«Le tourisme n’a de réalité que s’il autorise le développement culturel », disait cet humaniste à la culture infinie et à l’humour unique. /crédit DR
Il avait offert du travail à des milliers de personnes à travers le monde, notamment au Maroc où il a transformé l’industrie touristique aux côtés de Feu le Roi Hassan II.
«Il était non seulement conscient que son pays devait être un grand pays industriel, technologique, agricole mais aussi un pays tourné vers le tourisme.
Je suis fier d’avoir partagé avec lui ses espérances sur le développement du Royaume » confiait Jean-Robert quelques mois avant son décès.
Des plages de Mostaganem en Algérie où il est né au firmament de la reconnaissance internationale entre le Maroc, les Emirats arabes unis, la Thaïlande, l’Egypte, l’Ile Maurice, le Mexique, l’Indonésie, Haïti, la Jordanie, Israël, la République Dominicaine ou la Tunisie, sa vie est une légende qui inspire.
«Le tourisme n’a de réalité que s’il autorise le développement culturel », disait cet humaniste à la culture infinie et à l’humour unique.
«Il était non seulement conscient que son pays devait être un grand pays industriel, technologique, agricole mais aussi un pays tourné vers le tourisme.
Je suis fier d’avoir partagé avec lui ses espérances sur le développement du Royaume » confiait Jean-Robert quelques mois avant son décès.
Des plages de Mostaganem en Algérie où il est né au firmament de la reconnaissance internationale entre le Maroc, les Emirats arabes unis, la Thaïlande, l’Egypte, l’Ile Maurice, le Mexique, l’Indonésie, Haïti, la Jordanie, Israël, la République Dominicaine ou la Tunisie, sa vie est une légende qui inspire.
«Le tourisme n’a de réalité que s’il autorise le développement culturel », disait cet humaniste à la culture infinie et à l’humour unique.
Une exigence professionnelle incomparable
Jean-Robert a surtout rapproché les hommes, gommé les frontières et mélangé les cultures. Il avait compris avant les autres que le tourisme et la culture étaient intimement liés.
Et que l'art était un bien commun où les différences étaient une chance dans le grand combat contre la défiance, la peur de l'inconnue et le repli communautaire. Ses idées ont changé le destin des entreprises où il a exercé son incontestable talent et la vie de ses collaborateurs.
Il est allé où personne n'était allé. Il a cru à des pays où personne n'aurait misé le moindre kopeck.
On doit lui créditer la découverte de destinations mythiques comme Cancun, spot festif au Mexique bordé par la mer des Caraïbes ou Punta Cana, oasis de rêve en République Dominicaine avec ses eaux transparentes.
Durant toute sa carrière, Jean-Robert Reznik a masqué derrière une excentricité assumée, des lunettes bleues et un chapeau éternellement vissé sur un crâne aux idées géniales une exigence professionnelle incomparable et une ambition inaltérable.
Et que l'art était un bien commun où les différences étaient une chance dans le grand combat contre la défiance, la peur de l'inconnue et le repli communautaire. Ses idées ont changé le destin des entreprises où il a exercé son incontestable talent et la vie de ses collaborateurs.
Il est allé où personne n'était allé. Il a cru à des pays où personne n'aurait misé le moindre kopeck.
On doit lui créditer la découverte de destinations mythiques comme Cancun, spot festif au Mexique bordé par la mer des Caraïbes ou Punta Cana, oasis de rêve en République Dominicaine avec ses eaux transparentes.
Durant toute sa carrière, Jean-Robert Reznik a masqué derrière une excentricité assumée, des lunettes bleues et un chapeau éternellement vissé sur un crâne aux idées géniales une exigence professionnelle incomparable et une ambition inaltérable.
Une référence du touristique mondial ou un diplomate ?
A bien regarder son carnet d’adresses, on arrive à se demander si Jean-Robert Reznik était une référence du touristique mondial ou un diplomate envié pour son entregent. On en déduira que le tourisme est une forme de diplomatie parallèle où il a excellé.
« J’ai eu la chance de créer des liens avec certains des hommes qui ont le plus pesé sur le destin du monde » disait celui qui a affiché une véritable proximité avec le Président français François Mitterrand, le fondateur des Emirats arabes unis le Sheikh Zayed, le Président égyptien Anouar el Sadate, le Président indonésien Suharto, le Président tunisien Habib Bourguiba ou, bien sûr, le Roi du Maroc Hassan II.
Durant son immense carrière, Jean-Robert Reznik a déniché des grands talents. Et promu des jeunes !
« La plus grande fierté de ma carrière » disait-il. A ses côtés, on se sentait petit et grand. On se sentait en vie. Il a perdu la sienne, à l’âge de 76 ans, mardi soir à la Clinique Internationale de Marrakech.
Il repose en paix au cimetière du Mellah de la ville Ocre, aux côtés de sa maman Mike Dennery dont il célébrait régulièrement la mémoire.
A sa femme Mounira, ses enfants Ronald, Grégéory et Vadim, nous présentons nos plus attristées condoléances.
NB : cet article nous a été communiqué par la famille du défunt. Malgré la signature (besoin technique), Jean da Luz n'en est pas l'auteur.
« J’ai eu la chance de créer des liens avec certains des hommes qui ont le plus pesé sur le destin du monde » disait celui qui a affiché une véritable proximité avec le Président français François Mitterrand, le fondateur des Emirats arabes unis le Sheikh Zayed, le Président égyptien Anouar el Sadate, le Président indonésien Suharto, le Président tunisien Habib Bourguiba ou, bien sûr, le Roi du Maroc Hassan II.
Durant son immense carrière, Jean-Robert Reznik a déniché des grands talents. Et promu des jeunes !
« La plus grande fierté de ma carrière » disait-il. A ses côtés, on se sentait petit et grand. On se sentait en vie. Il a perdu la sienne, à l’âge de 76 ans, mardi soir à la Clinique Internationale de Marrakech.
Il repose en paix au cimetière du Mellah de la ville Ocre, aux côtés de sa maman Mike Dennery dont il célébrait régulièrement la mémoire.
A sa femme Mounira, ses enfants Ronald, Grégéory et Vadim, nous présentons nos plus attristées condoléances.
NB : cet article nous a été communiqué par la famille du défunt. Malgré la signature (besoin technique), Jean da Luz n'en est pas l'auteur.