Étonnante cette nouvelle révélée par le Wall Street Journal au sujet de Google et son amour démesuré de la concurrence.
Et il semble bien que Google n'ait strictement rien à foutre de ses concurrents, quitte à tricher éhontément pour les éliminer sans pitié.
Particulièrement d'ailleurs dans le secteur du tourisme. Profession certes méprisée (ou du moins largement sous-estimée) de la part des pouvoirs publics français, mais qui vient souvent au premier rang des innovations technologiques.
A preuve, la croissance extrêmement rapide des Tripadvisor et autres comparateurs de voyages qui ont rapidement développé un modèle économique d'une extrême rentabilité…
Et je comprends aisément l'ami Nadir qui ne rêve (enfin, façon de parler) que de pouvoir revendre à prix malin son Easyvoyage à… Google !
Lequel, si j'ai bien tout compris, préfère se "servir" de ce qui existe déjà, mais surtout mettre en avant ses propres produits.
Et il semble bien que Google n'ait strictement rien à foutre de ses concurrents, quitte à tricher éhontément pour les éliminer sans pitié.
Particulièrement d'ailleurs dans le secteur du tourisme. Profession certes méprisée (ou du moins largement sous-estimée) de la part des pouvoirs publics français, mais qui vient souvent au premier rang des innovations technologiques.
A preuve, la croissance extrêmement rapide des Tripadvisor et autres comparateurs de voyages qui ont rapidement développé un modèle économique d'une extrême rentabilité…
Et je comprends aisément l'ami Nadir qui ne rêve (enfin, façon de parler) que de pouvoir revendre à prix malin son Easyvoyage à… Google !
Lequel, si j'ai bien tout compris, préfère se "servir" de ce qui existe déjà, mais surtout mettre en avant ses propres produits.
En même temps, là où y'a de la gêne, y'a pas de plaisir et comme Google est un peu le maître de ballet de ce grand jeu virtuel, on peut se demander pourquoi le géant américain aurait consenti à faire preuve d'un tant soit peu de déontologie.
Caramba. C'est vrai que les intérêts financiers sont tellement élevés que rien ne peut arrêter Google et son hégémonie quasi planétaire.
Le rapport de la FTC (Federal Trade Administration, notre DGCCRF française) est particulièrement éloquent : non seulement Google plaçait systématiquement ses propres produits, parfois bien moins performants en tête de pages, mais n'hésitait pas non plus à carrément les enlever des listes !
Pas vraiment glop, n'est-il pas. Et encore, c'est pas tout.
Il semblerait même que Google n'ait pas suffisamment de moyens, ni de collaborateurs bourrés d'idées et qu'ils fassent parfois un "copier-coller" du contenu de certains de leurs concurrents.
Toujours pas Glop !
Caramba. C'est vrai que les intérêts financiers sont tellement élevés que rien ne peut arrêter Google et son hégémonie quasi planétaire.
Le rapport de la FTC (Federal Trade Administration, notre DGCCRF française) est particulièrement éloquent : non seulement Google plaçait systématiquement ses propres produits, parfois bien moins performants en tête de pages, mais n'hésitait pas non plus à carrément les enlever des listes !
Pas vraiment glop, n'est-il pas. Et encore, c'est pas tout.
Il semblerait même que Google n'ait pas suffisamment de moyens, ni de collaborateurs bourrés d'idées et qu'ils fassent parfois un "copier-coller" du contenu de certains de leurs concurrents.
Toujours pas Glop !
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Et comme, au pays de la libre concurrence, quand les rivaux se plaignent, on fait donner l'artillerie lourde : comment, vous n'êtes pas contents ? On vous vire et circulez, y'a rien à voir.
Mon pauvre ami Nadir, va y'avoir un sacré boulot pour vendre easy aux Yankees !
Et là, je rejoins entièrement mon camarade, parfois ami, souvent contradicteur, Jean-François Rial.
N'avait-il pas écrit une tribune avec Guillaume Pépy, afin de hurler contre la position ultra-dominante de Google ? Sans toutefois réellement croire à une véritable décision et (éventuelle) sanction de la part des autorités…
D'ailleurs, du côté des Yankees, il semble que finalement toute cette affaire se règle en catimini et dans les recoins les plus discrets.
Quant à l'Europe, faut prendre le temps… du temps. En 2010, une enquête a été lancée par Bruxelles pour "soupçons d'abus d'abus de position dominante dans la recherche en ligne et la publicité".
Ça fait jamais que cinq ans. L'Europe péclote et Google avance.
Tranquille… et sans aucun complexe !
Mon pauvre ami Nadir, va y'avoir un sacré boulot pour vendre easy aux Yankees !
Et là, je rejoins entièrement mon camarade, parfois ami, souvent contradicteur, Jean-François Rial.
N'avait-il pas écrit une tribune avec Guillaume Pépy, afin de hurler contre la position ultra-dominante de Google ? Sans toutefois réellement croire à une véritable décision et (éventuelle) sanction de la part des autorités…
D'ailleurs, du côté des Yankees, il semble que finalement toute cette affaire se règle en catimini et dans les recoins les plus discrets.
Quant à l'Europe, faut prendre le temps… du temps. En 2010, une enquête a été lancée par Bruxelles pour "soupçons d'abus d'abus de position dominante dans la recherche en ligne et la publicité".
Ça fait jamais que cinq ans. L'Europe péclote et Google avance.
Tranquille… et sans aucun complexe !