La clientèle de l’après Covid-19 devrait être de plus en plus attentive aux questions de préservation de l’environnement. /crédit JDL
Le rebond de l'hôtellerie polynésienne, malgré la pandémie, est encourageant.
Il a bénéficié également du protocole sanitaire renforcé de la destination qui, outre le PCR, teste les arrivants 4 jours après grâce à un kit qui est ensuite remis par les vacanciers aux autorités.
Mais cela ne suffira pas. Les hôteliers craignent unanimement une crise structurelle plus profonde, avec l’entrée dans la basse saison à partir de fin octobre...
Car les défis à relever sont immenses, compte tenu des facteurs propres au pays.
Parmi eux, la distance et les dessertes aériennes, l’avancée et l'ouverture des frontières de la région Pacifique, compte-tenu de la Covid-19, ou encore des hôtels qui n’ont pas pris suffisamment en compte la nouvelle donne éco6environnementale.
La clientèle nord-américaine qui représente près de 50% des visiteurs était moins présente cette année, et les réservations pour la basse saison qui arrive et se prolongera jusqu’en mars 2021, n’augurent pas d’une période faste.
Il a bénéficié également du protocole sanitaire renforcé de la destination qui, outre le PCR, teste les arrivants 4 jours après grâce à un kit qui est ensuite remis par les vacanciers aux autorités.
Mais cela ne suffira pas. Les hôteliers craignent unanimement une crise structurelle plus profonde, avec l’entrée dans la basse saison à partir de fin octobre...
Car les défis à relever sont immenses, compte tenu des facteurs propres au pays.
Parmi eux, la distance et les dessertes aériennes, l’avancée et l'ouverture des frontières de la région Pacifique, compte-tenu de la Covid-19, ou encore des hôtels qui n’ont pas pris suffisamment en compte la nouvelle donne éco6environnementale.
La clientèle nord-américaine qui représente près de 50% des visiteurs était moins présente cette année, et les réservations pour la basse saison qui arrive et se prolongera jusqu’en mars 2021, n’augurent pas d’une période faste.
Une clientèle attentive aux questions de préservation de l’environnement
S’y ajoute le casse-tête de l’obtention des tests PCR de moins de 72h pour la clientèle de Métropole, même si un dispositif d’urgence est prévu pour être déployé dans les aéroports, selon Nicole Bouteau, la ministre du Tourisme et Jean-Marc Mocellin, directeur général de Tahiti Tourism, qui étaient de visite dernièrement à Paris. (LIRE)
La clientèle de l’après Covid-19 devrait être de plus en plus attentive aux questions de préservation de l’environnement.
Ce dernier va devenir un véritable argument marketing et commercial pour les chaînes qui veulent attirer des clients de plus en plus soucieux de gestion durable.
TourMaG.com, est allé à la rencontre de deux Groupes polynésiens majeurs (Pacific Beachcomber et Pearl Resorts of Tahiti pour prendre la température de certains établissements et apprécier la (longue) marche vers des politiques d’investissements durables et des enjeux humains et financiers qu'ils sous-tendent.
La clientèle de l’après Covid-19 devrait être de plus en plus attentive aux questions de préservation de l’environnement.
Ce dernier va devenir un véritable argument marketing et commercial pour les chaînes qui veulent attirer des clients de plus en plus soucieux de gestion durable.
TourMaG.com, est allé à la rencontre de deux Groupes polynésiens majeurs (Pacific Beachcomber et Pearl Resorts of Tahiti pour prendre la température de certains établissements et apprécier la (longue) marche vers des politiques d’investissements durables et des enjeux humains et financiers qu'ils sous-tendent.
Premier volet demain avec l’interview de Laurent Campi, directeur général du Taha’a Island resort & Spa *****, historiquement le 1er Relais et Châteaux de Polynésie française
Enquête de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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