En janvier 2013, l'activité des hôtels français a baissé ce qui a provoqué un recul du chiffre d'affaires, y compris à Paris et sur la Côte d'Azur, selon le Baromètre mensuel des performances hôtelières du cabinet InExtenso-Deloitte publié mardi 5 mars 2013.
Les établissements ont vu leur CA diminuer de 2% à 3% par rapport à janvier 2012. "La grande majorité des destinations françaises est touchée par cette tendance lourde", précise le rapport.
Les reculs les plus importants sont constatés en province avec des baisses qui atteignent -12% pour certaines zones.
A Paris, le revenu par chambre disponible (RevPAR) diminue de 3,2% pour le haut de gamme et le grand luxe et de 3,1 % pour l'économique. En revanche, il progresse de 1,4% pour le milieu de gamme.
Sur la Côte d'Azur, le RevPAR chute de 0,9% à 12% selon les segments (-6,9% pour le Grand Luxe, -12% pour le Haut de Gamme, -0,9% pour le Milieu de Gamme et -7,7% pour le Super-Eco).
Les mauvaises performances des établissements français sont courantes à cette période de l'année mais elles sont aggravées par "une conjoncture économique difficile", explique le cabinet.
Dans ce contexte, quelques destinations parviennent tout de même à tirer leur épingle du jeu. C'est le cas de Lyon qui a profité du salon Sirha ou de Monaco qui jouit d'un calendrier d'évènements dense.
Au global, les taux d'occupation (TO) sont en baisse de 3,3% à 6% sur l'ensemble des segments alors que, dans un même temps, les prix moyens ont augmenté de 0,6% à 4,7%.
Les établissements ont vu leur CA diminuer de 2% à 3% par rapport à janvier 2012. "La grande majorité des destinations françaises est touchée par cette tendance lourde", précise le rapport.
Les reculs les plus importants sont constatés en province avec des baisses qui atteignent -12% pour certaines zones.
A Paris, le revenu par chambre disponible (RevPAR) diminue de 3,2% pour le haut de gamme et le grand luxe et de 3,1 % pour l'économique. En revanche, il progresse de 1,4% pour le milieu de gamme.
Sur la Côte d'Azur, le RevPAR chute de 0,9% à 12% selon les segments (-6,9% pour le Grand Luxe, -12% pour le Haut de Gamme, -0,9% pour le Milieu de Gamme et -7,7% pour le Super-Eco).
Les mauvaises performances des établissements français sont courantes à cette période de l'année mais elles sont aggravées par "une conjoncture économique difficile", explique le cabinet.
Dans ce contexte, quelques destinations parviennent tout de même à tirer leur épingle du jeu. C'est le cas de Lyon qui a profité du salon Sirha ou de Monaco qui jouit d'un calendrier d'évènements dense.
Au global, les taux d'occupation (TO) sont en baisse de 3,3% à 6% sur l'ensemble des segments alors que, dans un même temps, les prix moyens ont augmenté de 0,6% à 4,7%.
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