Vous qui aimez tellement vous déplacer dans des aéroplanes en business classe pendant que vos collaborateurs voyagent au fond de l’avion, vous n’auriez pas accepté de vous déplacer en « éco » et que l’accent (enfin, leur langage qui n’est pas du français) des principaux responsables de nos institutions professionnelles vous aurait obligé à faire appel à un traducteur ! - Photo CCO Wikipedia
Sans compter que, dans notre secteur du tourisme, sans vous, point de salut… public. Digne descendant d’un Danton, vous savez, cet homme, révolutionnaire parce que à l’époque c’était tendance et qu’il valait mieux en profiter, je n’hésite pas à le dire, je reste un « fan » !
Comment, allez-vous dire, un journaleux qui m’aime ? Ben oui. Sans doute mon côté maso, mais finalement, vous qui revendiquez la position de « premier opposant » au pouvoir actuel, vous êtes quand même en adéquation avec ce pouvoir.
Les journaleux, ces mauvais cons qui osent faire leur métier, qui osent enquêter, qui osent informer le bon peuple dont vous revendiquez quasi la défense, ne sont que des abrutis ? Il se trouve que j’ai quelques amis du côté de France Info… Mais c’est vrai que nous ne sommes que des nuisibles.
D’ailleurs, j’ai bien noté, comme la plupart de mes confrères que votre ami Président Macron a réussi à faire adopter par l’Assemblée nationale, dont vous êtes un personnage « sacré », cette fameuse loi sur « le secret des affaires ». Ainsi, soyez rassuré, vous pourrez porter plainte contre toute cette cohorte de « méchants crétins et abrutis » qui osent informer leurs lecteurs, leurs auditeurs, leurs téléspectateurs sur les « coulisses » de la politique.
Comment, allez-vous dire, un journaleux qui m’aime ? Ben oui. Sans doute mon côté maso, mais finalement, vous qui revendiquez la position de « premier opposant » au pouvoir actuel, vous êtes quand même en adéquation avec ce pouvoir.
Les journaleux, ces mauvais cons qui osent faire leur métier, qui osent enquêter, qui osent informer le bon peuple dont vous revendiquez quasi la défense, ne sont que des abrutis ? Il se trouve que j’ai quelques amis du côté de France Info… Mais c’est vrai que nous ne sommes que des nuisibles.
D’ailleurs, j’ai bien noté, comme la plupart de mes confrères que votre ami Président Macron a réussi à faire adopter par l’Assemblée nationale, dont vous êtes un personnage « sacré », cette fameuse loi sur « le secret des affaires ». Ainsi, soyez rassuré, vous pourrez porter plainte contre toute cette cohorte de « méchants crétins et abrutis » qui osent informer leurs lecteurs, leurs auditeurs, leurs téléspectateurs sur les « coulisses » de la politique.
Certes, ici, nous n’avons comme sujets que les grandes préoccupations d’un secteur d’activité économique particulièrement important, le Tourisme, lequel emploie à la louche plus de deux millions de ces salariés « soumis », qui génère quelques milliards de revenus pour notre pays et qui contribue, accessoirement, à « subventionner » vos organisations politiques. Enfin, politiques, c’est un bien grand mot !
Mais il est vrai que nous, dans le tourisme, on se préoccupe davantage de l’ouverture vers d’autres cultures, d’autres êtres humains.
D’ailleurs, je remarquerai, mais sans doute êtes vous trop occupé à régler vos problèmes d’égo, que jamais je ne vous ai entendu parler ou même évoquer le tourisme.
Vous ne le savez sans doute pas, mais notre journal, leader de la presse professionnelle touristique, est né et vit à Marseille. Cette ville dont, si je ne m’abuse, vous êtes député ou alors j’aurais été abusé à l’insu de mon plein gré…
Nos journalistes viennent de toutes les régions de France, mais il est certain qu’à Marseille, comme à Paris, nous avons un « parler » différent. Mais notre langage est aussi le français. Madame Le Pen n’aurait pas fait mieux !
C’est pitoyable !
Mais il est vrai que nous, dans le tourisme, on se préoccupe davantage de l’ouverture vers d’autres cultures, d’autres êtres humains.
D’ailleurs, je remarquerai, mais sans doute êtes vous trop occupé à régler vos problèmes d’égo, que jamais je ne vous ai entendu parler ou même évoquer le tourisme.
Vous ne le savez sans doute pas, mais notre journal, leader de la presse professionnelle touristique, est né et vit à Marseille. Cette ville dont, si je ne m’abuse, vous êtes député ou alors j’aurais été abusé à l’insu de mon plein gré…
Nos journalistes viennent de toutes les régions de France, mais il est certain qu’à Marseille, comme à Paris, nous avons un « parler » différent. Mais notre langage est aussi le français. Madame Le Pen n’aurait pas fait mieux !
C’est pitoyable !
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Oh, à l’instar de mon ami Barbery, rédacteur en chef du Quotidien du Tourisme, un autre organe professionnel du Tourisme, je reste persuadé que vous n’auriez jamais pu travailler dans le tourisme.
Vous qui aimez tellement vous déplacer dans des aéroplanes en business classe pendant que vos collaborateurs voyagent au fond de l’avion, vous n’auriez pas accepté de vous déplacer en « éco » et que l’accent (enfin, leur langage qui n’est pas du français) des principaux responsables de nos institutions professionnelles vous aurait obligé à faire appel à un traducteur !
Je sais, un journaliste du tourisme ne devrait pas se mêler de ces histoires qui ne vous font pas honneur.
Mais moi, j’ose tout, face à de telles stupidités !
Vous qui aimez tellement vous déplacer dans des aéroplanes en business classe pendant que vos collaborateurs voyagent au fond de l’avion, vous n’auriez pas accepté de vous déplacer en « éco » et que l’accent (enfin, leur langage qui n’est pas du français) des principaux responsables de nos institutions professionnelles vous aurait obligé à faire appel à un traducteur !
Je sais, un journaliste du tourisme ne devrait pas se mêler de ces histoires qui ne vous font pas honneur.
Mais moi, j’ose tout, face à de telles stupidités !