d’accéder à aucune information concernant la stratégie et la poursuite du plan de restructuration et de transformation de l’entreprise mis en oeuvre par Marie-christine CHAUBET depuis l’automne 2005.
Aucun business plan n’a été présenté aux actionnaires minoritaires, malgré une demande expresse formulée lors de l’AGO du 12 juin 2007
En outre, les minoritaires n’ont pas eu accès aux comptes des filiales et c’est dans l’urgence, en infraction totale aux règles élémentaires des sociétés commerciales, que les comptes consolidés du groupe ont été approuvés alors que certaines filiales n’ont toujours pas réuni valablement leurs assemblées générales.
Marie-Christine CHAUBET
Enfin, depuis décembre 2006, une action judiciaire a été introduite par Marie-Christine CHAUBET POLDERMAN et ses proches afin de faire annuler une cession de titres représentant 21% du capital de l’entreprise familiale au profit de Georges COLSON. C’est cette acquisition qui a permis le renversement de la famille CHAUBET POLDERMAN.
Cette action judiciaire en phase d’aboutissement met clairement en évidence des irrégularités caractérisées à des règles d’ordre public, à commencer par le prix déclaré à l’administration fiscale pour cette transaction : 10 millions d’euro.
Les minoritaires savent que la justice saura faire la lumière sur les conditions dans lesquelles la famille CHAUBET POLDERMAN a été illégalement et injustement évincée de l’entreprise.
AIR France, actionnaire historique de FRAM devra expliquer pourquoi, après avoir donné son soutien à Marie-Christine CHAUBET, elle a fait volte face à l’automne 2006 en participant activement à son éviction.
Informée de l’existence de cette action judiciaire, AIR France doit révéler ses réelles intentions et se prononcer sur la volonté exprimée dans le passé d’apporter son expertise et son soutien à une entreprise toulousaine, indépendante et joyau du tourisme français.
Ces propos n’auraient pas lieu d’être s’ils n’étaient pas motivés par la décision prise par les majoritaires soutenus par AIR France d’engager depuis plusieurs mois une démarche de vente de la société familiale à des fonds d’investissements.
C’est la stratégie de la spéculation et du pillage d’une entreprise saine et riche en fonds propres plutôt que du soutien d’un plan ambitieux de restructuration et de transformation qui motivent les décisions de la gouvernance actuelle de VOYAGES FRAM.
Ce sont 500 emplois sur Toulouse et 4000 dans le monde qui risquent à très moyen terme de disparaître au profit de l’enrichissement de spéculateurs.
A l’heure où la France va mal, la famille POLDERMAN engagée depuis 1949 grâce à l’œuvre de Philippe POLDERMAN dans la réussite de VOYAGES FRAM et l’épanouissement de ses collaborateurs, s’inquiète de l’avenir de l’entreprise.
Marie-Christine CHAUBET POLDERMAN
(*) La Rédaction a souligné les passages qui lui semblaient les plus significatifs.
Cette action judiciaire en phase d’aboutissement met clairement en évidence des irrégularités caractérisées à des règles d’ordre public, à commencer par le prix déclaré à l’administration fiscale pour cette transaction : 10 millions d’euro.
Les minoritaires savent que la justice saura faire la lumière sur les conditions dans lesquelles la famille CHAUBET POLDERMAN a été illégalement et injustement évincée de l’entreprise.
AIR France, actionnaire historique de FRAM devra expliquer pourquoi, après avoir donné son soutien à Marie-Christine CHAUBET, elle a fait volte face à l’automne 2006 en participant activement à son éviction.
Informée de l’existence de cette action judiciaire, AIR France doit révéler ses réelles intentions et se prononcer sur la volonté exprimée dans le passé d’apporter son expertise et son soutien à une entreprise toulousaine, indépendante et joyau du tourisme français.
Ces propos n’auraient pas lieu d’être s’ils n’étaient pas motivés par la décision prise par les majoritaires soutenus par AIR France d’engager depuis plusieurs mois une démarche de vente de la société familiale à des fonds d’investissements.
C’est la stratégie de la spéculation et du pillage d’une entreprise saine et riche en fonds propres plutôt que du soutien d’un plan ambitieux de restructuration et de transformation qui motivent les décisions de la gouvernance actuelle de VOYAGES FRAM.
Ce sont 500 emplois sur Toulouse et 4000 dans le monde qui risquent à très moyen terme de disparaître au profit de l’enrichissement de spéculateurs.
A l’heure où la France va mal, la famille POLDERMAN engagée depuis 1949 grâce à l’œuvre de Philippe POLDERMAN dans la réussite de VOYAGES FRAM et l’épanouissement de ses collaborateurs, s’inquiète de l’avenir de l’entreprise.
Marie-Christine CHAUBET POLDERMAN
(*) La Rédaction a souligné les passages qui lui semblaient les plus significatifs.