Et c’est bien. Mais, c’est clair, il fallait aussi un président qui en veuille. Un chef d’entreprise, en quelque sorte, un visionnaire bosseur qui a toujours (ou souvent) un coup d’avance.
C’est le Duce, appellation pour le moins improbable, mais qui résume assez bien le virage qu’il aura instauré dans cette maison qui n’avait pas connu un tel changement depuis sa création et la volonté farouche de son créateur Philippe Demonchy.
Vous l’aurez aisément reconnu, je parle de Laurent Abitbol, ce patron qui n’est pas un patron (selon sa propre expression) chez Selectour, mais qui voudrait aller encore plus vite.
Faudrait quand même qu’il parle un tout petit peu moins vite, chaque fois que je l’interroge, je suis obligé d’écouter le son en vitesse lente. A ce propos d’ailleurs, on devrait faire un concours entre lui et Jean-Pierre Nadir : c’est au moins du cinquante mots à la seconde !
C’est le Duce, appellation pour le moins improbable, mais qui résume assez bien le virage qu’il aura instauré dans cette maison qui n’avait pas connu un tel changement depuis sa création et la volonté farouche de son créateur Philippe Demonchy.
Vous l’aurez aisément reconnu, je parle de Laurent Abitbol, ce patron qui n’est pas un patron (selon sa propre expression) chez Selectour, mais qui voudrait aller encore plus vite.
Faudrait quand même qu’il parle un tout petit peu moins vite, chaque fois que je l’interroge, je suis obligé d’écouter le son en vitesse lente. A ce propos d’ailleurs, on devrait faire un concours entre lui et Jean-Pierre Nadir : c’est au moins du cinquante mots à la seconde !
Il veut changer la dénomination du réseau : il a entièrement raison, parce que, encore une fois, on ne vit pas sur le passé, mais résolument vers l’avenir : Selectour-Afat, c’était la facilité, la bonne conscience afin de ne pas froisser les uns et surtout les autres. (Lire)
Périmé, tout ça, trop compliqué et finalement, le client s’en cogne. Selectour, c’est simple… en attendant de basculer carrément vers une marque qui veuille dire quelque chose pour le chaland, celui qui vous fait vivre. Havas ? Bon, pudiquement, le Duce affirme n’y avoir jamais pensé, mais bon, on en parlera plus tard.
Et comme ce n’est pas vraiment un Duce, mais un homme qui respecte profondément la démocratie et l’esprit coopérateur de ce réseau, il veut faire passer ses réformes avec un consensus sans contestations aucunes.
C’est bien. Si la majorité n’est pas d’accord, tant pis, mais ce serait vraiment dommage et il ne magouillera pas.
Il reste d’ailleurs extrêmement modeste sur sa conception du « renouveau » de ce réseau, le père Abitbol, soucieux de ramener enfin la paix au sein d’une association qui a bien souffert.
En même temps, il faut malgré tout reconnaitre que les « dissidents » de ce réseau, ceux qui se battaient pour l’intérêt de l’ensemble des adhérents, petites agences pour leur grande part, ont finalement eu gain de cause.
Périmé, tout ça, trop compliqué et finalement, le client s’en cogne. Selectour, c’est simple… en attendant de basculer carrément vers une marque qui veuille dire quelque chose pour le chaland, celui qui vous fait vivre. Havas ? Bon, pudiquement, le Duce affirme n’y avoir jamais pensé, mais bon, on en parlera plus tard.
Et comme ce n’est pas vraiment un Duce, mais un homme qui respecte profondément la démocratie et l’esprit coopérateur de ce réseau, il veut faire passer ses réformes avec un consensus sans contestations aucunes.
C’est bien. Si la majorité n’est pas d’accord, tant pis, mais ce serait vraiment dommage et il ne magouillera pas.
Il reste d’ailleurs extrêmement modeste sur sa conception du « renouveau » de ce réseau, le père Abitbol, soucieux de ramener enfin la paix au sein d’une association qui a bien souffert.
En même temps, il faut malgré tout reconnaitre que les « dissidents » de ce réseau, ceux qui se battaient pour l’intérêt de l’ensemble des adhérents, petites agences pour leur grande part, ont finalement eu gain de cause.
Autres articles
N’oublions jamais que, ce que ne veux absolument pas commenter le Duce, les erreurs et l’intolérable arrogance de la direction précédente ont coûté quand même la bagatelle du million d’euros à l’ensemble de l’association. Et que je connais un certain nombre d’agences adhérentes qui auraient préféré recevoir un petit sous plutôt que de ramer et pour certains, licencier du personnel…
N’oublions jamais que certains TO, pas forcément en position de force (c’est écrit exprès, pas la peine de corriger) n’ont jamais voulu céder au diktat du TTC. Que ce soit Transat ou Kuoni, pour ne pas les citer, eux s’en sortent plutôt pas mal…
Va falloir maintenant soutenir la position, notamment vis-à-vis du géant, le TUI France, dont le contrat arrive à expiration à la fin de l’année.
Personne n’est indispensable, souligne Abitbol. Nous arriverons à établir un contrat gagnant-gagnant… ou pas !
C’est le « ou pas » qui est intéressant !
Mais il va falloir les mettre sur la table…
N’oublions jamais que certains TO, pas forcément en position de force (c’est écrit exprès, pas la peine de corriger) n’ont jamais voulu céder au diktat du TTC. Que ce soit Transat ou Kuoni, pour ne pas les citer, eux s’en sortent plutôt pas mal…
Va falloir maintenant soutenir la position, notamment vis-à-vis du géant, le TUI France, dont le contrat arrive à expiration à la fin de l’année.
Personne n’est indispensable, souligne Abitbol. Nous arriverons à établir un contrat gagnant-gagnant… ou pas !
C’est le « ou pas » qui est intéressant !
Mais il va falloir les mettre sur la table…