« Recevoir un prix, cela apporte de la visibilité » affirme Albane de Maigret, qui n’est pas peu fière, avec son mari Laurent Chappey, d'avoir figuré en avril dernier parmi les lauréats des Trophées du Voyage Responsable.
Le couple qui a fondé il y a un peu plus d’un an Itinair’bis, solution alliant contenu original et carnets de route personnalisés, voit aussi dans cette distinction « une marque de confiance ».
D’autant plus qu’il s’agit du prix du public. « Cela veut dire qu’il croit en notre projet et les valeurs que nous portons pour répondre aux attentes des voyageurs » ajoute celle qui est journaliste et actuelle présidente de la jeune société.
Tout en les confortant dans la stratégie mise en œuvre, cette récompense les porte aussi vers une nouvelle dynamique.
Le couple qui a fondé il y a un peu plus d’un an Itinair’bis, solution alliant contenu original et carnets de route personnalisés, voit aussi dans cette distinction « une marque de confiance ».
D’autant plus qu’il s’agit du prix du public. « Cela veut dire qu’il croit en notre projet et les valeurs que nous portons pour répondre aux attentes des voyageurs » ajoute celle qui est journaliste et actuelle présidente de la jeune société.
Tout en les confortant dans la stratégie mise en œuvre, cette récompense les porte aussi vers une nouvelle dynamique.
Itinair’bis : « Nos petites routes valent le détour »
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Partant du principe que « nos petites routes valent le détour », le couple, bien soutenu par les institutionnels locaux, a expérimenté sa solution dans le Pays de Grasse.
Avec le constat qu’il existe « une véritable attente en termes de tourisme de proximité ».
« Une double cible s’est révélée, explique Laurent Chappey, il y a ceux qui viennent de loin pour visiter, et ceux qui vivent sur leur territoire et qui ont envie de le (re)découvrir ».
Résultat : depuis un an, plus de 2 000 personnes ont utilisé Itinair’bis pour voyager dans le Pays de Grasse, « c’est mieux que ce qu’on espérait, c’est très encourageant », déclarent les deux co-fondateurs.
« iLe tourisme de proximité, c’est aussi une façon de lutter contre le [surtourisme dont on parle tant]i » précise Albane de Maigret qui, basée à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine, enchaîne sur « la richesse exceptionnelle du territoire francilien en termes de patrimoine ». Et de dire que « 87% des Parisiens ne sortent pas de Paris intra-muros ».
Avec le constat qu’il existe « une véritable attente en termes de tourisme de proximité ».
« Une double cible s’est révélée, explique Laurent Chappey, il y a ceux qui viennent de loin pour visiter, et ceux qui vivent sur leur territoire et qui ont envie de le (re)découvrir ».
Résultat : depuis un an, plus de 2 000 personnes ont utilisé Itinair’bis pour voyager dans le Pays de Grasse, « c’est mieux que ce qu’on espérait, c’est très encourageant », déclarent les deux co-fondateurs.
« iLe tourisme de proximité, c’est aussi une façon de lutter contre le [surtourisme dont on parle tant]i » précise Albane de Maigret qui, basée à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine, enchaîne sur « la richesse exceptionnelle du territoire francilien en termes de patrimoine ». Et de dire que « 87% des Parisiens ne sortent pas de Paris intra-muros ».
Itinair’bis : Le soutien de l’incubateur Paris&Co
Le potentiel est là. Raison pour laquelle Itinair’bis poursuit sur sa lancée et va se développer en Ile-de-France, en intégrant à son contenu sur-mesure les mobilités douces et le transport intermodal.
« Train, RER, bus ou vélo, nous voulons donner aux Franciliens l’envie de redécouvrir leur territoire sans qu’ils ne dépensent beaucoup d’argent » clament en chœur les dirigeants.
Pour gagner du temps, Itinair’bis avance ses pions en bénéficiant du soutien et des services de l’incubateur Paris&Co, l'agence d'innovation territoriale de Paris et de la métropole.
Objectif avoué : générer les premiers carnets de route personnalisés (en fonction du choix de l’utilisateur : patrimoine culturel, naturel, historique, activités…) à l’automne.
