Se présentant comme la nouvelle génération de ces entrepreneurs du voyage, mais extrêmement discret sur sa propre personne, de même que sur ses activités professionnelles, il avait annoncé sa volonté de reprendre le groupe défaillant, dans « sa totalité, personnel et créance comprises » ! © Imillian - Fotolia.com
Et comme d’habitude, chaque fois qu’un problème surgit, c’est toujours de la faute de la presse.
C’est, faut-il le dire, particulièrement tendance en ce moment...
Et pourtant, nous essayons de faire le job, c’est-à-dire informer et poser les bonnes questions aux bons interlocuteurs.
D’ailleurs, ceux-ci nous sollicitent souvent, la plupart du temps avec bonne foi, mais plus souvent en essayant de nous prendre pour des quiches.
Sans penser que, malgré notre (ma) fantaisie légendaire, nous pouvons nous aussi nous poser des questions et ne pas prendre pour argent comptant tout ce que l’on veut bien nous faire croire… et vous faire croire par la même occasion.
J’en profite aussi pour signaler que les commentaires que vous publiez sont pour nous sujet de réflexion. D’ailleurs, à la suite de cet édito, c’est un certain Hervé qui avait attiré notre attention en nous écrivant, je cite :
"Moi ce qui m'étonne, c'est que vous, journalistes (?), professionnels de la profession, soyez manifestement informés de certaines choses contrairement à nous, petits agents de voyages et que vous n'en parliez pas ....
Eh bien parlez Nom de D...., écrivez, informez nous !!!!
Ou alors, on va penser que vous êtes tous dans la même tambouille !
(cf Publicités, voyages d'études, vacances, restaurants.... que sais-je encore...)
M.… alors, y'en a ras le bol de ces non-dits !!!!!!!!"
C’est, faut-il le dire, particulièrement tendance en ce moment...
Et pourtant, nous essayons de faire le job, c’est-à-dire informer et poser les bonnes questions aux bons interlocuteurs.
D’ailleurs, ceux-ci nous sollicitent souvent, la plupart du temps avec bonne foi, mais plus souvent en essayant de nous prendre pour des quiches.
Sans penser que, malgré notre (ma) fantaisie légendaire, nous pouvons nous aussi nous poser des questions et ne pas prendre pour argent comptant tout ce que l’on veut bien nous faire croire… et vous faire croire par la même occasion.
J’en profite aussi pour signaler que les commentaires que vous publiez sont pour nous sujet de réflexion. D’ailleurs, à la suite de cet édito, c’est un certain Hervé qui avait attiré notre attention en nous écrivant, je cite :
"Moi ce qui m'étonne, c'est que vous, journalistes (?), professionnels de la profession, soyez manifestement informés de certaines choses contrairement à nous, petits agents de voyages et que vous n'en parliez pas ....
Eh bien parlez Nom de D...., écrivez, informez nous !!!!
Ou alors, on va penser que vous êtes tous dans la même tambouille !
(cf Publicités, voyages d'études, vacances, restaurants.... que sais-je encore...)
M.… alors, y'en a ras le bol de ces non-dits !!!!!!!!"
Dominique Gobert et chien Charly
Eh bien voilà : vous découvrez ce matin une belle enquête, menée de main de maitre et qui concerne un épisode qui risque de faire causer dans les chaumières, de la future reprise du groupe Boiloris et d’un personnage pour le moins étrange…
Mais qui m’a bien entubé… et dans les grandes largeurs, si je puis m’exprimer ainsi !
Car ce personnage, Roussel, parfait inconnu dans notre profession jusqu’à maintenant, m’avait effectivement entrepris lors du congrès du Znav (pardon, Jean-Pierre, je peux pas m’empêcher) à Colombo.
Beaucoup d’entregent, manifestant son envie de participer activement à la vie de la profession, stigmatisant ses vieux éléphants et annonçant qu’on « allait voir ce que l’on allait voir » !
Bon. Curieusement, ce même personnage, dès lors que la faillite de Boiloris était annoncée, m’avait contacté pour me signifier sa volonté de reprendre le groupe défaillant, dans « sa totalité, personnel et créance comprises » !
Avec au passage, quelques critiques pour le moins pas très sympas envers ses divers concurrents à la reprise de Boiloris.
Mais qui m’a bien entubé… et dans les grandes largeurs, si je puis m’exprimer ainsi !
Car ce personnage, Roussel, parfait inconnu dans notre profession jusqu’à maintenant, m’avait effectivement entrepris lors du congrès du Znav (pardon, Jean-Pierre, je peux pas m’empêcher) à Colombo.
Beaucoup d’entregent, manifestant son envie de participer activement à la vie de la profession, stigmatisant ses vieux éléphants et annonçant qu’on « allait voir ce que l’on allait voir » !
Bon. Curieusement, ce même personnage, dès lors que la faillite de Boiloris était annoncée, m’avait contacté pour me signifier sa volonté de reprendre le groupe défaillant, dans « sa totalité, personnel et créance comprises » !
Avec au passage, quelques critiques pour le moins pas très sympas envers ses divers concurrents à la reprise de Boiloris.
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Se présentant comme la nouvelle génération de ces entrepreneurs du voyage, mais extrêmement discret sur sa propre personne, de même que sur ses activités professionnelles.
« Je n’aime pas parler de moi, m’avait-il confié, d’autant que je suis sujet à de graves pressions ».
Déjà, je ne le sentais pas trop, mais néanmoins, comme pour tout le monde nous lui avions donné la parole !
Bien évidemment, cet homme n’a non seulement formulé aucune proposition de reprise, mais en plus s’appuie sur un groupe, Korallion en l’occurrence, qui n’a strictement rien à voir avec ses propres activités.
Cet homme est un menteur qui, une fois de plus, décrédibilise la profession.
Mais ce n’est pas le plus grave et je tiens, personnellement à m’en excuser.
Ce personnage, dans les déclarations que nous avons reproduites (et tout a été enregistré), avait donné un espoir immense aux salariés de Boiloris, lesquels et c’est normal, craignent pour leur avenir.
Cet homme les a trompés !
Il est vraiment temps de faire le ménage. S’il vous plait, mesdames, messieurs des instances professionnelles !
« Je n’aime pas parler de moi, m’avait-il confié, d’autant que je suis sujet à de graves pressions ».
Déjà, je ne le sentais pas trop, mais néanmoins, comme pour tout le monde nous lui avions donné la parole !
Bien évidemment, cet homme n’a non seulement formulé aucune proposition de reprise, mais en plus s’appuie sur un groupe, Korallion en l’occurrence, qui n’a strictement rien à voir avec ses propres activités.
Cet homme est un menteur qui, une fois de plus, décrédibilise la profession.
Mais ce n’est pas le plus grave et je tiens, personnellement à m’en excuser.
Ce personnage, dans les déclarations que nous avons reproduites (et tout a été enregistré), avait donné un espoir immense aux salariés de Boiloris, lesquels et c’est normal, craignent pour leur avenir.
Cet homme les a trompés !
Il est vraiment temps de faire le ménage. S’il vous plait, mesdames, messieurs des instances professionnelles !