L'Oncle Dom revient sur l'assemblée générale de TourCom... - Photo DR
Sans vergogne, ni, il faut bien le dire, sans grand discernement !
Mais, comme le souligne mon confrère du QdT, il insiste "sur la nécessité pour toutes les organisations de se remettre en cause en permanence".
Ben, si je puis m'exprimer ainsi, charité bien ordonnée commence par soi-même…
Première visée par le tir de missiles du chef général de TourCom et ses satellites : l'APST. Roooh, là ce sont des frappes pas franchement chirurgicales et y'a du dégât collatéral.
Vainopoulos estime que l'APST a fait face au départ d'entreprises importantes et que sur les 15 TO "leaders" sur leur marché, 9 ont quitté l'association. Les autres, les "petits", genre TUI ou Thomas Cook apprécieront.
Quant aux "9 gros", sorti de Kuoni, Voyageurs, Transat ou Salaün, j'en vois pas d'autres… mais j'ai peut-être la mémoire flancheuse !
Je poursuis la lecture de la litanie du général commandant TourCom. Sur, et je cite, pour "les 15 leaders de la distribution, la situation est la même".
Ben, sorti de Prêt-à-Partir ou d'Univairmer, je vois pas trop le problème : Thomas Cook, Amex, Marietton, TUI, Costa sont rentrés ou restés.
Mais si Vainopoulos cause des quelque 80/85 adhérents de TourCom qui ont obéi à ses injonctions, c'est sûr que "les gros sont partis" !
Mais, comme le souligne mon confrère du QdT, il insiste "sur la nécessité pour toutes les organisations de se remettre en cause en permanence".
Ben, si je puis m'exprimer ainsi, charité bien ordonnée commence par soi-même…
Première visée par le tir de missiles du chef général de TourCom et ses satellites : l'APST. Roooh, là ce sont des frappes pas franchement chirurgicales et y'a du dégât collatéral.
Vainopoulos estime que l'APST a fait face au départ d'entreprises importantes et que sur les 15 TO "leaders" sur leur marché, 9 ont quitté l'association. Les autres, les "petits", genre TUI ou Thomas Cook apprécieront.
Quant aux "9 gros", sorti de Kuoni, Voyageurs, Transat ou Salaün, j'en vois pas d'autres… mais j'ai peut-être la mémoire flancheuse !
Je poursuis la lecture de la litanie du général commandant TourCom. Sur, et je cite, pour "les 15 leaders de la distribution, la situation est la même".
Ben, sorti de Prêt-à-Partir ou d'Univairmer, je vois pas trop le problème : Thomas Cook, Amex, Marietton, TUI, Costa sont rentrés ou restés.
Mais si Vainopoulos cause des quelque 80/85 adhérents de TourCom qui ont obéi à ses injonctions, c'est sûr que "les gros sont partis" !
Si j'en crois les chiffres délivrés par l'APST durant sa dernière assemblée générale, le nombre d'adhérents à l'APST est de l'ordre de 3 500 !
Contre environ 3 300 l'année dernière et malgré les départs…
Quant à la perte de recettes, permettez-moi de me gausser : à l'arrivée de Raoul Nabet, en 2009, la recette s'élevait à 6,8 M€. En janvier 2016, ces mêmes recettes se montaient à 13,8 M€ et devraient atteindre les 15 briques à la fin de l'année…
Sacrées pertes, non ?
Quant à réclamer bulletins de salaires ou déclarations d'impôts, il est certain que, lorsque l'on veut "garantir", il semble normal de vérifier la solvabilité du requérant.
Bien que ce ne soit pas systématique et je ne crois pas que le président de TUI ou celui de Club Med ait eu à justifier d'un salaire… Même des adhérents de TourCom n'ont pas trouvé ça ignoble (j'ai des noms) !
Modifications des statuts, pleure le grand Vaino, qui "empêche, en cas de défaillance, de rembourser le client en monnaie". Rien de tel n'existe dans ces statuts qui concernent les modifications de durée des mandats et l'adaptation de la garantie à la loi Novelli.
Mais il est certain que la priorité, en cas de défaillance, est la reprotection du client.
La mitraillade sur le Snav est petite également. En fin politique, Jean-Pierre Mas, avec qui je ne suis jamais tendre, a fait preuve de finesse en méprisant cette attaque.
