C'est en novembre 2023 que l'Icon of The Seas a quitté les chantiers de Turku, en Finlande, pour rejoindre Miami, son port d'attache @RCCL.
C’est assurément l’un des évènements majeurs dans l’histoire de la croisière qui va se dérouler samedi 27 janvier 2024. L’Icon of The Seas, le dernier né de Royal Carribean (RCCL), va quitter son port d’attache, Miami, où il sera basé toute l’année, pour une croisière de 7 nuits en direction des Caraïbes.
L’Icon of The Seas est le premier paquebot qui compose la classe Icon, elle s’ajoute aux six autres dont Oasis, qui s’apprête à recevoir son sixième navire, l’Utopia, actuellement en construction à Saint-Nazaire.
Emmanuel Joly, agent général en France de RCCL, bien au-delà des superlatifs qui qualifient ce navire hors normes, veut faire passer deux messages.
L’Icon of The Seas est le premier paquebot qui compose la classe Icon, elle s’ajoute aux six autres dont Oasis, qui s’apprête à recevoir son sixième navire, l’Utopia, actuellement en construction à Saint-Nazaire.
Emmanuel Joly, agent général en France de RCCL, bien au-delà des superlatifs qui qualifient ce navire hors normes, veut faire passer deux messages.
Icon of the Seas : la taille n'est pas une fin en soi mais un moyen
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Déjà, « la taille du navire n’est pas une fin en soi mais un moyen, la classe Icon était même conçue à l'origine pour être plus petite que celle des Oasis ». Elle s’est imposée pour pouvoir mettre en œuvre tout ce qui a été imaginé pour apporter « aux clients les meilleures vacances au monde ».
Avec l’Icon, « on se positionne sur le marché des vacances en général, pour aller chercher des primo croisiéristes attirés par tout ce que l’on peut faire sur le paquebot, le navire, c’est la destination.»
Deuxième message : « l’Icon of the Seas est né debout », autrement dit « il a tout dès le départ pour triompher, il a déjà une longue trajectoire de succès alors qu’il n’a pas encore débuté sa carrière ».
L’exemple qui frappe : « quand on a ouvert les ventes de l’Icon of The Seas il y a un an et demi, on a battu tous les records » et « l’appétence pour le bateau ne s’est pas démentie depuis ». Ce bateau va marquer « l’histoire de Royal Carribean et de toute la croisière ».
Avec l’Icon, « on se positionne sur le marché des vacances en général, pour aller chercher des primo croisiéristes attirés par tout ce que l’on peut faire sur le paquebot, le navire, c’est la destination.»
Deuxième message : « l’Icon of the Seas est né debout », autrement dit « il a tout dès le départ pour triompher, il a déjà une longue trajectoire de succès alors qu’il n’a pas encore débuté sa carrière ».
L’exemple qui frappe : « quand on a ouvert les ventes de l’Icon of The Seas il y a un an et demi, on a battu tous les records » et « l’appétence pour le bateau ne s’est pas démentie depuis ». Ce bateau va marquer « l’histoire de Royal Carribean et de toute la croisière ».
Huit quartiers pour autant d'expériences différentes
L’Icon, « c’est la vision de la croisière de demain » assure Emmanuel Joly. « La croisière c’est des choix et le paquebot a été construit autour de cela avec huit quartiers pour offrir différents types d’expériences pour nos clients. Des plus jeunes aux plus âgés, chacun s’y retrouvera ».
Le huitième quartier est « plus exclusif », il n’est composé que de suites réparties sur quatre ponts avec piscines et restaurants privés.
Le navire dispose de sept piscines, soit 62% de surface d’eau que la classe Oasis, qui était déjà la classe qui en comportait le plus.
Le huitième quartier est « plus exclusif », il n’est composé que de suites réparties sur quatre ponts avec piscines et restaurants privés.
Le navire dispose de sept piscines, soit 62% de surface d’eau que la classe Oasis, qui était déjà la classe qui en comportait le plus.
Ecologie : le nec le plus ultra
Enfin, le responsable l’assure : « l’Icon, c'est le nec plus ultra de ce que l'on a fait jusqu'à maintenant en termes de de réduction de l'empreinte carbone ».
Déjà, « c'est le premier navire de la compagnie qui est propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL), ce n’est pas parfait mais c'est ce qui se fait de mieux aujourd'hui ». Il est aussi prêt « pour être branché à quai, à condition que les ports soient équipés ». Ce qui « sera le cas à Miami où l’on déconnectera complètement les moteurs ».
Un navire, « de plus en plus autonome ». Autre initiative : « l’injection de millions de petites bulles d’air sur la coque du navire pour qu’il flotte mieux et réduire ainsi sa consommation de carburant de 10%. »
Déjà, « c'est le premier navire de la compagnie qui est propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL), ce n’est pas parfait mais c'est ce qui se fait de mieux aujourd'hui ». Il est aussi prêt « pour être branché à quai, à condition que les ports soient équipés ». Ce qui « sera le cas à Miami où l’on déconnectera complètement les moteurs ».
Un navire, « de plus en plus autonome ». Autre initiative : « l’injection de millions de petites bulles d’air sur la coque du navire pour qu’il flotte mieux et réduire ainsi sa consommation de carburant de 10%. »