Jean-Pierre Mas, président des Entreprises du Voyage lors de la galette des rois organisée à la Maison du Tourisme - Photo EDV Facebook
C’est du Jean-Pierre Mas tout craché, lequel peut, encore et toujours rebondir et se retrouver sur ses pattes, tel le chat dont il s’affuble volontiers du patronyme.
Car cette cérémonie « des vœux », consacrée d’ailleurs à la galette des rois (il y avait des fèves à profusion, des rois et des reines, j’ai même failli me casser une dent sur une sorte de gros haricot) était très loin d’être traditionnelle.
Et le président du syndicat patronal, peut-être afin de préparer les prochaines élections, songe déjà à l’avenir. Sait-on jamais…
En tous cas, son discours était pour le moins gonflé. Malgré les différents « accidents » qui ont affecté la profession cette année, la profession se porte bien.
Très bien même, selon Jean-Pierre Mas. Certes, toutes ces entreprises qui ont « troublé » le secteur pour cause de faillites « étaient mal gérées. Pour certaines très mal gérées et pour d’autres pas du tout », expliquait-il en substance.
Car cette cérémonie « des vœux », consacrée d’ailleurs à la galette des rois (il y avait des fèves à profusion, des rois et des reines, j’ai même failli me casser une dent sur une sorte de gros haricot) était très loin d’être traditionnelle.
Et le président du syndicat patronal, peut-être afin de préparer les prochaines élections, songe déjà à l’avenir. Sait-on jamais…
En tous cas, son discours était pour le moins gonflé. Malgré les différents « accidents » qui ont affecté la profession cette année, la profession se porte bien.
Très bien même, selon Jean-Pierre Mas. Certes, toutes ces entreprises qui ont « troublé » le secteur pour cause de faillites « étaient mal gérées. Pour certaines très mal gérées et pour d’autres pas du tout », expliquait-il en substance.
Autres articles
-
Laurent Abitbol (APST) : "Je ne conçois pas qu’on donne sa vie privée en caution" 🔑
-
Georges Cid est parti pour son dernier voyage
-
APST : 3 postes d'administrateurs à pourvoir en 2024
-
Garantie financière : Groupama conserve et consolide sa place de dauphin 🔑
-
Mumtaz Teker (APST) : « Nous avons augmenté nos recettes » 🔑
Ca, c’était pour bien faire comprendre que le temps du « grand n’importe quoi », c’est révolu.
Heureusement que les salariés de l’APST étaient là, bien là et que, finalement, le cas Thomas Cook n’a pas eu de conséquences désastreuses vis-à-vis du grand public.
Quant aux voyagistes qui ont souffert de la défaillance de Thomas Cook, finalement, ne s’en sortent pas si mal. Quelques millions en plus ou en moins, ça va, ça vient…
Mais tout ceci doit cesser, pour le patron du syndicat. « Le changement doit être maintenant (pas entendu ça quelque part déjà ?) et le modèle économique de nos entreprises doit évoluer.
Il est temps de se remettre en question, de bousculer les traditions et de s’emparer du monde nouveau qui s’annonce en cette nouvelle année… ».
Bon, je traduis un peu à ma manière l’esprit de Mas, lequel, mi-figue, mi-raisin, justifiait ses propos en indiquant que d’habitude, on « souhaitait les bons vœux sur un bateau sur les quais de Seine et que cette année, on tirait les rois dans la Grande Maison du Tourisme ! ».
Heureusement que les salariés de l’APST étaient là, bien là et que, finalement, le cas Thomas Cook n’a pas eu de conséquences désastreuses vis-à-vis du grand public.
Quant aux voyagistes qui ont souffert de la défaillance de Thomas Cook, finalement, ne s’en sortent pas si mal. Quelques millions en plus ou en moins, ça va, ça vient…
Mais tout ceci doit cesser, pour le patron du syndicat. « Le changement doit être maintenant (pas entendu ça quelque part déjà ?) et le modèle économique de nos entreprises doit évoluer.
Il est temps de se remettre en question, de bousculer les traditions et de s’emparer du monde nouveau qui s’annonce en cette nouvelle année… ».
Bon, je traduis un peu à ma manière l’esprit de Mas, lequel, mi-figue, mi-raisin, justifiait ses propos en indiquant que d’habitude, on « souhaitait les bons vœux sur un bateau sur les quais de Seine et que cette année, on tirait les rois dans la Grande Maison du Tourisme ! ».
Sans la complicité (mais avec le soutien tacite) de l’APST, affectée, comme on le sait bien par la chute du géant grand-breton.
J’en profite d’ailleurs pour saluer très amicalement la présence de mon amie petipatapon (Alix Philipon, présidente de l'APST), laquelle faisait « sa rentrée officielle », après une absence totalement indépendante de sa volonté.
Et de la volonté, du courage, il va lui en falloir, afin d’éviter les embûches, venues parfois, souvent même, de la part de certains de ses amis qui la voit déjà partante et préparent une succession pas nécessairement conforme aux intérêts de l’Association.
D’autant qu’il va falloir, avant toute chose, pérenniser la santé financière de la maison et trouver, rapidement un prêt afin de renflouer les caisses.
Rupture disait aussi Jean-Pierre Mas. On s’y prépare aussi du côté des voyagistes qui ne veulent plus être, une nouvelle fois, les pigeons de la farce… pardon, les dindons !
On y vient doucement.
Quant à TUI France, après la fin de TUI Italia, les négociations vont bon train. C’est long, certes, mais finalement, celui qui mettra la main sur la filiale du groupe Germain, va provoquer lui aussi, une sacrée rupture
Faudra juste garder la tête froide !
J’en profite d’ailleurs pour saluer très amicalement la présence de mon amie petipatapon (Alix Philipon, présidente de l'APST), laquelle faisait « sa rentrée officielle », après une absence totalement indépendante de sa volonté.
Et de la volonté, du courage, il va lui en falloir, afin d’éviter les embûches, venues parfois, souvent même, de la part de certains de ses amis qui la voit déjà partante et préparent une succession pas nécessairement conforme aux intérêts de l’Association.
D’autant qu’il va falloir, avant toute chose, pérenniser la santé financière de la maison et trouver, rapidement un prêt afin de renflouer les caisses.
Rupture disait aussi Jean-Pierre Mas. On s’y prépare aussi du côté des voyagistes qui ne veulent plus être, une nouvelle fois, les pigeons de la farce… pardon, les dindons !
On y vient doucement.
Quant à TUI France, après la fin de TUI Italia, les négociations vont bon train. C’est long, certes, mais finalement, celui qui mettra la main sur la filiale du groupe Germain, va provoquer lui aussi, une sacrée rupture
Faudra juste garder la tête froide !