Au cours du premier trimestre 2012, les performances des hôtels français ont connu une hausse de +3%, avec des activités séminaires et affaires.
Selon les données de MKG, ces résultats sont équivalents à ceux observés lors des années précédentes. Pourtant, jusqu'alors, un ralentissement était normalement observé en période électorale.
En moyenne, le revenu par chambre disponible (RevPAR), progresse de +3%. Selon le cabinet d'études, cette augmentation est en grande partie due à de très bons résultats obtenus par l'hôtellerie hexagonale en mars 2012.
Au cours de ces 3 premiers mois de l'année, le RevPAR est en hausse de +1,8 % pour les établissements économiques (2 étoiles), de +1,9 % pour les moyen de gamme et de 2,3 % pour le segment super-économique (1 étoile).
De leur côté, les hôtels haut de gamme (4 et 5 étoiles) tirent allègrement leur épingle du jeu avec une progression de +4,6 %.
"Aujourd'hui, il apparaît plus clairement que la France fonctionne sur le mode « Business as usual » et que les responsables ont déjà intégré ou ne sont pas paralysés par un éventuel changement de direction politique", analyse Georges Panayotis, président de MKG Group.
Le cabinet ajoute que la progression observée du RevPAR est aussi causée par "la contraction régulière du parc national hôtelier."
Avec la nouvelle classification et les nouvelles normes de sécurité, de nombreux petits établissements ont été contraints de fermer leurs portes. Par conséquent, le nombre de chambres diminue. Ce qui fait progresser le taux d'occupation et les prix moyens.
Selon les données de MKG, ces résultats sont équivalents à ceux observés lors des années précédentes. Pourtant, jusqu'alors, un ralentissement était normalement observé en période électorale.
En moyenne, le revenu par chambre disponible (RevPAR), progresse de +3%. Selon le cabinet d'études, cette augmentation est en grande partie due à de très bons résultats obtenus par l'hôtellerie hexagonale en mars 2012.
Au cours de ces 3 premiers mois de l'année, le RevPAR est en hausse de +1,8 % pour les établissements économiques (2 étoiles), de +1,9 % pour les moyen de gamme et de 2,3 % pour le segment super-économique (1 étoile).
De leur côté, les hôtels haut de gamme (4 et 5 étoiles) tirent allègrement leur épingle du jeu avec une progression de +4,6 %.
"Aujourd'hui, il apparaît plus clairement que la France fonctionne sur le mode « Business as usual » et que les responsables ont déjà intégré ou ne sont pas paralysés par un éventuel changement de direction politique", analyse Georges Panayotis, président de MKG Group.
Le cabinet ajoute que la progression observée du RevPAR est aussi causée par "la contraction régulière du parc national hôtelier."
Avec la nouvelle classification et les nouvelles normes de sécurité, de nombreux petits établissements ont été contraints de fermer leurs portes. Par conséquent, le nombre de chambres diminue. Ce qui fait progresser le taux d'occupation et les prix moyens.