« Après les JO, on sera davantage visible » argumente Albane, ravie de voir dans le même temps que « les choses sont très bien avancées avec deux départements » qu’elle ne souhaite pas décliner, « par superstition ».
Seule certitude, les deux CRT rencontrés se montrent « enthousiastes ».
« Train, RER, bus ou vélo, nous voulons donner aux Franciliens l’envie de redécouvrir leur territoire sans qu’ils ne dépensent beaucoup d’argent » clament en chœur les dirigeants.
Pour gagner du temps, Itinair’bis avance ses pions en bénéficiant du soutien et des services de l’incubateur Paris&Co, l'agence d'innovation territoriale de Paris et de la métropole.
Objectif avoué : générer les premiers carnets de route personnalisés (en fonction du choix de l’utilisateur : patrimoine culturel, naturel, historique, activités…) à l’automne.
« Après les JO, on sera davantage visible » argumente Albane, ravie de voir dans le même temps que « les choses sont très bien avancées avec deux départements » qu’elle ne souhaite pas décliner, « par superstition ».
Seule certitude, les deux CRT rencontrés se montrent « enthousiastes ».
Itinair’bis veut couvrir l’Hexagone à horizon 2026
Etant en discussions avec d’autres territoires, tels que les Hauts-de-France ou le Centre-Val de Loire, le duo entend couvrir « le maximum de la France à horizon 2026 ». Une V2 du site et de l’appli devrait aussi sortir prochainement.
Concernant le modèle économique, il repose sur l'achat d'espace par les institutionnels et acteurs du tourisme, mais surtout sur la création de contenus, de podcasts en particulier.
Pour l’utilisateur final, « un contenu qualitatif et différenciant » déclarent-ils. « L’idée, c’est de raconter la petite histoire du soir, celle qui fait rêver et fait place à l’émerveillement » résume Albane de Maigret.
Selon elle, « 17 millions de Français écoutent aujourd’hui des podcasts, avec en tête ceux ayant trait à la culture. C’est donc un genre tout à fait pertinent et approprié » explique celle qui possède « une expérience de 25 ans en journalisme histoire et patrimoine ».
Concernant le modèle économique, il repose sur l'achat d'espace par les institutionnels et acteurs du tourisme, mais surtout sur la création de contenus, de podcasts en particulier.
Pour l’utilisateur final, « un contenu qualitatif et différenciant » déclarent-ils. « L’idée, c’est de raconter la petite histoire du soir, celle qui fait rêver et fait place à l’émerveillement » résume Albane de Maigret.
Selon elle, « 17 millions de Français écoutent aujourd’hui des podcasts, avec en tête ceux ayant trait à la culture. C’est donc un genre tout à fait pertinent et approprié » explique celle qui possède « une expérience de 25 ans en journalisme histoire et patrimoine ».
Itinair’bis lance des podcasts et du contenu personnalisé
Avec l’application Itinair’bis, gratuite pour son utilisateur, « notre vocation est de transformer les touristes en voyageurs ».
« S’ils viennent voir le château de Chenonceau alors qu’il n’y a plus de créneau de réservation le jour voulu au mois d’août, eh bien nous allons mettre en avant cette petite entreprise qui vous propose de louer une barque avec panier pique-nique et ainsi aller naviguer sous les arches de Chenonceau.
C’est une expérience qui restera à jamais gravée dans votre mémoire », déclare Laurent Chappey.
« Nous n’aimons pas voyager comme des valises et nous aimons raconter les histoires » affirment dans leur présentation Albane de Maigret et Laurent Chappey.
La suite de leur aventure entrepreneuriale devrait les fortifier dans leur approche.
« S’ils viennent voir le château de Chenonceau alors qu’il n’y a plus de créneau de réservation le jour voulu au mois d’août, eh bien nous allons mettre en avant cette petite entreprise qui vous propose de louer une barque avec panier pique-nique et ainsi aller naviguer sous les arches de Chenonceau.
C’est une expérience qui restera à jamais gravée dans votre mémoire », déclare Laurent Chappey.
« Nous n’aimons pas voyager comme des valises et nous aimons raconter les histoires » affirment dans leur présentation Albane de Maigret et Laurent Chappey.
La suite de leur aventure entrepreneuriale devrait les fortifier dans leur approche.