Pas facile, d’autant que, malgré la globalité de l’offre, malgré la mondialisation, les tarifs sont les tarifs… et moins on paye, plus c’est bien.
Pour le client, certes, mais aussi pour les fabricants de voyage.
Peut-on maintenant utiliser encore toutes ces compagnies low cost ou, piètre comparaison, ces « charters » venus souvent de nulle part, un temps plébiscités par des voyagistes séduits par on ne sait trop quoi, mais souvent par le moindre coût… et qui finissent par déposer le bilan, parce qu’on ne fait pas n’importe quoi n’importe comment.
Et comme les transporteurs aériens, sûrs de leur bon droit et de leur arrogance macronesque portent en eux la parole quasi divine, faut leur faire confiance et c’est non négociable. C'est comme ça !
Pour le client, certes, mais aussi pour les fabricants de voyage.
Peut-on maintenant utiliser encore toutes ces compagnies low cost ou, piètre comparaison, ces « charters » venus souvent de nulle part, un temps plébiscités par des voyagistes séduits par on ne sait trop quoi, mais souvent par le moindre coût… et qui finissent par déposer le bilan, parce qu’on ne fait pas n’importe quoi n’importe comment.
Et comme les transporteurs aériens, sûrs de leur bon droit et de leur arrogance macronesque portent en eux la parole quasi divine, faut leur faire confiance et c’est non négociable. C'est comme ça !
Tiens, au hasard, Small Planet Airlines mais il en existe un paquet, comme ça. Une compagnie sortie de pas grand-chose, lituanienne mais personne n’est parfait, qui a fait le bonheur (sans doute grâce à ses tarifs) de nombreux voyagistes.
« Les vols Small Planet Airlines ne sont plus opérés. Si vous aviez prévu de voler avec Small Planet Airlines, merci de contacter votre tour-opérateur pour une nouvelle réservation.
Nous remercions sincèrement tous les passagers qui voyagent avec nous depuis plus de 10 ans ».
Et paf, fermez le ban, encore une compagnie présumée « low cost » qui se casse la figure, vraisemblablement par manque de compétences, par aussi diverses magouilles intra-aériennes et européennes.
Bien évidemment, tout ceci n’est, une fois de plus, qu’une énième incohérence de cette pétaudière qu’est le transport aérien mondial.
Et, faut-il une nouvelle fois le rappeler, l’autisme total de nos grosses têtes européennes concernant enfin une sorte d’obligation de responsabilité civile, une « garantie » des compagnies aériennes envers leurs clients.
Car, si l’on regarde bien, qui va assumer la foultitude de passagers laissés une fois de plus, sur le tarmac par la défaillance d’un transporteur ? Qui va également « aider » les voyagistes qui avaient fait confiance à cette compagnie ? Ou aux autres d’ailleurs, Small Planet n’étant que « une de plus » ?
C’est quand même assez aberrant : à croire que le transport, c’est comme la mode, le « fashion » comme se répandent ces stupides « faiseurs de tendances », histoire de briller dans les dîners…
« Les vols Small Planet Airlines ne sont plus opérés. Si vous aviez prévu de voler avec Small Planet Airlines, merci de contacter votre tour-opérateur pour une nouvelle réservation.
Nous remercions sincèrement tous les passagers qui voyagent avec nous depuis plus de 10 ans ».
Et paf, fermez le ban, encore une compagnie présumée « low cost » qui se casse la figure, vraisemblablement par manque de compétences, par aussi diverses magouilles intra-aériennes et européennes.
Bien évidemment, tout ceci n’est, une fois de plus, qu’une énième incohérence de cette pétaudière qu’est le transport aérien mondial.
Et, faut-il une nouvelle fois le rappeler, l’autisme total de nos grosses têtes européennes concernant enfin une sorte d’obligation de responsabilité civile, une « garantie » des compagnies aériennes envers leurs clients.
Car, si l’on regarde bien, qui va assumer la foultitude de passagers laissés une fois de plus, sur le tarmac par la défaillance d’un transporteur ? Qui va également « aider » les voyagistes qui avaient fait confiance à cette compagnie ? Ou aux autres d’ailleurs, Small Planet n’étant que « une de plus » ?
C’est quand même assez aberrant : à croire que le transport, c’est comme la mode, le « fashion » comme se répandent ces stupides « faiseurs de tendances », histoire de briller dans les dîners…
Quelle est la compagnie, à l’heure actuelle, qui peut se targuer du « logo » low cost et long-courrier, capable de gagner de l’argent ? Ou, pour être totalement objectif, de ne pas en perdre… trop ?
En Europe, très sincèrement mais je peux me tromper, je n’en connais pas. En Asie, vaste marché certes, Air Asia gagne sa vie. Mais a essuyé un échec retentissant en voulant sortir de son continent…
Et, même sur les marchés domestiques, que ce soit en Europe ou en Amérique, y’a pas grand-chose.
Chez nous, dans notre bonne vieille France, XL Airways recherche un actionnaire et va certainement se tourner vers un modèle plus « valuable », style une classe « éco » et une classe, dans un premier temps « premium », avant d’ouvrir une cabine avant. A condition que des bonnes âmes friquées lui accordent quelques subsides.
Corsair aura fait le même pari. Sans grands résultats jusqu’à présent.
En dix ans, plus de 160 compagnies low cost ont déposé le bilan !
En Europe, très sincèrement mais je peux me tromper, je n’en connais pas. En Asie, vaste marché certes, Air Asia gagne sa vie. Mais a essuyé un échec retentissant en voulant sortir de son continent…
Et, même sur les marchés domestiques, que ce soit en Europe ou en Amérique, y’a pas grand-chose.
Chez nous, dans notre bonne vieille France, XL Airways recherche un actionnaire et va certainement se tourner vers un modèle plus « valuable », style une classe « éco » et une classe, dans un premier temps « premium », avant d’ouvrir une cabine avant. A condition que des bonnes âmes friquées lui accordent quelques subsides.
Corsair aura fait le même pari. Sans grands résultats jusqu’à présent.
En dix ans, plus de 160 compagnies low cost ont déposé le bilan !