Le port de Kos /photo Wikipedia
Eh bien, je vais vous dire... chapeau !
J'ai assisté de nombreuses fois à ces Forces de ventes. On en pense ce que l'on veut et je ne me permettrai surtout pas de m'ériger en expert, surtout vis à vis d'un réseau que je n'ai pas ménagé...
Mais là, ces trois jours sont exceptionnels.
Placés sous le signe de l'humain... de l'âme soulignait Bernard Garcia, l'un des grands ordonnateur de ces rencontres.
Ce sont d'ailleurs tous ces participants qui m'ont bluffé, en majorité des femmes d'ailleurs, souvent très jeunes, qui ont en quelque sorte, répondu à leur manière à la question qui était posée: « Pensons clients, soyons rassurants ».
C'était pas évident de se décider à venir dans cette région du monde où les télévisions du monde entier ont diffusé à profusion ces images de milliers de migrants, réfugiés, venus de pays assaillis par une guerre morbide, envahir cette petite île de Kos.
C'était pas facile non plus de répondre, le temps d'une journée, à l'invitation de Pacha Tours et de son Président, Mumtaz Tecker (celui qui, par amitié sans doute, me tape dans le dos à chaque rencontre, histoire de me faire éclater les poumons).
Se rendre à Bodrum, en Turquie, à peine quatre jours après l'attentat survenu à Ankara ? Fallait oser...
Et pourtant, à Bodrum, la vie est là, le soleil brille, la mer est belle. Et il ne fait même pas... peur. Tandis qu'à Paris ou à Rome, ou ailleurs une bombe peut exploser à chaque moment.
Et que Kos, malgré la crise que traverse l'Etat Grec, dépense sans compter pour aider ces malheureux pour qui le seul tort à été de vivre au mauvais moment au mauvais endroit.
Mais qui ne vont surement pas « importuner » les touristes... Bien au contraire.
J'ai assisté de nombreuses fois à ces Forces de ventes. On en pense ce que l'on veut et je ne me permettrai surtout pas de m'ériger en expert, surtout vis à vis d'un réseau que je n'ai pas ménagé...
Mais là, ces trois jours sont exceptionnels.
Placés sous le signe de l'humain... de l'âme soulignait Bernard Garcia, l'un des grands ordonnateur de ces rencontres.
Ce sont d'ailleurs tous ces participants qui m'ont bluffé, en majorité des femmes d'ailleurs, souvent très jeunes, qui ont en quelque sorte, répondu à leur manière à la question qui était posée: « Pensons clients, soyons rassurants ».
C'était pas évident de se décider à venir dans cette région du monde où les télévisions du monde entier ont diffusé à profusion ces images de milliers de migrants, réfugiés, venus de pays assaillis par une guerre morbide, envahir cette petite île de Kos.
C'était pas facile non plus de répondre, le temps d'une journée, à l'invitation de Pacha Tours et de son Président, Mumtaz Tecker (celui qui, par amitié sans doute, me tape dans le dos à chaque rencontre, histoire de me faire éclater les poumons).
Se rendre à Bodrum, en Turquie, à peine quatre jours après l'attentat survenu à Ankara ? Fallait oser...
Et pourtant, à Bodrum, la vie est là, le soleil brille, la mer est belle. Et il ne fait même pas... peur. Tandis qu'à Paris ou à Rome, ou ailleurs une bombe peut exploser à chaque moment.
Et que Kos, malgré la crise que traverse l'Etat Grec, dépense sans compter pour aider ces malheureux pour qui le seul tort à été de vivre au mauvais moment au mauvais endroit.
Mais qui ne vont surement pas « importuner » les touristes... Bien au contraire.
Il va falloir s'y habituer.
Je leur ai posé la question de savoir pourquoi ?
Dans leur grande majorité, la réponse a fusé, limpide: "si nous voulons vendre, nous devons savoir où nous envoyons nos clients."
C'est simple, n'est-il pas ?
