"ça devient lassant, dans le ciel européen, ces grèves à répétitions commises par nos contrôleurs aériens. " © romaneau - Fotolia
Vendredi prochain, 27 juillet 2018, c’est la dernière… grève organisée juste pour le plaisir et vraisemblablement sans grandes conséquences, par la CGT, histoire de fermer le ban d’une réforme indispensable.
Qui, de toute façon est en route et définitive.
Une grève qui aura coûté quand même la bagatelle de plus de 700 millions d’euros, que paieront les contribuables, c’est-à-dire l’ensemble de la population…
Comme pour le moment, c’est une affaire franco-française et que la concurrence n’est pas encore installée sur le réseau ferroviaire français, c’est quasi de la routine.
En revanche, ça commence à craindre du côté de la DGAC et de ses contrôleurs aériens. Faut dire que ça devient lassant, dans le ciel européen, ces grèves à répétition commises par nos contrôleurs aériens.
A tel point que plusieurs compagnies aériennes ont décidé de porter plainte auprès de la Commission Européenne contre la France.
Faut dire que, si on fait le compte, sur 29 jours de grève de ces sympathiques contrôleurs en Europe, 22 jours sont imputables aux Français !
On est les champions, on est les champions (je vous laisse mettre la musique sur ces paroles éternelles) !
Certes, parmi les porteurs de plaintes de ces compagnies européennes, on remarque la présence de cet inénarrable O’Leary, patron de Ryanair, que le terme même de grève couvre de boutons et met dans des transes dignes d’un chaman vaudou.
Faut pas oublier que chez Ryanair, cet été, c’est pas non plus la joie et que là aussi, va falloir affiner vos départs…
Qui, de toute façon est en route et définitive.
Une grève qui aura coûté quand même la bagatelle de plus de 700 millions d’euros, que paieront les contribuables, c’est-à-dire l’ensemble de la population…
Comme pour le moment, c’est une affaire franco-française et que la concurrence n’est pas encore installée sur le réseau ferroviaire français, c’est quasi de la routine.
En revanche, ça commence à craindre du côté de la DGAC et de ses contrôleurs aériens. Faut dire que ça devient lassant, dans le ciel européen, ces grèves à répétition commises par nos contrôleurs aériens.
A tel point que plusieurs compagnies aériennes ont décidé de porter plainte auprès de la Commission Européenne contre la France.
Faut dire que, si on fait le compte, sur 29 jours de grève de ces sympathiques contrôleurs en Europe, 22 jours sont imputables aux Français !
On est les champions, on est les champions (je vous laisse mettre la musique sur ces paroles éternelles) !
Certes, parmi les porteurs de plaintes de ces compagnies européennes, on remarque la présence de cet inénarrable O’Leary, patron de Ryanair, que le terme même de grève couvre de boutons et met dans des transes dignes d’un chaman vaudou.
Faut pas oublier que chez Ryanair, cet été, c’est pas non plus la joie et que là aussi, va falloir affiner vos départs…
Dominique Gobert
Et enfin, mes chouchous, ceux sans qui le transport aérien français ne serait que roupie de sansonnet, j’ai nommé les syndicats d’Air France.
Pas d’inquiétude pour cet été, période de vacances pour beaucoup, on est tranquille, les grèves, c’est terminé… jusqu’à la rentrée. On peut espérer que ce ne sera qu’en septembre prochain.
En même temps, en relisant les déclarations de l’intersyndicale Air France, j’avoue y aller d’un franc sourire.
Parce que, cette nouvelle menace concerne la gabegie à laquelle se sont livrés les propres syndicats Air France ces derniers mois.
Pour en arriver à la démission du dernier patron de la compagnie, Jean-Marc Janaillac.
Ben, figurez-vous que l’intersyndicale, SNPL en tête de cortège, menace maintenant de « reprendre les grèves dès la rentrée » si un nouveau patron n’est pas nommé rapidement à la tête de la compagnie !
Pas d’inquiétude pour cet été, période de vacances pour beaucoup, on est tranquille, les grèves, c’est terminé… jusqu’à la rentrée. On peut espérer que ce ne sera qu’en septembre prochain.
En même temps, en relisant les déclarations de l’intersyndicale Air France, j’avoue y aller d’un franc sourire.
Parce que, cette nouvelle menace concerne la gabegie à laquelle se sont livrés les propres syndicats Air France ces derniers mois.
Pour en arriver à la démission du dernier patron de la compagnie, Jean-Marc Janaillac.
Ben, figurez-vous que l’intersyndicale, SNPL en tête de cortège, menace maintenant de « reprendre les grèves dès la rentrée » si un nouveau patron n’est pas nommé rapidement à la tête de la compagnie !
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On croit rêver, surtout si l’on sait que cette même intersyndicale, lors du référendum organisé par Janaillac, a été très surprise par le résultat.
Une source très proche du dossier, comme on dit dans les bons romans, confirme l’envoi par un grand responsable syndical pilote, d’un joli texto adressé à Janaillac, dans lequel il est écrit en substance : « je regrette profondément ce résultat » !
On croit rêver et pourtant c’est la réalité !
Mais finalement, si tout ceci n’était que grande illusion, pourquoi Janaillac, réconforté, ne reviendrait pas sur le devant de la compagnie ?
La Grande Illusion, vous dis-je !
Une source très proche du dossier, comme on dit dans les bons romans, confirme l’envoi par un grand responsable syndical pilote, d’un joli texto adressé à Janaillac, dans lequel il est écrit en substance : « je regrette profondément ce résultat » !
On croit rêver et pourtant c’est la réalité !
Mais finalement, si tout ceci n’était que grande illusion, pourquoi Janaillac, réconforté, ne reviendrait pas sur le devant de la compagnie ?
La Grande Illusion, vous dis-je !