L'affaire Schneider Finance a dû donner des idées à un tas de malfaisants, d’autant qu’en constatant l’apathie et l’indifférence totale des « gardiens de la profession », ces bons garçons (et filles, c’est la parité) ont dû se dire que « là où y’a de la gêne, y’a pas de plaisir » - Depositphotos minervastock
Eh oui, c’était l’année dernière que notre enquêtrice en chef, plus têtue qu’un pitbull en mal de gros nonos, dévoilait ce qui prend la tournure d’une véritable escroquerie à l’assurance, les malversations du groupe (ou supposé tel), Schneider Finance.
Pourtant, cette affaire a mis à mal plus d’une centaine d’entreprises de tourisme en France.
Personne, que ce soit nos instances professionnelles, les autorités judiciaires, le ministère du tourisme, Bercy, personne je répète, n’a levé le petit doigt...
Atout France, responsable des agréments de ces « garants », se réfugie, à juste titre sans doute, derrière la totale incompétence en la matière de Bercy.
Ce conglomérat de fonctionnaires, tellement sûr de ses prérogatives, n’aura sans doute pas jugé nécessaire de contrôler la « légalité » de Schneider Finance et surtout son aptitude à exercer en France.
Et pourtant, au fur et à mesure, les spoliés, qui ne veulent pas se laisser plumer comme de vieux pigeons parisiens, font apparaître clairement que le Groupe Schneider Finance et son dirigeant en France, Philippe Ayme-Jouve, auraient exercé illégalement la profession de banquier.
Pourtant, cette affaire a mis à mal plus d’une centaine d’entreprises de tourisme en France.
Personne, que ce soit nos instances professionnelles, les autorités judiciaires, le ministère du tourisme, Bercy, personne je répète, n’a levé le petit doigt...
Atout France, responsable des agréments de ces « garants », se réfugie, à juste titre sans doute, derrière la totale incompétence en la matière de Bercy.
Ce conglomérat de fonctionnaires, tellement sûr de ses prérogatives, n’aura sans doute pas jugé nécessaire de contrôler la « légalité » de Schneider Finance et surtout son aptitude à exercer en France.
Et pourtant, au fur et à mesure, les spoliés, qui ne veulent pas se laisser plumer comme de vieux pigeons parisiens, font apparaître clairement que le Groupe Schneider Finance et son dirigeant en France, Philippe Ayme-Jouve, auraient exercé illégalement la profession de banquier.
Leur collectif a porté plainte en ce sens, assorti d’une plainte pour escroquerie, auprès du Tribunal de Grande Instance de Paris.
A priori, si je puis me permettre, sans grand succès, le Groupe Schneider en France n’étant qu’une coquille plus vide que le cerveau de… (là je vous laisse remplir, je suis sûr que vous avez plein d’idées !) et son patron en France a dû déménager probablement vers d’autres contrées moins remuantes.
Sûrement sans doute pour cette raison que les spoliés de la première heure, dont certains ont été contraints de déposer le bilan, entendent maintenant se retourner non seulement contre Atout France, mais surtout contre Bercy, ce « service » de l’Etat qui visiblement n’a pas fait son boulot.
Mais ce n’est pas tout. Vraisemblablement une belle opération d’escroquerie, qui a dû donner des idées à un tas de malfaisants, d’autant qu’en constatant l’apathie et l’indifférence totale des « gardiens de la profession », ces bons garçons (et filles, c’est la parité) ont dû se dire que « là où y’a de la gêne, y’a pas de plaisir ».
Travelink, dont nous vous relations la faillite en novembre dernier avait quand même souscrit une garantie auprès… de Schneider Finance et de deux autres garants… dont un n’existait quasi plus depuis 1998.
Et tout à l’avenant, je vous laisse lire l’enquête : Garantie financière : après Schneider, un nouveau cas d'arnaque ?
A priori, si je puis me permettre, sans grand succès, le Groupe Schneider en France n’étant qu’une coquille plus vide que le cerveau de… (là je vous laisse remplir, je suis sûr que vous avez plein d’idées !) et son patron en France a dû déménager probablement vers d’autres contrées moins remuantes.
Sûrement sans doute pour cette raison que les spoliés de la première heure, dont certains ont été contraints de déposer le bilan, entendent maintenant se retourner non seulement contre Atout France, mais surtout contre Bercy, ce « service » de l’Etat qui visiblement n’a pas fait son boulot.
Mais ce n’est pas tout. Vraisemblablement une belle opération d’escroquerie, qui a dû donner des idées à un tas de malfaisants, d’autant qu’en constatant l’apathie et l’indifférence totale des « gardiens de la profession », ces bons garçons (et filles, c’est la parité) ont dû se dire que « là où y’a de la gêne, y’a pas de plaisir ».
Travelink, dont nous vous relations la faillite en novembre dernier avait quand même souscrit une garantie auprès… de Schneider Finance et de deux autres garants… dont un n’existait quasi plus depuis 1998.
Et tout à l’avenant, je vous laisse lire l’enquête : Garantie financière : après Schneider, un nouveau cas d'arnaque ?
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Le plus drôle, si je puis me permettre étant que parmi les clients lésés de Travelink figurerait le comité d’entreprise de la Banque de France !
Et que ce groupiste ne disposerait même pas d’une garantie en responsabilité civile professionnelle… si ce n’est par le biais d’un pauvre agriculteur qui a dû en tomber de son arbre.
On rêve...
Tout ceci est bien navrant et même si chacun se renvoie la patate chaude, voire brûlante, faudra bien, un jour ou l’autre, que chacun fasse son boulot.
Certes, en ce moment, nous avons un Etat à bout de souffle et totalement désemparé. Seulement, du côté du Bercy nouveau, rien n’a changé et cet Etat dans l’Etat poursuit, tranquille, son bonhomme de chemin.
Sans avoir une seule pensée pour une remise en cause de ses carences !
Et que ce groupiste ne disposerait même pas d’une garantie en responsabilité civile professionnelle… si ce n’est par le biais d’un pauvre agriculteur qui a dû en tomber de son arbre.
On rêve...
Tout ceci est bien navrant et même si chacun se renvoie la patate chaude, voire brûlante, faudra bien, un jour ou l’autre, que chacun fasse son boulot.
Certes, en ce moment, nous avons un Etat à bout de souffle et totalement désemparé. Seulement, du côté du Bercy nouveau, rien n’a changé et cet Etat dans l’Etat poursuit, tranquille, son bonhomme de chemin.
Sans avoir une seule pensée pour une remise en cause de ses carences !