A dix minutes de route, passons de Rocamadour, la vertigineuse, à Padirac, la profonde.
Il a fallu des dizaines de millénaires à l’eau pour créer Padirac, le plus célèbre gouffre d’Europe.
Longtemps maudit il a terrorisé les autochtones qui voyaient là « Le trou du diable ». Pour exorciser les croyances locales un avocat, Alfred Martel, passionné de géologie, a du s’aventurer au fond du gouffre.
Et quelle aventure, sans électricité, avec seulement une pelle une pioche et une brouette!
Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 450 000 visiteurs qui chaque année s’engouffrent à 103 mètres de profondeur pour embarquer sur un bateau à fond plat.
La rivière souterraine joue à cache- cache dans un itinéraire de cavités aux formes les plus diverses : champignons, candélabres, dentelles de roche, pile d’assiettes.
Au lac de la pluie on découvre la « Grande Pendeloque » haute de 60 mètres et qui tombe dans l’eau ainsi que la « Grande Colonne » de 75 mètres pour finir aux cascades de la salle du Grands Dôme dont la voûte est une des plus grande d’Europe (94 mètres).
On termine alors par une ascension en passerelle qui offre de superbes vues sur les lacs. C’est beau à couper le souffle. S’il vous en reste !
Il a fallu des dizaines de millénaires à l’eau pour créer Padirac, le plus célèbre gouffre d’Europe.
Longtemps maudit il a terrorisé les autochtones qui voyaient là « Le trou du diable ». Pour exorciser les croyances locales un avocat, Alfred Martel, passionné de géologie, a du s’aventurer au fond du gouffre.
Et quelle aventure, sans électricité, avec seulement une pelle une pioche et une brouette!
Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 450 000 visiteurs qui chaque année s’engouffrent à 103 mètres de profondeur pour embarquer sur un bateau à fond plat.
La rivière souterraine joue à cache- cache dans un itinéraire de cavités aux formes les plus diverses : champignons, candélabres, dentelles de roche, pile d’assiettes.
Au lac de la pluie on découvre la « Grande Pendeloque » haute de 60 mètres et qui tombe dans l’eau ainsi que la « Grande Colonne » de 75 mètres pour finir aux cascades de la salle du Grands Dôme dont la voûte est une des plus grande d’Europe (94 mètres).
On termine alors par une ascension en passerelle qui offre de superbes vues sur les lacs. C’est beau à couper le souffle. S’il vous en reste !
Des chèvres, des rapaces...
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On peut, à l’envie, poursuivre l’itinérance par un voyage temporel : château, villages, grottes ici tout nous parle de l’histoire et du passé. Le présent lui aussi trouve sa place avec des artisans créateurs comme ce savonnier ou ces défenseurs des animaux sauvages.
Xavier et Florence, par exemple, vous rendent chèvre : c’est emballé dans des boites de feuille de peuplier (comme le camembert !) ça a la couleur, la forme du fromage Rocamadour mais …c’est un savon au lait de chèvre !
Incroyable success-story pour ce jeune couple qui fournit les hôtels locaux et expédie sa production (totalement locale) soit 60 000 pièces par an (France, Amérique du Nord, Grande Bretagne, Japon).
Installés à Rocamadour, ils expliquent leur succès par l’originalité du produit mais encore par ses qualités dermatologiques.
Plusieurs fois par jour, pendant plus d’une heure, le ciel de Rocamadour est tapissé de l’ombre des rapaces du, désormais célèbre, Rocher des Aigles.
Un site créé, il y a 40 ans, par Arnaud Raphael, un ornithologue qui ,pour satisfaire sa passion, a quitté l’industrie pétrolière.
Aujourd’hui le Rocher des Aigles emploie 22 personnes (à parité totale hommes/ femmes) et compte plus de 400 oiseaux de 60 espèces.
Le temps d’un spectacle commenté on suit le rythme de vie des oiseaux .On découvre leur mode de vie : acrobatie des milans, pêche des aigles, l’usage de l’outil par le vautour, les perchoirs des Chicanos, les retours en vol piqué et au sol la marche de Gudule pour les petits.
Le Rocher des Aigles qui recueille les oiseaux blessés est aussi le plus grand centre de reproduction d’Europe.
Xavier et Florence, par exemple, vous rendent chèvre : c’est emballé dans des boites de feuille de peuplier (comme le camembert !) ça a la couleur, la forme du fromage Rocamadour mais …c’est un savon au lait de chèvre !
Incroyable success-story pour ce jeune couple qui fournit les hôtels locaux et expédie sa production (totalement locale) soit 60 000 pièces par an (France, Amérique du Nord, Grande Bretagne, Japon).
Installés à Rocamadour, ils expliquent leur succès par l’originalité du produit mais encore par ses qualités dermatologiques.
Plusieurs fois par jour, pendant plus d’une heure, le ciel de Rocamadour est tapissé de l’ombre des rapaces du, désormais célèbre, Rocher des Aigles.
Un site créé, il y a 40 ans, par Arnaud Raphael, un ornithologue qui ,pour satisfaire sa passion, a quitté l’industrie pétrolière.
Aujourd’hui le Rocher des Aigles emploie 22 personnes (à parité totale hommes/ femmes) et compte plus de 400 oiseaux de 60 espèces.
Le temps d’un spectacle commenté on suit le rythme de vie des oiseaux .On découvre leur mode de vie : acrobatie des milans, pêche des aigles, l’usage de l’outil par le vautour, les perchoirs des Chicanos, les retours en vol piqué et au sol la marche de Gudule pour les petits.
Le Rocher des Aigles qui recueille les oiseaux blessés est aussi le plus grand centre de reproduction d’Europe.
... et des singes !
Dans une forêt de 20 hectares, 150 macaques de Barbarie (issus des hauts plateaux algériens et marocains) évoluent devant nous en toute liberté dans la Forêt des Singes.
La gourmandise les pousse jusqu’au bord du chemin pour venir chaparder le pop corn dans la main des visiteurs.
Tout au long du parcours des guides surveillent et expliquent les attitudes et comportement des animaux. Les séances des repas sont des moments clés, à ne pas manquer.
Chaque jour 100 kg de fruits et légumes et 60 kg de céréales, sont distribués aux pensionnaires.
Tous les ans 150 000 visiteurs viennent observer ces macaques qui nous singent. A moins que ce ne soit l’inverse !
La gourmandise les pousse jusqu’au bord du chemin pour venir chaparder le pop corn dans la main des visiteurs.
Tout au long du parcours des guides surveillent et expliquent les attitudes et comportement des animaux. Les séances des repas sont des moments clés, à ne pas manquer.
Chaque jour 100 kg de fruits et légumes et 60 kg de céréales, sont distribués aux pensionnaires.
Tous les ans 150 000 visiteurs viennent observer ces macaques qui nous singent. A moins que ce ne soit l’inverse !
Renseignements
www.tourisme-lot.com
www.vallee-dordogne.com
Séjours groupes
00 33 (0)5 65 33 22 03 / sejour@vallee-dordogne.com
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