A La Réunion, comme bien souvent sur nos territoires lointains, ça devient inquiétant. Et, comme bien souvent dans ces îles qui se sentent abandonnées, la colère s’amplifie très vite - Photo Depositphotos.com - ricochet69
Ben non !
D’abord, parce que la société de ce monsieur, ça vaut pas tripette et parce que les gilets jaunes, ça va finir par avoir des incidences, peut-être inquiétantes, sur notre secteur d’activité.
Oh, pas question ici de prendre position sur ce mouvement qui ressemble de plus en plus à une jacquerie.
Et l’on sait très bien que lorsque le peuple commence à en avoir ras la casquette, ça peut avoir des conséquences imprévisibles.
Et quand c’est trop, c’est trop ! Curieusement d’ailleurs, j’ai dîné pas plus tard qu’hier soir avec des Bretons comme on les aime, dont les anciens « bonnets rouges ».
Marrant, déjà à l’époque, ils luttaient contre une « écotaxe », laquelle, il est vrai, n’était qu’une façon supplémentaire de pénaliser des gens qui avaient à peine de quoi vivre.
Pour ma part, j’ai eu affaire à plusieurs barrages lors de mes déplacements entre la capitale et ma maison, dans laquelle Chien Charly surveille d’une attention très particulière nos nouveaux locataires, les canards.
D’abord, parce que la société de ce monsieur, ça vaut pas tripette et parce que les gilets jaunes, ça va finir par avoir des incidences, peut-être inquiétantes, sur notre secteur d’activité.
Oh, pas question ici de prendre position sur ce mouvement qui ressemble de plus en plus à une jacquerie.
Et l’on sait très bien que lorsque le peuple commence à en avoir ras la casquette, ça peut avoir des conséquences imprévisibles.
Et quand c’est trop, c’est trop ! Curieusement d’ailleurs, j’ai dîné pas plus tard qu’hier soir avec des Bretons comme on les aime, dont les anciens « bonnets rouges ».
Marrant, déjà à l’époque, ils luttaient contre une « écotaxe », laquelle, il est vrai, n’était qu’une façon supplémentaire de pénaliser des gens qui avaient à peine de quoi vivre.
Pour ma part, j’ai eu affaire à plusieurs barrages lors de mes déplacements entre la capitale et ma maison, dans laquelle Chien Charly surveille d’une attention très particulière nos nouveaux locataires, les canards.
J’en profite pour remercier ces bons gendarmes, croisés sur la route et qui m’ont garanti que « ça roulait et qu’il n’y avait aucune perturbation sur ma piste ».
Ben, deux ronds-points et 45 minute d’attente… dans la bonne humeur et sans aucune agressivité.
Faut dire que je les ai bien fait marrer, en récupérant dans mon coffre un vieux gilet de détresse… orange ! Ils ne m’ont pas caillassé pour autant !
En revanche, pour le tourisme, ceci (ou cela) commence à faire sacrément désordre. J’ai bien peur que, vu de l’étranger, cette « révolte » du peuple ne perturbe la venue de nos touristes, sur lesquels compte beaucoup notre bon ministre (!!!), si tant est que nous en ayons un, afin de remplir son objectif d’en accueillir 100 millions en 2020.
Mais pour l’instant, du côté de Président Macron on reste ferme et droit dans ses bottes…
A La Réunion, comme bien souvent sur nos territoires lointains, ça devient inquiétant. Et, comme bien souvent dans ces îles qui se sentent abandonnées, la colère s’amplifie très vite. Faut dire aussi que les casseurs sont violents, parfois.
Car, là-bas, la saison touristique est en plein essor. A tel point que le couvre-feu a été instauré pour (au moins) quatre jours, que l’aéroport Roland Garros à Saint Denis a été fermé hier et que rien n’indique que la situation se calme rapidement.
Ben, deux ronds-points et 45 minute d’attente… dans la bonne humeur et sans aucune agressivité.
Faut dire que je les ai bien fait marrer, en récupérant dans mon coffre un vieux gilet de détresse… orange ! Ils ne m’ont pas caillassé pour autant !
En revanche, pour le tourisme, ceci (ou cela) commence à faire sacrément désordre. J’ai bien peur que, vu de l’étranger, cette « révolte » du peuple ne perturbe la venue de nos touristes, sur lesquels compte beaucoup notre bon ministre (!!!), si tant est que nous en ayons un, afin de remplir son objectif d’en accueillir 100 millions en 2020.
Mais pour l’instant, du côté de Président Macron on reste ferme et droit dans ses bottes…
A La Réunion, comme bien souvent sur nos territoires lointains, ça devient inquiétant. Et, comme bien souvent dans ces îles qui se sentent abandonnées, la colère s’amplifie très vite. Faut dire aussi que les casseurs sont violents, parfois.
Car, là-bas, la saison touristique est en plein essor. A tel point que le couvre-feu a été instauré pour (au moins) quatre jours, que l’aéroport Roland Garros à Saint Denis a été fermé hier et que rien n’indique que la situation se calme rapidement.
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Malgré le « geste » du Préfet de Région, gelant la taxe spéciale sur les carburants dans l’île jusqu’en 2021, les violences redoublent, même durant le couvre-feu !
Ce qui est loin d’être rassurant pour nos voyagistes, pas plus que pour les croisiéristes et surtout nos compagnies aériennes pour qui cette desserte, surtout en cette saison, est primordiale.
Ce mouvement, pacifiste au départ, aura quand même déjà provoqué la mort de deux personnes…
Deux de trop. Souhaitons qu’il n’y en ait pas d’autres. Et puis, pour être positif, il n’y a absolument aucune honte à reconnaître ses erreurs. Comme le disait un certain Mao, « pour avancer, il faut parfois reculer » !
Comment caguettes ? Vous avez dit caguettes ? Roooh !
Malgré le « geste » du Préfet de Région, gelant la taxe spéciale sur les carburants dans l’île jusqu’en 2021, les violences redoublent, même durant le couvre-feu !
Ce qui est loin d’être rassurant pour nos voyagistes, pas plus que pour les croisiéristes et surtout nos compagnies aériennes pour qui cette desserte, surtout en cette saison, est primordiale.
Ce mouvement, pacifiste au départ, aura quand même déjà provoqué la mort de deux personnes…
Deux de trop. Souhaitons qu’il n’y en ait pas d’autres. Et puis, pour être positif, il n’y a absolument aucune honte à reconnaître ses erreurs. Comme le disait un certain Mao, « pour avancer, il faut parfois reculer » !
Comment caguettes ? Vous avez dit caguettes ? Roooh !