Sébastien Bazin, qui avait bien noté la volonté de Sarko, après son échec cuisant « de se concentrer vers d’autres activités que la politique » a, si je puis dire, sauté sur l’occasion et placé notre président déchu Nicolas Sarkozy au conseil d’administration d’Accorhotels - Photo © carballo - Fotolia.com
Ou plutôt, c’est la suite quasi présidentielle que va occuper dans le groupe hôtelier, Nicolas Sarkozy, plus connu comme notre ancien Président de la République.
Et accessoirement, irrémédiablement dégagé par ses propres troupes lors de la primaire de la droite, destinée à « nominer » un candidat crédible à la présidence de notre pays pour les prochaines élections du printemps.
En apprenant cette nomination, fortuite surement, j’ai eu une petite pensée pour mon nouvel ami, Roland Héguy, lequel a une vraie conception du « tourisme » et avance cette idée que le secteur est une source de paix.
Ben, pour notre président déchu, la paix, c’est bien le tourisme, particulièrement chez Accor, où, comme par un hasard que je qualifierai de fortuit (oui, je sais, le hasard c’est toujours fortuit), un membre éminent du Conseil d’Administration a « fortuitement » démissionné.
Du coup, le patron du groupe, Sébastien Bazin, qui avait bien noté la volonté de Sarko, après son échec cuisant « de se concentrer vers d’autres activités que la politique » a, si je puis dire, sauté sur l’occasion et placé notre président déchu au conseil d’administration d’Accorhotels, en tant que « président (au moins, il restera président de quelque chose) du comité de stratégie internationale ».
Et accessoirement, irrémédiablement dégagé par ses propres troupes lors de la primaire de la droite, destinée à « nominer » un candidat crédible à la présidence de notre pays pour les prochaines élections du printemps.
En apprenant cette nomination, fortuite surement, j’ai eu une petite pensée pour mon nouvel ami, Roland Héguy, lequel a une vraie conception du « tourisme » et avance cette idée que le secteur est une source de paix.
Ben, pour notre président déchu, la paix, c’est bien le tourisme, particulièrement chez Accor, où, comme par un hasard que je qualifierai de fortuit (oui, je sais, le hasard c’est toujours fortuit), un membre éminent du Conseil d’Administration a « fortuitement » démissionné.
Du coup, le patron du groupe, Sébastien Bazin, qui avait bien noté la volonté de Sarko, après son échec cuisant « de se concentrer vers d’autres activités que la politique » a, si je puis dire, sauté sur l’occasion et placé notre président déchu au conseil d’administration d’Accorhotels, en tant que « président (au moins, il restera président de quelque chose) du comité de stratégie internationale ».
Dominique Gobert et chien Charly - DR
Ben oui, prenez-en de la graine, vous autres, victimes du regroupement « stratégique » entre TUI et Transat. Et finalement, soyez heureux, on ne vous reclassera pas aussi bien…
Si j’ai bonne mémoire, mais je crois encore l’avoir, je n’ai pas souvenir que le quinquennat de Sarkozy ait été marqué par une ouverture fabuleuse et des mesures fortes en faveur de notre secteur du tourisme.
Si j’ai bonne mémoire, hormis Hervé Novelli, au tourisme on a eu que des sympathiques (enfin, c’est une façon de parler) amateurs au tourisme. Avec une pensée très émue pour notre bon Fred Zadig, lequel est depuis fâché avec son Président…
Mais bon, pour Accor, c’est surement une sorte de renvoi d’ascenseur. Encore que, la mission de ce comité de stratégie internationale ne soit pas franchement encore définie, mais ça ne saurait tarder.
Mais avouez que pour Accor, avoir un ancien Président de la République comme Majordome de Luxe, ça en jette, n'est-il pas ?
D’autant que, dans le communiqué publié par Accor, Sébastien Bazin n’y va pas de main morte, je cite : « l'expertise internationale de Nicolas Sarkozy et sa parfaite connaissance des enjeux géopolitiques mondiaux seront de formidables atouts pour le groupe ».
Si j’ai bonne mémoire, mais je crois encore l’avoir, je n’ai pas souvenir que le quinquennat de Sarkozy ait été marqué par une ouverture fabuleuse et des mesures fortes en faveur de notre secteur du tourisme.
Si j’ai bonne mémoire, hormis Hervé Novelli, au tourisme on a eu que des sympathiques (enfin, c’est une façon de parler) amateurs au tourisme. Avec une pensée très émue pour notre bon Fred Zadig, lequel est depuis fâché avec son Président…
Mais bon, pour Accor, c’est surement une sorte de renvoi d’ascenseur. Encore que, la mission de ce comité de stratégie internationale ne soit pas franchement encore définie, mais ça ne saurait tarder.
Mais avouez que pour Accor, avoir un ancien Président de la République comme Majordome de Luxe, ça en jette, n'est-il pas ?
D’autant que, dans le communiqué publié par Accor, Sébastien Bazin n’y va pas de main morte, je cite : « l'expertise internationale de Nicolas Sarkozy et sa parfaite connaissance des enjeux géopolitiques mondiaux seront de formidables atouts pour le groupe ».
Autres articles
Sur, Bill, il connait les enjeux géopolitiques mondiaux comme sa poche, notre ex-président. On a vu la Libye par exemple. Combien d’hôtels Accor dans ce pays ?
Et puis, il cause tellement bien l'anglais! A l'international, c'est clair : il va faire un malheur...
Mais serait-ce à dire que Sarkozy va définitivement quitter la politique ? Après tout, quand on a un job, allez, à la louche à 50 000€, en sus de toutes ses indemnités diverses et variées, on essaie de s’acquitter de la tâche.
Ouais, n’oublions quand même pas que l’hébergement chez Accor n’est, si je puis dire que de la demi-pension, le conseil d’administration ne donnant lieu qu’à une dizaine de réunions par an.
Mais faudra présider ce comité stratégique. Et commencer par instaurer comme obligatoire la musique d’ambiance dans les hôtels du groupe de chansons de Carla. Ça inspire immédiatement une grande zénitude…
Après tout, Montebourg, autre politique déchu qui voulait quitter les affaires, avait bien une « mission » chez Habitat. Histoire de vivre, sans doute…
Allez, rassurons-nous, le tourisme a encore de beaux jours à vivre. Et puis, Sarko chez Accor, c’est un peu comme si on demandait à Giscard d’Estaing de présider le Club Med…
Comment, c’est déjà fait ? Caramba, c’est pas des Chinois ?!
Et puis, il cause tellement bien l'anglais! A l'international, c'est clair : il va faire un malheur...
Mais serait-ce à dire que Sarkozy va définitivement quitter la politique ? Après tout, quand on a un job, allez, à la louche à 50 000€, en sus de toutes ses indemnités diverses et variées, on essaie de s’acquitter de la tâche.
Ouais, n’oublions quand même pas que l’hébergement chez Accor n’est, si je puis dire que de la demi-pension, le conseil d’administration ne donnant lieu qu’à une dizaine de réunions par an.
Mais faudra présider ce comité stratégique. Et commencer par instaurer comme obligatoire la musique d’ambiance dans les hôtels du groupe de chansons de Carla. Ça inspire immédiatement une grande zénitude…
Après tout, Montebourg, autre politique déchu qui voulait quitter les affaires, avait bien une « mission » chez Habitat. Histoire de vivre, sans doute…
Allez, rassurons-nous, le tourisme a encore de beaux jours à vivre. Et puis, Sarko chez Accor, c’est un peu comme si on demandait à Giscard d’Estaing de présider le Club Med…
Comment, c’est déjà fait ? Caramba, c’est pas des Chinois ?!