Lors du lancement de la délégation régionale Nouvelle Aquitaine, fin 2019 © AFTM
L’Association française du travel management (AFTM) reprend sa politique de décentralisation, entreprise en 2016 puis stoppée nette par la crise sanitaire, en créant des antennes dans les régions de France.
Alors que 6 délégations régionales sont actuellement en place, un bureau pour la région Grand Est sera créé avant l’été, « en septembre au plus tard », d’après Michel Dieleman, président de l’AFTM.
Les délégations régionales se composent, à chaque fois, d’un délégué régional accompagné d’un adjoint et d’un ou plusieurs animateurs. Tous travaillent pour une entreprise adhérente à l’AFTM, et tous sont bénévoles. Sont organisés sur place des rencontres, débats, ateliers et formations thématiques, ou encore des afterworks.
De tels bureaux existent pour l’instant pour les régions Auvergne-Rhône Alpes (délégation dirigée par Amandine Roset), Sud (Christophe Chambon), Occitanie (Jacques Chambre), Nouvelle-Aquitaine (Marie-Pierre Berruyer), Hauts-de-France (Dorothée Godin), Grand-Ouest (Loïc Simon), auquel s’ajoute le bureau principal en Île-de-France. Viendra donc s’y ajouter aussi, bientôt, la région Grand Est.
Alors que 6 délégations régionales sont actuellement en place, un bureau pour la région Grand Est sera créé avant l’été, « en septembre au plus tard », d’après Michel Dieleman, président de l’AFTM.
Les délégations régionales se composent, à chaque fois, d’un délégué régional accompagné d’un adjoint et d’un ou plusieurs animateurs. Tous travaillent pour une entreprise adhérente à l’AFTM, et tous sont bénévoles. Sont organisés sur place des rencontres, débats, ateliers et formations thématiques, ou encore des afterworks.
De tels bureaux existent pour l’instant pour les régions Auvergne-Rhône Alpes (délégation dirigée par Amandine Roset), Sud (Christophe Chambon), Occitanie (Jacques Chambre), Nouvelle-Aquitaine (Marie-Pierre Berruyer), Hauts-de-France (Dorothée Godin), Grand-Ouest (Loïc Simon), auquel s’ajoute le bureau principal en Île-de-France. Viendra donc s’y ajouter aussi, bientôt, la région Grand Est.
Faire grandir l'association et son influence
Les résultats sont là et les chiffres parlent d’eux mêmes. En 2015, avant le lancement de la régionalisation de l’association, 39,8% des adhérents étaient situés en dehors de l’Île-de-France.
Fin 2019, juste avant la crise sanitaire qui a mis le voyage d’affaires à genoux, le rapport s’était inversé : 54% des membres de l’AFTM étaient répartis sur l’ensemble du territoire, pour 46% en Île-de-France.
Et la première association française dédié au voyages d’affaires n’entend pas s’arrêter là.
« Nous comptons recruter une ressource nouvelle pour le suivi des adhésions en régions, les prospections et recherche de nouveaux adhérents. Le but étant bien de continuer à faire grandir l’association et son influence », résume Michel Dielemans.
A noter enfin que si l’AFTM n’a pas encore d’antenne à l’international, elle possède une affiliation avec son homologue suisse, l’ASTM, ainsi qu’un partenariat de réciprocité avec son équivalent belge, la BATM.
Lire aussi :
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Fin 2019, juste avant la crise sanitaire qui a mis le voyage d’affaires à genoux, le rapport s’était inversé : 54% des membres de l’AFTM étaient répartis sur l’ensemble du territoire, pour 46% en Île-de-France.
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Publié par Pierre Georges
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