Janaillac, le nouveau patron, va devoir faire preuve d’un sacré talent pour lancer son plan "Trust Together", c’est-à-dire « confiance, confiance » - Photo AB
Tout ça pour signifier à nos amis d’Air France que les imbécillités et les démagogies, ras le bol. Qu’on le veuille ou non, l’affaire des chemises déchirées est une ignominie que l’on ne devrait même pas évoquer, tant l’affaire est pitoyable et sans aucun intérêt.
Comme un grand nombre d’affaires d’ailleurs, mais, comme me le confiait un publicitaire amusé, « tout ça fait vendre » ….
Air France est, encore et pour la Xème fois, en train de tenter de se redonner une légitimité, une nouvelle image de marque. Raté. Pas une radio, pas une télé qui ne s’esclaffe sur ce procès de la chemise.
Chemise qui aura fait, grâce aux formidables moyens de communications qui régissent la planète, contribué largement à donner une image déplorable du tourisme en France, de la compagnie en particulier et de l’ambiance délétère qui règne actuellement.
Comme un grand nombre d’affaires d’ailleurs, mais, comme me le confiait un publicitaire amusé, « tout ça fait vendre » ….
Air France est, encore et pour la Xème fois, en train de tenter de se redonner une légitimité, une nouvelle image de marque. Raté. Pas une radio, pas une télé qui ne s’esclaffe sur ce procès de la chemise.
Chemise qui aura fait, grâce aux formidables moyens de communications qui régissent la planète, contribué largement à donner une image déplorable du tourisme en France, de la compagnie en particulier et de l’ambiance délétère qui règne actuellement.
Dominique Gobert et chien Charly - DR
On ne saura sans doute jamais, exception faite pour les déchireurs de chemise, qui aura commis l’outrage. Peu importe, d’ailleurs, c’est toujours la même chose : une foule déchainée, menée par quelques irresponsables imbus de leur personne et de leurs privilèges syndicaux, c’est quasi incontrôlable.
D’autant que, compte tenu de la situation pour le moins inquiétante de notre économie, de la position incertaine de nos transporteurs aériens, c’est tout simplement nul !
Et encore je pèse mes mots, quitte à me faire traiter de populiste par les braves gens bien intentionnés.
Encore que, pour faire dans la douceur, je remarque avec une certaine bienveillance et un sourire en coin que ce bon Monsieur Martinez, nouveau gourou de la Cgt (principal syndicat d’Air France), observe une coïté (du verbe inventé par mes soins rester coi, en gros la fermer) assourdissante !
Je remarque d’ailleurs au passage, mais avec un grand respect de logique, que nous entendons énormément parler de « migrants », repoussés par les uns et les autres (et je n’aurais pas aimé vivre durant les dernières guerres de nos grands-parents), tandis que, en France, nous avons dépassé les 3 millions de chômeurs !
D’autant que, compte tenu de la situation pour le moins inquiétante de notre économie, de la position incertaine de nos transporteurs aériens, c’est tout simplement nul !
Et encore je pèse mes mots, quitte à me faire traiter de populiste par les braves gens bien intentionnés.
Encore que, pour faire dans la douceur, je remarque avec une certaine bienveillance et un sourire en coin que ce bon Monsieur Martinez, nouveau gourou de la Cgt (principal syndicat d’Air France), observe une coïté (du verbe inventé par mes soins rester coi, en gros la fermer) assourdissante !
Je remarque d’ailleurs au passage, mais avec un grand respect de logique, que nous entendons énormément parler de « migrants », repoussés par les uns et les autres (et je n’aurais pas aimé vivre durant les dernières guerres de nos grands-parents), tandis que, en France, nous avons dépassé les 3 millions de chômeurs !
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Et que le secteur du tourisme est en danger, mais tout le monde s’en fout…
Je remarque aussi, en lisant le récit de ma consœur de ce procès sans envergure des « chemises d’Air France », cette déclaration pour le moins surprenante de Miguel Fortea, délégué syndical CGT d’Air France : "On prend des gens pour l'exemple car des chemises ont été déchirées, peu importe si c'est vrai ou pas. Mais il ne s'agit pas seulement de chemises déchirées, mais aussi de 2 900 emplois par terre".
D’une part, une chemise déchirée, faut pas déconner, c’est pas terrible. D’autre part, quand on fait grève sans trop savoir pourquoi, quitte à pénaliser à coups de plusieurs millions d’euros la société qui vous donne du boulot, c’est pas glop, pour ne pas dire suicidaire, mais que, encore une fois, c’est pas grave.
Le client paiera.
Le contribuable paiera.
Le tourisme paiera.
La France n’est pas prête à briller au plan touristique !
Mais le monde continuera à vivre. Ravaillac , pardon Janaillac, le nouveau patron, va devoir faire preuve d’un sacré talent pour lancer son plan "Trust Together", c’est-à-dire « confiance, confiance ».
Et c’est pas une question de chemise !
Je remarque aussi, en lisant le récit de ma consœur de ce procès sans envergure des « chemises d’Air France », cette déclaration pour le moins surprenante de Miguel Fortea, délégué syndical CGT d’Air France : "On prend des gens pour l'exemple car des chemises ont été déchirées, peu importe si c'est vrai ou pas. Mais il ne s'agit pas seulement de chemises déchirées, mais aussi de 2 900 emplois par terre".
D’une part, une chemise déchirée, faut pas déconner, c’est pas terrible. D’autre part, quand on fait grève sans trop savoir pourquoi, quitte à pénaliser à coups de plusieurs millions d’euros la société qui vous donne du boulot, c’est pas glop, pour ne pas dire suicidaire, mais que, encore une fois, c’est pas grave.
Le client paiera.
Le contribuable paiera.
Le tourisme paiera.
La France n’est pas prête à briller au plan touristique !
Mais le monde continuera à vivre. Ravaillac , pardon Janaillac, le nouveau patron, va devoir faire preuve d’un sacré talent pour lancer son plan "Trust Together", c’est-à-dire « confiance, confiance ».
Et c’est pas une question de chemise !