L'école Ferrières est installée dans le château éponyme, légué par la famille de Rothschild à la commune de Ferrières-en-Brie, en Seine-et-Marne. - DR
« Les futurs étudiants ne choisiront plus leur cursus d’enseignement supérieur sur la base d’une employabilité supposée ou réputée, mais sur la base d’un engagement ferme et contractuel qui leur permettra d’obtenir non seulement un diplôme de grande qualité, mais aussi un véritable CDI dès la fin de leurs études », a annoncé Khalil Khater, président du groupe Accelis, fondateur de l’École Ferrières.
C’est l’engagement pris par cette école de l’art de vivre et des métiers de l’Hôtellerie, de la Gastronomie et du luxe.
Concrètement, l’élève signe son contrat avec l’école dès son entrée dans l’établissement. Les étudiants actuels pourront le signer, le 13 décembre prochain.
C’est l’engagement pris par cette école de l’art de vivre et des métiers de l’Hôtellerie, de la Gastronomie et du luxe.
Concrètement, l’élève signe son contrat avec l’école dès son entrée dans l’établissement. Les étudiants actuels pourront le signer, le 13 décembre prochain.
L’engagement de Ferrière
L’établissement garantie à l’étudiant un contrat à durée indéterminée à temps plein, à l’issue de sa formation. Le CDI débutera dans un délai de 2 mois après l’obtention du diplôme.
De son côté l’élève devra faire une demande d’emploi auprès de l’Ecole Ferrières, avant le 15 janvier de l’année de diplomation, répondre favorablement à l’invitation de participer aux journées de recrutement organisées par Ferrières, être libre de tout engagement professionnel et être à jour des obligations financières de l’école.
« Aucune école ne s’engage contractuellement sur l’employabilité de ses diplômes. L’école de demain sera celle qui ne promettra plus, mais qui agira contractuellement pour l’employabilité de ses diplômés », assure Khalil Khater.
« Depuis toujours, les écoles ont beaucoup investi dans le recrutement de leurs étudiants en leur promettant un diplôme dont l’employabilité est supposée être la meilleure. En réalité, les choses sont beaucoup moins reluisantes que les promesses faites par ces écoles », souligne le président du groupe Acelis.
Autre point d’engagement de l’école, un salaire garanti conforme au marché et compris entre 1 900 € et 2 800 € bruts par mois, soit entre 22 800 € et 33 600 € bruts par an.
L’attribution des postes et le montant de leur rémunération dépendront du classement final des diplômés dans leur promotion et spécialisation respectives. En effet, dès le départ de leur cursus au sein de Ferrières, chaque élève a la possibilité de faire part de son souhait et, en fonction de ses résultats, de bénéficier d’une priorité sur les meilleures offres.
L’étudiant sera libre de refuser la première offre d’emploi. Une seconde offre sera alors formulée dans un délai de deux mois supplémentaires. L’étudiant sera alors libre de refuser cette seconde offre. L’Ecole ne sera alors plus tenue à une quelconque obligation.
L’offre ferme d’emploi sera proposée par une société partenaire de l’école opérant dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration, le luxe ou plus généralement l’hospitalité.
Si deux mois après l’obtention de son diplôme l’étudiant n’a pas signé de CDI, l’école s’engage à lui verser une indemnité de 70€ net par jour, jusqu’à la proposition d’une nouvelle offre.
De son côté l’élève devra faire une demande d’emploi auprès de l’Ecole Ferrières, avant le 15 janvier de l’année de diplomation, répondre favorablement à l’invitation de participer aux journées de recrutement organisées par Ferrières, être libre de tout engagement professionnel et être à jour des obligations financières de l’école.
« Aucune école ne s’engage contractuellement sur l’employabilité de ses diplômes. L’école de demain sera celle qui ne promettra plus, mais qui agira contractuellement pour l’employabilité de ses diplômés », assure Khalil Khater.
« Depuis toujours, les écoles ont beaucoup investi dans le recrutement de leurs étudiants en leur promettant un diplôme dont l’employabilité est supposée être la meilleure. En réalité, les choses sont beaucoup moins reluisantes que les promesses faites par ces écoles », souligne le président du groupe Acelis.
Autre point d’engagement de l’école, un salaire garanti conforme au marché et compris entre 1 900 € et 2 800 € bruts par mois, soit entre 22 800 € et 33 600 € bruts par an.
L’attribution des postes et le montant de leur rémunération dépendront du classement final des diplômés dans leur promotion et spécialisation respectives. En effet, dès le départ de leur cursus au sein de Ferrières, chaque élève a la possibilité de faire part de son souhait et, en fonction de ses résultats, de bénéficier d’une priorité sur les meilleures offres.
L’étudiant sera libre de refuser la première offre d’emploi. Une seconde offre sera alors formulée dans un délai de deux mois supplémentaires. L’étudiant sera alors libre de refuser cette seconde offre. L’Ecole ne sera alors plus tenue à une quelconque obligation.
L’offre ferme d’emploi sera proposée par une société partenaire de l’école opérant dans les secteurs de l’hôtellerie, la restauration, le luxe ou plus généralement l’hospitalité.
Si deux mois après l’obtention de son diplôme l’étudiant n’a pas signé de CDI, l’école s’engage à lui verser une indemnité de 70€ net par jour, jusqu’à la proposition d’une nouvelle offre.
Un bassin d’emploi en forme
Le risque est maîtrisé pour l’établissement. L’hôtellerie, la gastronomie et le luxe se portent bien. « Actuellement, on estime les besoins de recrutement dans ces secteurs à 50 000 postes … Et pourtant malgré un taux de chômage élevé, les professionnels n’arrivent pas à combler ces besoins », précise Khalil Khater.
L’idée est également de challenger les futurs employeurs, c’est-à-dire les partenaires de Ferrières. De grands noms tels que Cartier, LVMH, Ladurée, HYATT…
« Selon l’étude Apec 2017, 64% des jeunes diplômés de 2015 (tout diplôme confondu) ont trouvé un emploi 6 mois après l’obtention de leur diplôme. Ce taux atteint 84% lorsque l’on est diplômé d’une grande école de la CGE, prend comme exemple Khalil Khater. Aujourd’hui, 32 étudiants sont sortis diplômés de l’école Ferrières depuis sa création en 2014. « 66% sont en CDI, 20% sont en recherche d’emploi. »
« Cet engagement contractuel permettra aussi à l’étudiant de se rassurer sur le financement de ses études et sur le remboursement rapide de son emprunt éventuel », souligne Khalil Khater. Actuellement, la formation proposée par l’école Ferrières coûte 18 000€ par an pour le Bachelor et 20 000€ en master.
L’idée est également de challenger les futurs employeurs, c’est-à-dire les partenaires de Ferrières. De grands noms tels que Cartier, LVMH, Ladurée, HYATT…
« Selon l’étude Apec 2017, 64% des jeunes diplômés de 2015 (tout diplôme confondu) ont trouvé un emploi 6 mois après l’obtention de leur diplôme. Ce taux atteint 84% lorsque l’on est diplômé d’une grande école de la CGE, prend comme exemple Khalil Khater. Aujourd’hui, 32 étudiants sont sortis diplômés de l’école Ferrières depuis sa création en 2014. « 66% sont en CDI, 20% sont en recherche d’emploi. »
« Cet engagement contractuel permettra aussi à l’étudiant de se rassurer sur le financement de ses études et sur le remboursement rapide de son emprunt éventuel », souligne Khalil Khater. Actuellement, la formation proposée par l’école Ferrières coûte 18 000€ par an pour le Bachelor et 20 000€ en master.