''Pour être exhaustif, René-Marc Chikli devrait se demander si ''financer le développement de l'activité de production d'un grand réseau de distribution est un modèle économique d'avenir pour les producteurs...''
TourMaG.com - La semaine dernière, deux cents licences sur 522 n’ont pas voté pour élire le conseil d’administration d’AS Voyages. Pourquoi une telle abstention ?
Jean-Pierre Mas : "Le taux d'abstention est normal. Il traduit d'une certaine façon la confiance des agences dans le processus de fusion.
Par ailleurs le mauvais temps n'a pas permis à plus de 50 licences de participer à l'AG alors qu'elles l'avaient prévu. Elles n'avaient donc pas voté par correspondance.
Les taux de 100% obtenus pour le vote des résolutions entérinant la fusion dans le cadre d'AS Voyages Entreprise et de 98% dans le cadre de la Coopérative sont particulièrement édifiants et confirment l'adhésion massive des agences."
T.M.com - Lors du congrès de Séville, vous indiquiez que 20% des agences n’avaient pas encore adhéré à la coopérative AS Voyages. Où en est-on aujourd’hui ?
J-P.M. : "Il reste encore 40 licences du réseau Afat Voyages qui n'ont pas accompli les formalités d'adhésion. Elles ont jusqu'à la fin de l'année pour le faire. Nous reprenons contact avec elles afin de leur expliquer les modalités d'adhésion."
Jean-Pierre Mas : "Le taux d'abstention est normal. Il traduit d'une certaine façon la confiance des agences dans le processus de fusion.
Par ailleurs le mauvais temps n'a pas permis à plus de 50 licences de participer à l'AG alors qu'elles l'avaient prévu. Elles n'avaient donc pas voté par correspondance.
Les taux de 100% obtenus pour le vote des résolutions entérinant la fusion dans le cadre d'AS Voyages Entreprise et de 98% dans le cadre de la Coopérative sont particulièrement édifiants et confirment l'adhésion massive des agences."
T.M.com - Lors du congrès de Séville, vous indiquiez que 20% des agences n’avaient pas encore adhéré à la coopérative AS Voyages. Où en est-on aujourd’hui ?
J-P.M. : "Il reste encore 40 licences du réseau Afat Voyages qui n'ont pas accompli les formalités d'adhésion. Elles ont jusqu'à la fin de l'année pour le faire. Nous reprenons contact avec elles afin de leur expliquer les modalités d'adhésion."
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T.M.com - L’organisation des équipes Afat et Selectour est-elle faite selon le schéma gestion et informatique à Toulouse et relations commerciales et réseau à Paris? Y-a-t-il des départs contraints ou volontaires ?
J-P.M. : "Il y aura bien une double implantation géographique mais aucune décision n'est prise sur l'organisation des services et leur localisation. Nous faisons réaliser un "diagnostic humain personnalisé" de l'ensemble des collaborateurs. Il sera terminé en janvier."
T.M.com - René-Marc Chili déclaré « financer la fusion des distributeurs n’est pas un modèle économique d’avenir » (LIRE). Quelle est votre réaction à ces propos ?
J-P.M. : "Une fois de plus, René-Marc Chikli a raison. ll ne viendrait à personne l'idée de demander aux producteurs de financer une fusion qui a pour objet de faire réaliser des économies.
Beaucoup plus simplement, les producteurs rémunèrent les services des distributeurs dans le respect d'accords contractuels librement consentis.
L'usage que font les distributeurs de ces produits ne concerne en aucune manière les producteurs. Dans la ligne de pensée du Président du CETO on peut affirmer que "le financement des canaux de distribution directe des producteurs n'est pas un modèle d'avenir pour les distributeurs".
Pour être exhaustif, René-Marc Chikli devrait se demander si "financer le développement de l'activité de production d'un grand réseau de distribution est un modèle économique d'avenir pour les producteurs..."
J-P.M. : "Il y aura bien une double implantation géographique mais aucune décision n'est prise sur l'organisation des services et leur localisation. Nous faisons réaliser un "diagnostic humain personnalisé" de l'ensemble des collaborateurs. Il sera terminé en janvier."
T.M.com - René-Marc Chili déclaré « financer la fusion des distributeurs n’est pas un modèle économique d’avenir » (LIRE). Quelle est votre réaction à ces propos ?
J-P.M. : "Une fois de plus, René-Marc Chikli a raison. ll ne viendrait à personne l'idée de demander aux producteurs de financer une fusion qui a pour objet de faire réaliser des économies.
Beaucoup plus simplement, les producteurs rémunèrent les services des distributeurs dans le respect d'accords contractuels librement consentis.
L'usage que font les distributeurs de ces produits ne concerne en aucune manière les producteurs. Dans la ligne de pensée du Président du CETO on peut affirmer que "le financement des canaux de distribution directe des producteurs n'est pas un modèle d'avenir pour les distributeurs".
Pour être exhaustif, René-Marc Chikli devrait se demander si "financer le développement de l'activité de production d'un grand réseau de distribution est un modèle économique d'avenir pour les producteurs..."