La Case de l'Oncle Dom : Toute ma vie, j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air… chez transavia !

« Toute ma vie, j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air,
Toute ma vie j’ai rêvé d’avoir, d’avoir… les fesses en l’air ».

J’avoue cette chanson de Dutronc m’a toujours bien fait rire.

Et puis, avouez, bande d’hypocrites : qui n’a pas un jour imaginer s’envoyer en l’air à bord d’un aéroplane ?

Tiens, j’en vois qui s’agitent…

Eh bien, malgré le scandale que s’apprêtent à déclencher les pisse-froids et les bien-pensants, je suis assez fier de cette anecdote, qui se serait produite à bord des aéroplanes de transavia, filiale low cost d’Air France-KLM.

Comme quoi, même si la compagnie souffre encore, il reste quand même des personnels qui ne déchirent pas leurs chemises, mais abandonnent gaillardement leur petite culotte…

Ce sont nos camarades et confrères de L’Express et d'Europe 1 qui racontent l'histoire de cette hôtesse, chef de cabine chez transavia, laquelle semble avoir mis en pratique la chanson de Dutronc.

Cette dame n’a eu qu’un tort, c’est d’une part, d’avoir consigné ses aventures sexuelles dans son journal intime… et surtout d’être mariée !

Le cocu, c’est bien connu, n’est pas un grand délicat. Et bien évidemment, il est tombé sur les notes intimes de sa compagne, sentant bien évidemment quelques démangeaisons cornues sur son front dégarni !

Faut dire que la belle hôtesse, apparemment, s’en donnait à cœur (et à cul) joie !

Vous pensez bien aussi que le cocu s’en est donné, lui aussi, à cœur triste et menace de révéler les noms, les dates, et tout et tout !

Et bien entendu, c’est la presse batave, en l’occurrence Le Telegraaf, qui a repris l’affaire, histoire de taper un peu plus sur ces Français soudards, qui non seulement n’arrivent pas à gérer correctement Air France et surtout KLM, mais qui ne pensent qu’à faire l’amour dans les avions…

Mais pour les Bataves, pas trop question de parler cul… et cru.

Non, ces braves amis préfèrent parler de « sécurité », arguant notamment que la belle hôtesse s’envoyait les fesses en l’air dans le cockpit avec le pilote, mettant en péril la sécurité des passagers.

Il est vrai que si le reste de l’équipage passait son temps l’oreille collée à la porte du poste de pilotage, fallait de la patience pour les passagers réclamant à cor et à cri un verre d’eau, s’inquiétant des cris énamourés.

Parait qu’il y en a eu un qui demandait si l’on égorgeait pas un cochon…

Bon. Selon notre confrère, transavia aurait aimé passer sous silence cette aventure, mais les Bataves ne l’entendent pas de cette oreille (ou de ce que vous voulez) !

Du coup, transavia aurait déposé une plainte qui sera examinée en Batavie le 24 octobre 2016.

D’ici là, chez transavia, on va faire profil bas. Et pas question qu’une hôtesse aille tenir le manche dans le poste de pilotage…

Caramba !