Force est de constater que les navires de croisières boudent la Bretagne. Lors de leur repositionnement entre la Méditerranée et l'Europe du Nord, la plupart des navires effectuent des journées de pleine mer plutôt que d'escaler à Lorient, Brest ou Saint-Malo.
La raison de cette désaffection ? Pour Olivier Costil responsable du service touristique à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Brest, c'est avant tout un manque de notoriété et l'absence de communication.
Pour enrayer la situation, les deux CCI de Saint-Malo et Brest et l'association Lorient
Croisière sud se sont regroupés pour éditer une superbe brochure vantant les attraits touristiques de la Bretagne.
Peu de croisières à l'Ouest
Elles ont également participé à la Seatrade de Miami, au Cruise A Thon et seront présentes à la Seatrade Europe à Hambourg en novembre prochain pour sensibiliser notamment les compagnies allemandes et britanniques.
Avec 17.000 croisiéristes et 48 escales en 2004, les ports bretons sont très loin des performances réalisées par les ports Méditerranéens. Il reste à convaincre les armateurs mais également les croisiéristes étrangers et français.
En effet, la croisière dans l'ouest de la France se vend toujours très mal. Paradoxe, pour un pays de navigateurs et d'amoureux de la mer.
Le pari est désormais lancé pour faire de la Bretagne une véritable destination de croisière. La volonté et les moyens sont désormais réunis pour relever le défi.
La raison de cette désaffection ? Pour Olivier Costil responsable du service touristique à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Brest, c'est avant tout un manque de notoriété et l'absence de communication.
Pour enrayer la situation, les deux CCI de Saint-Malo et Brest et l'association Lorient
Croisière sud se sont regroupés pour éditer une superbe brochure vantant les attraits touristiques de la Bretagne.
Peu de croisières à l'Ouest
Elles ont également participé à la Seatrade de Miami, au Cruise A Thon et seront présentes à la Seatrade Europe à Hambourg en novembre prochain pour sensibiliser notamment les compagnies allemandes et britanniques.
Avec 17.000 croisiéristes et 48 escales en 2004, les ports bretons sont très loin des performances réalisées par les ports Méditerranéens. Il reste à convaincre les armateurs mais également les croisiéristes étrangers et français.
En effet, la croisière dans l'ouest de la France se vend toujours très mal. Paradoxe, pour un pays de navigateurs et d'amoureux de la mer.
Le pari est désormais lancé pour faire de la Bretagne une véritable destination de croisière. La volonté et les moyens sont désormais réunis pour relever le défi.