Alors que l’entreprise s’attendait à de bons résultats en avril dernier, le volcan islandais est venu réduire en cendres toutes ses prévisions.
En effet, la Norvège a été la première à fermer son espace aérien suite à l’éruption. Il a donc fallu prendre en charge les voyageurs, pour un coût estimé entre 150 000 et 200 000€. Mais aussi convaincre les autres de partir.
« Nous avons énormément communiqué pour expliquer que le pays n’était pas plongé dans un nuage de cendre opaque » se souvient Christine Bois-Beauval, la directrice.
Autre effet pervers, cette crise a eu lieu en pleine période de réservations pour Hurtigruten. Pour tenter de sauver la saison, les brochures 2011 ont donc été envoyées beaucoup plus tôt dans les agences.
L’Express Côtier s’est ainsi retrouvé dès le mois de mai sur les présentoirs. Et les réservations ont augmenté de 10 à 15% pour 2011.
La brochure croisières d’exploration a été diffusée en juillet et on compte déjà une hausse de 50% des réservations pour le Spitzberg. Un grand soulagement qui permettra de limiter la casse sur le chiffre d’affaire. Hurtigruten s’attend à 11,5M€ cette année, contre 12,3M€ l’année dernière.
En effet, la Norvège a été la première à fermer son espace aérien suite à l’éruption. Il a donc fallu prendre en charge les voyageurs, pour un coût estimé entre 150 000 et 200 000€. Mais aussi convaincre les autres de partir.
« Nous avons énormément communiqué pour expliquer que le pays n’était pas plongé dans un nuage de cendre opaque » se souvient Christine Bois-Beauval, la directrice.
Autre effet pervers, cette crise a eu lieu en pleine période de réservations pour Hurtigruten. Pour tenter de sauver la saison, les brochures 2011 ont donc été envoyées beaucoup plus tôt dans les agences.
L’Express Côtier s’est ainsi retrouvé dès le mois de mai sur les présentoirs. Et les réservations ont augmenté de 10 à 15% pour 2011.
La brochure croisières d’exploration a été diffusée en juillet et on compte déjà une hausse de 50% des réservations pour le Spitzberg. Un grand soulagement qui permettra de limiter la casse sur le chiffre d’affaire. Hurtigruten s’attend à 11,5M€ cette année, contre 12,3M€ l’année dernière.
Des réductions pour early-booking
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Coté politique tarifaire, finies les avalanches de promotions, qui n’ont pas été très efficaces. Place désormais à l’early-booking, une habitude bien difficile à prendre pour les Français.
Pour les inciter, Hurtigruten a mis en place des offres spéciales. Ainsi toute réservation sur l’Express Côtier avant le 30 septembre donne droit à une réduction de 20%, réduite à 15% entre le 1 octobre et le 31 décembre.
Concernant les croisières d’exploration, les réductions consenties s’élèvent à 20% jusqu’au 31 décembre.
De plus, aucun supplément cabine ne sera appliqué dans l’Hurtigruten pour les passagers individuels jusqu’au 14 avril 2011.
Pour les inciter, Hurtigruten a mis en place des offres spéciales. Ainsi toute réservation sur l’Express Côtier avant le 30 septembre donne droit à une réduction de 20%, réduite à 15% entre le 1 octobre et le 31 décembre.
Concernant les croisières d’exploration, les réductions consenties s’élèvent à 20% jusqu’au 31 décembre.
De plus, aucun supplément cabine ne sera appliqué dans l’Hurtigruten pour les passagers individuels jusqu’au 14 avril 2011.
Devenir la référence des croisières polaire
Au chapitre des nouveautés, pas facile d’innover quand on existe depuis 1893. Pourtant, Hurtigruten tente de proposer des nouvelles croisières thématiques pour partir observer les oiseaux, ou naviguer sur la musique de Grieg, le célèbre compositeur norvégien.
Hurtigruten élargit également sa production de croisières en Europe, afin de répondre aux demandes des clients fidèles et occuper les bateaux pendant la basse saison.
Enfin, concernant les contrées polaires, son ambition est assumée. « Notre objectif est de devenir la référence en matière de croisières en Arctique, mais aussi en Antarctique » résume Christine Bois-Beauval. A ce jour, 30 dates sont proposées au Spitzberg, 6 au Groenland et 10 en Antarctique.
Hurtigruten élargit également sa production de croisières en Europe, afin de répondre aux demandes des clients fidèles et occuper les bateaux pendant la basse saison.
Enfin, concernant les contrées polaires, son ambition est assumée. « Notre objectif est de devenir la référence en matière de croisières en Arctique, mais aussi en Antarctique » résume Christine Bois-Beauval. A ce jour, 30 dates sont proposées au Spitzberg, 6 au Groenland et 10 en Antarctique.