Comme c’est Noël, on va tâcher de finir dans la paix et la sérénité en attendant 2019 - Depositphotos.com - HASLOO
C’était aux dires de nos instances professionnelles une bonne année.
On va donc oublier les grèves, diverses et variées de nos transporteurs favoris, les indélicats qui auront plombé un peu plus la profession, IATA qui s’acharne à pourrir la vie des professionnels du tourisme, ces compagnies aériennes qui tombent faute de saine gestion, ce dédain flagrant de nos gouvernants pour ce qui est, je le rappelle, une « économie » à part entière.
Mais comme c’est Noël, on va tâcher de finir dans la paix et la sérénité en attendant 2019, année qui sera aussi selon la météo, une grande année ! On va oublier que Transavia sera en grève le 24 et 25 décembre.
Comme maintenant depuis 7 années, qui se sont écoulées à la vitesse des chutes du Niagara, je voulais vous remercier, tous, détracteurs et inconditionnels, de votre attention, de votre présence matinale (j’en connais qui s’insurgent si l’édito n’est pas en ligne dès minuit !) et surtout de vos réactions.
Bonnes ou mauvaises (mais personne n’est parfait), mon seul souci a toujours été de pousser nos lecteurs à réfléchir, analyser, explorer de nouvelles pistes, vous informer bien sûr et finalement établir une réelle complicité entre vous et nous.
De ce côté-là, je pense que c’est gagné.
J’ai pas forcément envie de revenir sur ces quelques événements négatifs qui ont hélas, ponctué cette année 2018. Mieux vaut regarder devant que ressasser un passé qui, de toutes manières, ne changera jamais.
On va donc oublier les grèves, diverses et variées de nos transporteurs favoris, les indélicats qui auront plombé un peu plus la profession, IATA qui s’acharne à pourrir la vie des professionnels du tourisme, ces compagnies aériennes qui tombent faute de saine gestion, ce dédain flagrant de nos gouvernants pour ce qui est, je le rappelle, une « économie » à part entière.
Mais comme c’est Noël, on va tâcher de finir dans la paix et la sérénité en attendant 2019, année qui sera aussi selon la météo, une grande année ! On va oublier que Transavia sera en grève le 24 et 25 décembre.
Comme maintenant depuis 7 années, qui se sont écoulées à la vitesse des chutes du Niagara, je voulais vous remercier, tous, détracteurs et inconditionnels, de votre attention, de votre présence matinale (j’en connais qui s’insurgent si l’édito n’est pas en ligne dès minuit !) et surtout de vos réactions.
Bonnes ou mauvaises (mais personne n’est parfait), mon seul souci a toujours été de pousser nos lecteurs à réfléchir, analyser, explorer de nouvelles pistes, vous informer bien sûr et finalement établir une réelle complicité entre vous et nous.
De ce côté-là, je pense que c’est gagné.
J’ai pas forcément envie de revenir sur ces quelques événements négatifs qui ont hélas, ponctué cette année 2018. Mieux vaut regarder devant que ressasser un passé qui, de toutes manières, ne changera jamais.
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Marrant, je relisais l’édito du 24 décembre 2014. Comme c’est loin et si près en même temps, histoire de causer le Macron courant. Pourtant, finalement, rien n’a trop changé.
Ainsi, j’écrivais en 2014, « Les producteurs de notre secteur n'auront pas eu la vie facile, cette année.
Bon nombre d'entre eux vont encore devoir affronter une nouvelle saison "à risques" et dont les voies sont incroyablement étroites. (…)
Quant aux distributeurs, pour eux non plus, c'est pas gagné.
Va falloir affronter de nouveaux défis, songer aussi à se remettre en cause et explorer de nouveaux chemins, plutôt dans un esprit de conciliation et de discussions.
Surtout pas en termes d'affrontements et d'intransigeance. Et que les "réseaux" traditionnels ont vécu leur âge d'or. Il ne m'étonnerait pas que 2016 soit l'année du changement pour certains, notamment le plus gros.
Et je verrais bien l'un de ses membres, parmi les "mini-réseaux", lassé de la gabegie de ses têtes, prendre le pouvoir et redonner une nouvelle orientation, plus moderne. Une sorte d'OPA… »
Ainsi, j’écrivais en 2014, « Les producteurs de notre secteur n'auront pas eu la vie facile, cette année.
Bon nombre d'entre eux vont encore devoir affronter une nouvelle saison "à risques" et dont les voies sont incroyablement étroites. (…)
Quant aux distributeurs, pour eux non plus, c'est pas gagné.
Va falloir affronter de nouveaux défis, songer aussi à se remettre en cause et explorer de nouveaux chemins, plutôt dans un esprit de conciliation et de discussions.
Surtout pas en termes d'affrontements et d'intransigeance. Et que les "réseaux" traditionnels ont vécu leur âge d'or. Il ne m'étonnerait pas que 2016 soit l'année du changement pour certains, notamment le plus gros.
Et je verrais bien l'un de ses membres, parmi les "mini-réseaux", lassé de la gabegie de ses têtes, prendre le pouvoir et redonner une nouvelle orientation, plus moderne. Une sorte d'OPA… »
C’était pas si farfelu…
Allez, on va pas s’attendrir, n’est-il pas. J’ai encore un grand vide qui pèse toujours parmi cette profession et que je voudrais combler une dernière fois : l’absence, en ce Noël 2018 de mon ami Jean-Paul Chantraine.
C’est à sa famille d’abord, à ses successeurs ensuite, à tous ses amis que je veux adresser ce dernier clin d’œil de l’année. Mais il vivra toujours à travers Asia et c'est bien.
Encore merci à vous tous, mes lecteurs que j’aime, mes confrères et sœur de la rédaction sans qui je serai resté souvent en panne d’inspiration, à mon vieux Chien Charly qui vieillit mais qui a toujours l’esprit vif et… Bref, pas d’émotions intempestives.
On se revoit l’année prochaine ?
Allez, on va pas s’attendrir, n’est-il pas. J’ai encore un grand vide qui pèse toujours parmi cette profession et que je voudrais combler une dernière fois : l’absence, en ce Noël 2018 de mon ami Jean-Paul Chantraine.
C’est à sa famille d’abord, à ses successeurs ensuite, à tous ses amis que je veux adresser ce dernier clin d’œil de l’année. Mais il vivra toujours à travers Asia et c'est bien.
Encore merci à vous tous, mes lecteurs que j’aime, mes confrères et sœur de la rédaction sans qui je serai resté souvent en panne d’inspiration, à mon vieux Chien Charly qui vieillit mais qui a toujours l’esprit vif et… Bref, pas d’émotions intempestives.
On se revoit l’année prochaine ?