Et pourtant, ces clients, ce sont des êtres humains, qui font confiance à d'autres êtres humains et qui mettent (en quelque sorte et- toutes proportions gardées) leur vie entre leurs mains.
Elles sont venues, elles ont vu. Elles les ont rencontrés, ces gens, réfugiés, qui essaient de garder une dignité... humaine, qui ne cherchent pas la pitié. Juste un brin d'humanité.
Elles leur ont parlé parfois à ces réfugiés qui cherchent avant tout à ne pas finir dans un « camp » mais qui croient pouvoir trouver du travail et vivre par eux-même.. et non pas de l'aide publique.
Mais sans connaître la réalité, nombreux sont les participants à ces Forces de Ventes qui sont arrivés, un petit (ou gros) carton dans les bras, remplis de chaussures, de vêtements, de jouets et de produits d'hygiène.
Parce qu'elles (et ils ne les oublions pas) font un métier qui repose essentiellement sur la connaissance humaine.
Qu'est ce que sait, finalement, le tourisme, que cette découverte et la rencontre avec d'autres peuples, d'autres cultures, d'autres religions ?
N'est-ce pas aussi un échange entre humains qui paraissent différents mais qui ne sont que des hommes, libres et égaux en droit ? Théoriquement du moins.
Ces argents de voyages sont venus sans crainte, animés j'ose le croire de cette soif d'apprendre, de découvrir et de participer.
J'ose espérer que demain, en rentrant dans leurs agences, ils pourront raconter ce qu'ils ont vécu.
Et que les produits touristiques qu'ils auront vendus seront, cette fois-ci, commissionnés à leur juste valeur. En toute équité
C'est Didier Calas durant la séance de clôture, de ces Forces de Ventes, qui a cité cette phrase de Darwin: « Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes ou les plus intelligentes, mais elles savent s'adapter ».
Il va vraiment falloir s'adapter à ce bouleversement du monde !
Je leur ai posé la question de savoir pourquoi ?
Dans leur grande majorité, la réponse a fusé, limpide: "si nous voulons vendre, nous devons savoir où nous envoyons nos clients."
C'est simple, n'est-il pas ?
Et pourtant, ces clients, ce sont des êtres humains, qui font confiance à d'autres êtres humains et qui mettent (en quelque sorte et- toutes proportions gardées) leur vie entre leurs mains.
Elles sont venues, elles ont vu. Elles les ont rencontrés, ces gens, réfugiés, qui essaient de garder une dignité... humaine, qui ne cherchent pas la pitié. Juste un brin d'humanité.
Elles leur ont parlé parfois à ces réfugiés qui cherchent avant tout à ne pas finir dans un « camp » mais qui croient pouvoir trouver du travail et vivre par eux-même.. et non pas de l'aide publique.
Mais sans connaître la réalité, nombreux sont les participants à ces Forces de Ventes qui sont arrivés, un petit (ou gros) carton dans les bras, remplis de chaussures, de vêtements, de jouets et de produits d'hygiène.
Parce qu'elles (et ils ne les oublions pas) font un métier qui repose essentiellement sur la connaissance humaine.
Qu'est ce que sait, finalement, le tourisme, que cette découverte et la rencontre avec d'autres peuples, d'autres cultures, d'autres religions ?
N'est-ce pas aussi un échange entre humains qui paraissent différents mais qui ne sont que des hommes, libres et égaux en droit ? Théoriquement du moins.
Ces argents de voyages sont venus sans crainte, animés j'ose le croire de cette soif d'apprendre, de découvrir et de participer.
J'ose espérer que demain, en rentrant dans leurs agences, ils pourront raconter ce qu'ils ont vécu.
Et que les produits touristiques qu'ils auront vendus seront, cette fois-ci, commissionnés à leur juste valeur. En toute équité
C'est Didier Calas durant la séance de clôture, de ces Forces de Ventes, qui a cité cette phrase de Darwin: « Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes ou les plus intelligentes, mais elles savent s'adapter ».
Il va vraiment falloir s'adapter à ce bouleversement du monde !
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