Certes, le syndicat a changé de nom (ce qui politiquement et face à d'autres organismes, est d'une remarquable finesse), mais mine de rien, il a participé avec force et obtenu gain de cause en présentant quelques amendements à la Loi Travail, qui auraient pu pénaliser gravement la profession, notamment le projet de taxation des aides des entreprises aux CE…
Contre environ 3 300 l'année dernière et malgré les départs…
Quant à la perte de recettes, permettez-moi de me gausser : à l'arrivée de Raoul Nabet, en 2009, la recette s'élevait à 6,8 M€. En janvier 2016, ces mêmes recettes se montaient à 13,8 M€ et devraient atteindre les 15 briques à la fin de l'année…
Sacrées pertes, non ?
Quant à réclamer bulletins de salaires ou déclarations d'impôts, il est certain que, lorsque l'on veut "garantir", il semble normal de vérifier la solvabilité du requérant.
Bien que ce ne soit pas systématique et je ne crois pas que le président de TUI ou celui de Club Med ait eu à justifier d'un salaire… Même des adhérents de TourCom n'ont pas trouvé ça ignoble (j'ai des noms) !
Modifications des statuts, pleure le grand Vaino, qui "empêche, en cas de défaillance, de rembourser le client en monnaie". Rien de tel n'existe dans ces statuts qui concernent les modifications de durée des mandats et l'adaptation de la garantie à la loi Novelli.
Mais il est certain que la priorité, en cas de défaillance, est la reprotection du client.
La mitraillade sur le Snav est petite également. En fin politique, Jean-Pierre Mas, avec qui je ne suis jamais tendre, a fait preuve de finesse en méprisant cette attaque.
Certes, le syndicat a changé de nom (ce qui politiquement et face à d'autres organismes, est d'une remarquable finesse), mais mine de rien, il a participé avec force et obtenu gain de cause en présentant quelques amendements à la Loi Travail, qui auraient pu pénaliser gravement la profession, notamment le projet de taxation des aides des entreprises aux CE…
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Enfin, le patron chef général de TourCom en remet une couche sur Iata et "l'indolence" des instances face aux nouvelles exigences des compagnies aériennes, s'attribuant au passage le mérite d'être "intervenu le premier", dans son bulletin interne, "Redac".
C'est vrai que la diffusion de ce blog est quasi mondiale et dépasse largement l'audimat dégagé par TourMaG.com, par exemple...
Ben, si j'ai bonne mémoire, Snav, Seto et APST avaient déjà pris le problème à bras le corps et obtenu quelques aménagements.
Et TourCom fait partie des membres de la commission paritaire de l'APJC. Et que toutes les décisions ont été prises à l'unanimité.
Ainsi, à la réunion du 11 mars 2015, c'est Patrick Loison qui représentait TourCom. Il a voté ce jour là. Pour !
Le 21 juin 2015, date de la seconde réunion sur le sujet, TourCom aurait dû participer, toujours avec Patrick Loison. Ce dernier n'est pas venu…
Et enfin, lors de la réunion du 13 avril dernier, lors des "questions diverses" qui devaient aborder le sujet, Richard Vainopoulos en personne représentait son réseau.
Son silence, ce jour-là, a été assourdissant !
En revanche, SNAV, SETO, APST, BAR, qui ne sont admis qu'en tant qu'observateurs, n'ont pas le droit de voter !
Mais au moins, on est content de voir que chez TourCom, la démocratie reste la base de fonctionnement : Vainopoulos, Loison et les fidèles du leader maximo ont été brillamment élus !
C'est vrai que la diffusion de ce blog est quasi mondiale et dépasse largement l'audimat dégagé par TourMaG.com, par exemple...
Ben, si j'ai bonne mémoire, Snav, Seto et APST avaient déjà pris le problème à bras le corps et obtenu quelques aménagements.
Et TourCom fait partie des membres de la commission paritaire de l'APJC. Et que toutes les décisions ont été prises à l'unanimité.
Ainsi, à la réunion du 11 mars 2015, c'est Patrick Loison qui représentait TourCom. Il a voté ce jour là. Pour !
Le 21 juin 2015, date de la seconde réunion sur le sujet, TourCom aurait dû participer, toujours avec Patrick Loison. Ce dernier n'est pas venu…
Et enfin, lors de la réunion du 13 avril dernier, lors des "questions diverses" qui devaient aborder le sujet, Richard Vainopoulos en personne représentait son réseau.
Son silence, ce jour-là, a été assourdissant !
En revanche, SNAV, SETO, APST, BAR, qui ne sont admis qu'en tant qu'observateurs, n'ont pas le droit de voter !
Mais au moins, on est content de voir que chez TourCom, la démocratie reste la base de fonctionnement : Vainopoulos, Loison et les fidèles du leader maximo ont été brillamment élus !