Il reste encore des emplois à pourvoir dans le premier hôtel du groupe Peninsula en Europe.
Sylvie Quintin, la directrice des ressources humaines, organise vendredi 9 et samedi 10 mai 2014, deux journées de recrutement dans les salons de l'aéro-club de France.
Son but : trouver 360 collaborateurs pour des fonctions opérationnelles au sein du futur palace avenue Kléber.
Des postes qui se répartissent entre l'hébergement (réceptionniste, femmes de chambre, voituriers bagagistes) et la restauration (serveur, sommelier, barman.)
Environ 500 personnes ont été pré-sélectionnées pour participer à ces journées sur les 1000 CV reçus.
Au total, l'hôtel a récolté près de 3 000 candidatures tous postes confondus.
Certaines ont été envoyées sur le site carrière du groupe, d'autres via les réseaux sociaux (Viadéo, LinkedIn). Environ 150 personnes occupant les fonctions support et managériales ont déjà été engagées.
La DRH a également reçu quelques demandes de la part d'employés d'autres palaces parisiens qui ont fermé leurs portes pour rénovation, comme le Lutetia, ou dans une moindre mesure le Ritz et le Crillon.
Sylvie Quintin, la directrice des ressources humaines, organise vendredi 9 et samedi 10 mai 2014, deux journées de recrutement dans les salons de l'aéro-club de France.
Son but : trouver 360 collaborateurs pour des fonctions opérationnelles au sein du futur palace avenue Kléber.
Des postes qui se répartissent entre l'hébergement (réceptionniste, femmes de chambre, voituriers bagagistes) et la restauration (serveur, sommelier, barman.)
Environ 500 personnes ont été pré-sélectionnées pour participer à ces journées sur les 1000 CV reçus.
Au total, l'hôtel a récolté près de 3 000 candidatures tous postes confondus.
Certaines ont été envoyées sur le site carrière du groupe, d'autres via les réseaux sociaux (Viadéo, LinkedIn). Environ 150 personnes occupant les fonctions support et managériales ont déjà été engagées.
La DRH a également reçu quelques demandes de la part d'employés d'autres palaces parisiens qui ont fermé leurs portes pour rénovation, comme le Lutetia, ou dans une moindre mesure le Ritz et le Crillon.
Parler anglais : une qualité indispensable
Au-delà des attentes classiques en terme de savoir-faire sur chaque métier, Sylvie Quintin recherche avant tout des passionnés. "Je souhaite que les candidats aient envie de faire plaisir à nos clients. Ils doivent avoir des étoiles dans les yeux en travaillant".
L'expérience au sein de l'hôtellerie de luxe n'est pas nécessaire, les candidats doivent simplement faire preuve de leur motivation et de leur envie d'apprendre.
En revanche, la maîtrise de l'anglais est indispensable et la pratique d'une seconde langue vivement conseillée, notamment le Russe, le Chinois, ou le Brésilien.
Sylvie Quintin veille à constituer une équipe cosmopolite et diversifiée, recrutant des jeunes mais aussi des employés plus expérimentés. Le tout chapeauté par une douzaine de personnes provenant d'autres Peninsula, qui apporteront leur connaissance et le savoir-faire du groupe.
Une fois embauchés, les nouveaux salariés bénéficient d'un programme de formation de deux semaines à un mois pour découvrir les méthodes de travail.
"Nous avons une véritable politique de fidélisation de nos collaborateurs. Grâce à nos plans de formation, ils ont de véritables perspectives de carrière au sein de l'entreprise" poursuit la DRH.
Si les possibilités de mobilité internationale restent aujourd'hui limitées, du fait de la taille du groupe, la perspective de l'ouverture d'un établissement à Londres devrait en séduire certains.
Et pour ceux qui n'ont pas encore postulé, Sylvie Quitin estime qu'il restera encore une soixantaine de places vacantes après ces deux journées de recrutement.
Vous pouvez encore envoyer votre candidature sur le site internet dédié.
L'expérience au sein de l'hôtellerie de luxe n'est pas nécessaire, les candidats doivent simplement faire preuve de leur motivation et de leur envie d'apprendre.
En revanche, la maîtrise de l'anglais est indispensable et la pratique d'une seconde langue vivement conseillée, notamment le Russe, le Chinois, ou le Brésilien.
Sylvie Quintin veille à constituer une équipe cosmopolite et diversifiée, recrutant des jeunes mais aussi des employés plus expérimentés. Le tout chapeauté par une douzaine de personnes provenant d'autres Peninsula, qui apporteront leur connaissance et le savoir-faire du groupe.
Une fois embauchés, les nouveaux salariés bénéficient d'un programme de formation de deux semaines à un mois pour découvrir les méthodes de travail.
"Nous avons une véritable politique de fidélisation de nos collaborateurs. Grâce à nos plans de formation, ils ont de véritables perspectives de carrière au sein de l'entreprise" poursuit la DRH.
Si les possibilités de mobilité internationale restent aujourd'hui limitées, du fait de la taille du groupe, la perspective de l'ouverture d'un établissement à Londres devrait en séduire certains.
Et pour ceux qui n'ont pas encore postulé, Sylvie Quitin estime qu'il restera encore une soixantaine de places vacantes après ces deux journées de recrutement.
Vous pouvez encore envoyer votre candidature sur le site internet dédié.