NG Travel et toute l’équipe sont en passe de réussir, non pas à bouleverser le marché des clubs de vacances, mais du moins à lui donner une nouvelle envergure, pour ne pas dire une nouvelle dimension - DR : Facebook Kappa Club
J’aime bien, de temps en temps et faut pas en abuser, donner un petit coup de chapeau à ces entrepreneurs qui prennent des risques, qui innovent et surtout qui mettent à disposition des clients des produits de qualité.
Qui, en plus ils restent discrets, sans esbroufe et construisent tranquillement, au détriment parfois de leur confort perso.
NG Travel et toute l’équipe sont en passe de réussir, non pas à bouleverser le marché des clubs de vacances, mais du moins à lui donner une nouvelle envergure, pour ne pas dire une nouvelle dimension.
Kervella, pour ne pas citer le patron des Kappa Clubs et autres Coralia, a depuis longtemps cerné l’affaire et construit un produit, non pas basé sur les clubs à « lancer de tongs » et autres jeux apéros d’un autre temps, mais au contraire sur la vraie vie dans un autre pays.
Avec à la clé non seulement la détente et le plaisir de vivre pour le vacancier, mais également la possibilité d’accéder, en toute simplicité à la culture et à la découverte d’une destination. Le tout à des prix qui méritent respect !
Ils auront mis, son équipe et lui, une petite dizaine d’années pour devenir l’un des acteurs majeurs de la branche « Clubs de Vacances » sur le marché français.
Qui, en plus ils restent discrets, sans esbroufe et construisent tranquillement, au détriment parfois de leur confort perso.
NG Travel et toute l’équipe sont en passe de réussir, non pas à bouleverser le marché des clubs de vacances, mais du moins à lui donner une nouvelle envergure, pour ne pas dire une nouvelle dimension.
Kervella, pour ne pas citer le patron des Kappa Clubs et autres Coralia, a depuis longtemps cerné l’affaire et construit un produit, non pas basé sur les clubs à « lancer de tongs » et autres jeux apéros d’un autre temps, mais au contraire sur la vraie vie dans un autre pays.
Avec à la clé non seulement la détente et le plaisir de vivre pour le vacancier, mais également la possibilité d’accéder, en toute simplicité à la culture et à la découverte d’une destination. Le tout à des prix qui méritent respect !
Ils auront mis, son équipe et lui, une petite dizaine d’années pour devenir l’un des acteurs majeurs de la branche « Clubs de Vacances » sur le marché français.
Pas rien, d’autant que la concurrence est non seulement rude mais aussi sans merci.
Vous me direz que TUI (prononcez tui comme cuit), ça fait aussi plus de dix ans qu’ils s’escriment à devenir les leaders sur le marché français, avec des moyens que bon nombre de leurs homologues leur envient.
Ben, mine de rien, Kervella et son équipe sont quand même à la tête de quelque 53 clubs, Kappa et Coralia confondus.
Et, si tout va bien, ce qui ne manquera pas d’arriver, ils comptent bien arriver à disposer de 80 établissements, en grosse majorité long-courrier, d’ici les toutes prochaines années.
Soit l’équivalent du portefeuille détenu par Look et Marmara ! Et en connaissant, en termes financiers, des résultats positifs, ce qui n’est pas donné à tout le monde et qui devraient faire pâlir d’envie plus d’un président concurrent !
Siparex, ce fonds d’investissement qui avait déjà joué avec mon bon Bitbol, au bénéfice réciproque de chacun, ne s’y est pas trompé d’ailleurs.
Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour supposer que les fonds injectés par Siparex chez NG ne seront sûrement pas perdus pour tout le monde et devraient, bien au contraire, favoriser un retour sur investissement intéressant !
Vous me direz que TUI (prononcez tui comme cuit), ça fait aussi plus de dix ans qu’ils s’escriment à devenir les leaders sur le marché français, avec des moyens que bon nombre de leurs homologues leur envient.
Ben, mine de rien, Kervella et son équipe sont quand même à la tête de quelque 53 clubs, Kappa et Coralia confondus.
Et, si tout va bien, ce qui ne manquera pas d’arriver, ils comptent bien arriver à disposer de 80 établissements, en grosse majorité long-courrier, d’ici les toutes prochaines années.
Soit l’équivalent du portefeuille détenu par Look et Marmara ! Et en connaissant, en termes financiers, des résultats positifs, ce qui n’est pas donné à tout le monde et qui devraient faire pâlir d’envie plus d’un président concurrent !
Siparex, ce fonds d’investissement qui avait déjà joué avec mon bon Bitbol, au bénéfice réciproque de chacun, ne s’y est pas trompé d’ailleurs.
Il n’est pas besoin d’être grand clerc pour supposer que les fonds injectés par Siparex chez NG ne seront sûrement pas perdus pour tout le monde et devraient, bien au contraire, favoriser un retour sur investissement intéressant !
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L’idée d’ailleurs de s’implanter sur le marché italien est pleine de bon sens.
LIRE : Olivier Kervella : "Siparex va nous aider en Italie !"
Contrairement aux populations nordiques ou grandes bretonnes, la clientèle italienne, à l’esprit méditerranéen, est plutôt sensible à l’esprit culture et découverte du concept Kappa ou même Coralia.
NG Travel vise les 500 briques de CA à l’horizon 2022 ! Pourquoi pas, d’autant que, avec les fonds dont il dispose désormais, Kervella pourrait bien acheter quelques TO. Mais cette fois, ce ne sera pas lui qui ira à la « chasse », bien au contraire…
Il ne m’étonnerait pas au contraire, que bon nombre de ces sociétés se bousculent à sa porte !
Du coup, le plus dur sera de choisir…
LIRE : Olivier Kervella : "Siparex va nous aider en Italie !"
Contrairement aux populations nordiques ou grandes bretonnes, la clientèle italienne, à l’esprit méditerranéen, est plutôt sensible à l’esprit culture et découverte du concept Kappa ou même Coralia.
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Il ne m’étonnerait pas au contraire, que bon nombre de ces sociétés se bousculent à sa porte !
Du coup, le plus dur sera de choisir…