Pour plus des deux tiers (67%), les effets de la crise économique pèsent toujours lourdement sur la demande touristique.
Cependant, grâce à la fréquentation liée aux vacances de Pâques, 42% d’entre eux jugent « bonne » l’activité du mois écoulé.
Si la plupart des professionnels de la destination Paris Île-de-France estiment que la fréquentation touristique est en baisse, les professionnels de la Grande Couronne font état d’une activité touristique globalement plus mauvaise que ceux de Paris et de la Petite Couronne.
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite les Allemands, les Italiens, les Espagnols et les Américains qui se suivent de très près.
La fréquentation de la plupart des clientèles de proximité a été dynamisée par la période des vacances scolaires de Pâques propices aux courts séjours urbains.
L’état des réservations pour mai est jugé « moyen » par 46% des professionnels interrogés, « bon » voire « très bon » par 32% et « mauvais » voire « très mauvais » par 22%. A moyen terme, 38% d’entre eux prévoient une stabilisation de l’activité, 33% une dégradation et 29% une amélioration.
(*) Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.
Cependant, grâce à la fréquentation liée aux vacances de Pâques, 42% d’entre eux jugent « bonne » l’activité du mois écoulé.
Si la plupart des professionnels de la destination Paris Île-de-France estiment que la fréquentation touristique est en baisse, les professionnels de la Grande Couronne font état d’une activité touristique globalement plus mauvaise que ceux de Paris et de la Petite Couronne.
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite les Allemands, les Italiens, les Espagnols et les Américains qui se suivent de très près.
La fréquentation de la plupart des clientèles de proximité a été dynamisée par la période des vacances scolaires de Pâques propices aux courts séjours urbains.
L’état des réservations pour mai est jugé « moyen » par 46% des professionnels interrogés, « bon » voire « très bon » par 32% et « mauvais » voire « très mauvais » par 22%. A moyen terme, 38% d’entre eux prévoient une stabilisation de l’activité, 33% une dégradation et 29% une amélioration.
(*) Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.
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