ESC de La Rochelle © RieupeyroutSUPdeCOLAROCHELLE.
Faire ses études de tourisme dans une école de commerce ? Telle est la solution choisie par 395 étudiants, inscrits cette année à la Rochelle business school of tourism.
Entre les BTS, dont les programmes peinent à suivre l’évolution de la profession et les universités, pas assez professionnalisantes, les élèves sont nombreux à choisir cette alternative, avec l’espoir de s’insérer rapidement dans le marché du travail.
Et ils ont raison : La Rochelle assure un taux d’embauche de 85% seulement trois mois après le diplôme.
Entre les BTS, dont les programmes peinent à suivre l’évolution de la profession et les universités, pas assez professionnalisantes, les élèves sont nombreux à choisir cette alternative, avec l’espoir de s’insérer rapidement dans le marché du travail.
Et ils ont raison : La Rochelle assure un taux d’embauche de 85% seulement trois mois après le diplôme.
Une spécialisation progressive
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Son objectif est de former des étudiants polyvalents, aptes à évoluer professionnellement et ouverts à l’international. Pour cela, les cours sont d’abord généralistes.
« Lorsqu’un élève intègre le Bachelor à 18 ans, il n’a pas toujours une idée claire de son avenir » explique Victor Gervasoni, le directeur du programme. « Nous lui fournissons alors tous les fondamentaux pour qu’il puisse faire son choix et ensuite colorer son parcours » ajoute-t-il.
« Lorsqu’un élève intègre le Bachelor à 18 ans, il n’a pas toujours une idée claire de son avenir » explique Victor Gervasoni, le directeur du programme. « Nous lui fournissons alors tous les fondamentaux pour qu’il puisse faire son choix et ensuite colorer son parcours » ajoute-t-il.
Etroite collaboration avec les professionnels
Deuxième atout de cette école, ses relations avec le monde du travail. Des professionnels interviennent régulièrement en séminaire et conseillent le personnel pédagogique sur l’évolution des programmes.
De plus, les élèves peuvent cumuler jusqu’à un an de stages et faire leur parcours en alternance. L'école ouvre l’année prochaine deux formations en contrat de professionnalisation, dans le secteur de l’hébergement et du management de l’hôtellerie de plein air.
« C’est un rythme d’apprentissage totalement différent. L’étudiant pourra toucher à l’ensemble du métier toute l’année et aussi financier ses études » se réjouit Victor Gervasoni.
De plus, les élèves peuvent cumuler jusqu’à un an de stages et faire leur parcours en alternance. L'école ouvre l’année prochaine deux formations en contrat de professionnalisation, dans le secteur de l’hébergement et du management de l’hôtellerie de plein air.
« C’est un rythme d’apprentissage totalement différent. L’étudiant pourra toucher à l’ensemble du métier toute l’année et aussi financier ses études » se réjouit Victor Gervasoni.
Une vision internationale
Comme toute grande école de commerce, le cursus est très ouvert à l’international. Les étudiants doivent partir en stage à l’étranger et peuvent effectuer une partie de leur scolarité en anglais.
Des cours de spécialisation par zones géoculturelles sont également au programme. L'objectif est d'apprendre très tôt à s’adapter au marché étranger, pour respecter les coutumes et habitudes locales.
Impossible en effet d’appliquer les mêmes recettes de marketing en Chine et au Pérou ! Enfin, notons une particularité de l’école, ses missions Humacité : un séjour humanitaire de 3 mois à l’étranger.
Tous ces moyens mis à disposition des élèves sont sans conteste la garantie de leur succès auprès des professionnels.
Mais si une école de commerce, qui dispose d’un gros budget, peut se permettre une telle politique, ce n’est malheureusement pas le cas des universités ou des BTS, qui faute de ressources, ne pourront jamais soutenir la comparaison.
Des cours de spécialisation par zones géoculturelles sont également au programme. L'objectif est d'apprendre très tôt à s’adapter au marché étranger, pour respecter les coutumes et habitudes locales.
Impossible en effet d’appliquer les mêmes recettes de marketing en Chine et au Pérou ! Enfin, notons une particularité de l’école, ses missions Humacité : un séjour humanitaire de 3 mois à l’étranger.
Tous ces moyens mis à disposition des élèves sont sans conteste la garantie de leur succès auprès des professionnels.
Mais si une école de commerce, qui dispose d’un gros budget, peut se permettre une telle politique, ce n’est malheureusement pas le cas des universités ou des BTS, qui faute de ressources, ne pourront jamais soutenir la comparaison.