A peine Olivier de Nicolas renvoyé, Marie-Christine Chaubet et sa fille Marie-Odile Chaubet, ont tenu à faire entendre leur différence.
Dans un communiqué que s'est procuré notre confrère, la 2e actionnaire de référence du Groupe qui se déclare en préambule « consternées » par la « révocation » d'Olivier de Nicola, qui avait « toute leur confiance ».
Elle apporte aussi un « un démenti catégorique au fait qu'elle aurait donné son accord pour siéger au conseil de surveillance », ce qu'avait déclaré vendredi dernier Alain Faveau, nouveau président de cette instance.
Enfin, les deux femmes se déclarent « opposées à toute gestion hasardeuse qui consisterait à compenser des pertes récurrentes par des cessions d'actifs qui ne pourraient être réalisées en cette période complexe que de manière précipitée et non maîtrisée ».
Interrogé par « Les Echos », leur conseil explique que « Marie-Christine Chaubet souhaite une recapitalisation. Elle veut contribuer au sauvetage du groupe mais avec une gouvernance qui tienne la route. Elle n'est pas dans une guerre de tranchée ».
Selon ce même conseil, « il faut 15 millions d'euros pour sauver FRAM, 30 millions pour pérenniser le groupe ».
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Dans un communiqué que s'est procuré notre confrère, la 2e actionnaire de référence du Groupe qui se déclare en préambule « consternées » par la « révocation » d'Olivier de Nicola, qui avait « toute leur confiance ».
Elle apporte aussi un « un démenti catégorique au fait qu'elle aurait donné son accord pour siéger au conseil de surveillance », ce qu'avait déclaré vendredi dernier Alain Faveau, nouveau président de cette instance.
Enfin, les deux femmes se déclarent « opposées à toute gestion hasardeuse qui consisterait à compenser des pertes récurrentes par des cessions d'actifs qui ne pourraient être réalisées en cette période complexe que de manière précipitée et non maîtrisée ».
Interrogé par « Les Echos », leur conseil explique que « Marie-Christine Chaubet souhaite une recapitalisation. Elle veut contribuer au sauvetage du groupe mais avec une gouvernance qui tienne la route. Elle n'est pas dans une guerre de tranchée ».
Selon ce même conseil, « il faut 15 millions d'euros pour sauver FRAM, 30 millions pour pérenniser le groupe ».
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