Prenant la roue d’iDTGV, sa filiale, la SNCF annonce mercredi 3 juillet 2013 qu’elle reprend en main la restauration à bord de ses trains grandes lignes. Jusqu’alors, l’ensemble de la chaîne de services était assuré par Cremonini.
Une mission pour laquelle ce prestataire était déficitaire. Il recevait une subvention destinée à compenser le manque à gagner.
Avec sa nouvelle organisation, la SNCF va acheter ses produits par une autre de ses filiales : CRM Services. Ils seront ensuite mis à la disposition de Newrest. La logistique reste, elle, gérée par Avirail, société co-détenue par Geodis et Cremonini.
Un système qui "coûtera à la SNCF 1 million d’euros de plus par mois qu’actuellement", estime Gildas Le Gouvello, représentant CFDT-Restauration de la compagnie, cité par l’AFP.
Une mission pour laquelle ce prestataire était déficitaire. Il recevait une subvention destinée à compenser le manque à gagner.
Avec sa nouvelle organisation, la SNCF va acheter ses produits par une autre de ses filiales : CRM Services. Ils seront ensuite mis à la disposition de Newrest. La logistique reste, elle, gérée par Avirail, société co-détenue par Geodis et Cremonini.
Un système qui "coûtera à la SNCF 1 million d’euros de plus par mois qu’actuellement", estime Gildas Le Gouvello, représentant CFDT-Restauration de la compagnie, cité par l’AFP.
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