A vous, Georges, Olivia, Michel et tous les autres, un grand bravo pour avoir tenté de voir le tourisme autrement. Vous n'avez pas démérité, vous êtes allé au charbon plein d'enthousiasme. Et vous avez bien fait de délaisser un individu peu étouffé par les scrupules pour tenter autre chose. /photo dr
Le titre est dû, comme vous l'aurez compris à Jacques Brel, ce merveilleux poète disparu...
J'ai, hélas, entendu aussi un ami pleurer durant ce week-end.
Et c'est pas facile, parce que, trop souvent, on ne peut trouver les mots de soutien.
Aussi, ce modeste édito est dédié à toute cette équipe qui avait entamé une aventure sympa.
A vous, Georges, Olivia, Michel et tous les autres, un grand bravo pour avoir tenté de voir le tourisme autrement.
Vous n'avez pas démérité, vous êtes allé au charbon plein d'enthousiasme. Et vous avez bien fait de délaisser un individu peu étouffé par les scrupules pour tenter autre chose.
Pas de bol. Malgré la volonté, en ce monde impitoyable, la volonté et l'envie ne suffisent plus.
Un investisseur égyptien, lui aussi vraisemblablement sans états d'âme, vous a fait des promesses… qui, comme chacun le sait hélas trop bien, n'engagent que ceux qui veulent bien les croire.
Parce que, dans une entreprise comme la vôtre, petite, mais dont l'avenir semblait prometteur, la trésorerie, c'est aussi le nerf de cette bataille. Mais la tréso, quand elle reste bloquée ailleurs, c'est pas très bon pour une société sans grands moyens et qui démarre.
J'ai, hélas, entendu aussi un ami pleurer durant ce week-end.
Et c'est pas facile, parce que, trop souvent, on ne peut trouver les mots de soutien.
Aussi, ce modeste édito est dédié à toute cette équipe qui avait entamé une aventure sympa.
A vous, Georges, Olivia, Michel et tous les autres, un grand bravo pour avoir tenté de voir le tourisme autrement.
Vous n'avez pas démérité, vous êtes allé au charbon plein d'enthousiasme. Et vous avez bien fait de délaisser un individu peu étouffé par les scrupules pour tenter autre chose.
Pas de bol. Malgré la volonté, en ce monde impitoyable, la volonté et l'envie ne suffisent plus.
Un investisseur égyptien, lui aussi vraisemblablement sans états d'âme, vous a fait des promesses… qui, comme chacun le sait hélas trop bien, n'engagent que ceux qui veulent bien les croire.
Parce que, dans une entreprise comme la vôtre, petite, mais dont l'avenir semblait prometteur, la trésorerie, c'est aussi le nerf de cette bataille. Mais la tréso, quand elle reste bloquée ailleurs, c'est pas très bon pour une société sans grands moyens et qui démarre.
Ce qui m'amène à réfléchir un tout petit peu sur le système en France et sur lequel, producteurs et distributeurs s'opposent.
Parce que, si l'on examine objectivement la situation d'Autrement Voyages, le chiffre d'affaires est bon. La réussite commerciale est indéniable.
Seul problème, les délais de paiement entre le distributeur et le producteur sont trop longs. Beaucoup trop longs.
Bien sûr, les réseaux, qui engrangent la monnaie en amont, peuvent se montrer "solidaires"… mais sans grand risque, puisque, finalement, le fric est déjà dans les caisses.
Peut-être là, y aurait-il matière à véritable débat entre les uns et les autres…
Autre sujet de réflexion. La fameuse banque d'Investissement, la BPI, qui a absorbé Oséo (laquelle n'a jamais beaucoup osé), à quoi ça sert, si ce n'est à soutenir des entreprises saines qui ont besoin d'investisseurs ?
J'aimerais beaucoup que Mademoiselle Pinel et ses acolytes au pouvoir nous répondent…
Peut-être que le syndicat devrait se mobiliser un tout petit peu plus fermement sur cette questuion, non ?
Quoi qu'il en soit, il convient de saluer la grande transparence avec laquelle Georges el Hayek et son équipe auront affronté cette crise. Au plus grand honneur de la profession et pour la protection de ses clients.
Bonne chance, amis…
Parce que, si l'on examine objectivement la situation d'Autrement Voyages, le chiffre d'affaires est bon. La réussite commerciale est indéniable.
Seul problème, les délais de paiement entre le distributeur et le producteur sont trop longs. Beaucoup trop longs.
Bien sûr, les réseaux, qui engrangent la monnaie en amont, peuvent se montrer "solidaires"… mais sans grand risque, puisque, finalement, le fric est déjà dans les caisses.
Peut-être là, y aurait-il matière à véritable débat entre les uns et les autres…
Autre sujet de réflexion. La fameuse banque d'Investissement, la BPI, qui a absorbé Oséo (laquelle n'a jamais beaucoup osé), à quoi ça sert, si ce n'est à soutenir des entreprises saines qui ont besoin d'investisseurs ?
J'aimerais beaucoup que Mademoiselle Pinel et ses acolytes au pouvoir nous répondent…
Peut-être que le syndicat devrait se mobiliser un tout petit peu plus fermement sur cette questuion, non ?
Quoi qu'il en soit, il convient de saluer la grande transparence avec laquelle Georges el Hayek et son équipe auront affronté cette crise. Au plus grand honneur de la profession et pour la protection de ses clients.
Bonne chance, amis…
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