Ce qui est assez clair et pour lequel je n'ai pas franchement de réponse, c'est ce qu'appelle Laurent Fabius la "Question cruciale". Et la question "cruciale", ça s'appelle pognon, argent, oseille, fric, flouze… Des sous, quoi ! - © fotogestoeber - Fotolia.com
L'arrivée de Laurent Fabius à la tête du tourisme en France, on en dira ce que l'on voudra, mais ça, c'est du vrai changement.
Un des rares changements d'ailleurs dans la nouvelle donne organisée après l'élection de François Hollande.
Assisté d'ailleurs plutôt intelligemment (et c'est assez rare que je cire les pompes) par Carole Delga et Matthias Fekl, le boulot est plutôt bien fait.
Les propositions faites d'ailleurs par les différentes commissions du Comité Stratégique du Tourisme en sont la preuve.
En tout cas, ça change singulièrement de l'inertie, pour ne pas dire l'incompétence totale de Mademoiselle, laquelle d'ailleurs, semble aussi plutôt briller par sa discrétion au nouveau job qu'elle a au sein du gouvernement.
Évidemment, parmi les projets, on va se relancer dans une énième campagne d'accueil, style "Bonjour". Ça avait déjà coûté à l'époque des millions pour un résultat strictement nul…
Mais bon. On va recommencer, sur un style plus "humour" a dit Fabius, qui lui-même n'en manque pas. On va voir.
En revanche, lui qui semble décidé, dans ses ambitions, à tenter de former les acteurs du tourisme à parler plusieurs langues, va y avoir du boulot de ce côté.
Un des rares changements d'ailleurs dans la nouvelle donne organisée après l'élection de François Hollande.
Assisté d'ailleurs plutôt intelligemment (et c'est assez rare que je cire les pompes) par Carole Delga et Matthias Fekl, le boulot est plutôt bien fait.
Les propositions faites d'ailleurs par les différentes commissions du Comité Stratégique du Tourisme en sont la preuve.
En tout cas, ça change singulièrement de l'inertie, pour ne pas dire l'incompétence totale de Mademoiselle, laquelle d'ailleurs, semble aussi plutôt briller par sa discrétion au nouveau job qu'elle a au sein du gouvernement.
Évidemment, parmi les projets, on va se relancer dans une énième campagne d'accueil, style "Bonjour". Ça avait déjà coûté à l'époque des millions pour un résultat strictement nul…
Mais bon. On va recommencer, sur un style plus "humour" a dit Fabius, qui lui-même n'en manque pas. On va voir.
En revanche, lui qui semble décidé, dans ses ambitions, à tenter de former les acteurs du tourisme à parler plusieurs langues, va y avoir du boulot de ce côté.
D'autant que, si j'ai tout compris à la réforme du collège, il semblerait que l'enseignement des langues étrangères soit encore une source de discorde… A moins que je n'ai pas tout compris !
En revanche, ce qui est assez clair et pour lequel je n'ai pas franchement de réponse, c'est ce qu'appelle Laurent Fabius la "Question cruciale".
Et la question "cruciale", ça s'appelle pognon, argent, oseille, fric, flouze… Des sous, quoi !
Là, et je me suis fendu de la question durant le point presse de Fabius, j'ai comme senti un vague malaise, pour ne pas dire, incertitude.
On va, grâce à la Caisse de Dépôts et Consignations, "par effet de levier" (je savais pas qu'on faisait dans la mécanique) lever plusieurs centaines de millions d'euros. Bien.
Pas plus de précisions ? Non, désolé, On verra ça à l'automne…
Oh, on va aussi demander la constitution au Commissaire général à l'investissement, Louis Schweitzer, de "travailler à une enveloppe financière dans le cadre du troisième programme d'investissement d'avenir". Re bien. Combien l'enveloppe et à quelle échéance ?
En revanche, ce qui est assez clair et pour lequel je n'ai pas franchement de réponse, c'est ce qu'appelle Laurent Fabius la "Question cruciale".
Et la question "cruciale", ça s'appelle pognon, argent, oseille, fric, flouze… Des sous, quoi !
Là, et je me suis fendu de la question durant le point presse de Fabius, j'ai comme senti un vague malaise, pour ne pas dire, incertitude.
On va, grâce à la Caisse de Dépôts et Consignations, "par effet de levier" (je savais pas qu'on faisait dans la mécanique) lever plusieurs centaines de millions d'euros. Bien.
Pas plus de précisions ? Non, désolé, On verra ça à l'automne…
Oh, on va aussi demander la constitution au Commissaire général à l'investissement, Louis Schweitzer, de "travailler à une enveloppe financière dans le cadre du troisième programme d'investissement d'avenir". Re bien. Combien l'enveloppe et à quelle échéance ?
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Ah, si j'oubliais le petit coup de pouce demandé à la BPI pour aider le secteur…
Et enfin, j'ai un petit coup de blues pour ce pauvre Atout France, qui, si j'ai toujours bien compris, devrait être le grand maître d'œuvre des différents projets conduits par le ministre.
Certes, et c'est extrêmement valorisant pour les équipes d'Atout France. Le problème étant, encore une fois, la question financière.
Il est notoire que, d'année en année, le budget de cette institution chargée de porter haut et clair les couleurs de la France à l'étranger est en baisse.
Et pas qu'un peu, si j'en crois le dernier budget.
Y'a qu'a, faut qu'on… La réponse de Laurent Fabius est plus simple : ils devront être excellents !
Effectivement, c'est pas faux… Mais ça donne quand même pas les sous indispensables aux projets ambitieux du Ministère.
Mais au moins, on en parle… encore et toujours !
Et enfin, j'ai un petit coup de blues pour ce pauvre Atout France, qui, si j'ai toujours bien compris, devrait être le grand maître d'œuvre des différents projets conduits par le ministre.
Certes, et c'est extrêmement valorisant pour les équipes d'Atout France. Le problème étant, encore une fois, la question financière.
Il est notoire que, d'année en année, le budget de cette institution chargée de porter haut et clair les couleurs de la France à l'étranger est en baisse.
Et pas qu'un peu, si j'en crois le dernier budget.
Y'a qu'a, faut qu'on… La réponse de Laurent Fabius est plus simple : ils devront être excellents !
Effectivement, c'est pas faux… Mais ça donne quand même pas les sous indispensables aux projets ambitieux du Ministère.
Mais au moins, on en parle… encore et toujours !