Et pourtant, parmi tous ces agents de voyages rencontrés durant cette nouvelle convention, je n’ai rencontré que des passionnés, optimistes et enthousiastes face aux aléas de plus en plus nombreux auxquels ils sont confrontés.
De l’optimisme, il va en falloir face à un été qui s’annonce encore un peu perturbé.
Pas du côté de la SNCF, le mouvement de grève aillant de plus en plus tendance à s’acheminoter (merci pour l’audace du verbe !) vers un pschitt retentissant.
Moins de 11% de grévistes lors de la dernière « séquence » du week-end, normalement, tout ceci devrait rentrer dans une routine normale.
Coût de l’opération : plusieurs centaines de millions d'euros. La SNCF entend proposer des compensations aux passagers, en revanche, je n’ai rien entendu concernant les distributeurs… Un oubli sans doute !
Du côté de l’aérien, c’est nettement moins bien. J’en profite au passage d’ailleurs pour confirmer mes craintes concernant cette nouvelle compagnie filiale d’Air France, Joon (Koon Koon), la « compagnie nouvelle génération ».
Ben, franchement, si cette compagnie ne reste pas dans la droite lignée d’une Air France « traditionnelle », Chien Charly va se transformer en chat de gouttière.
De l’optimisme, il va en falloir face à un été qui s’annonce encore un peu perturbé.
Pas du côté de la SNCF, le mouvement de grève aillant de plus en plus tendance à s’acheminoter (merci pour l’audace du verbe !) vers un pschitt retentissant.
Moins de 11% de grévistes lors de la dernière « séquence » du week-end, normalement, tout ceci devrait rentrer dans une routine normale.
Coût de l’opération : plusieurs centaines de millions d'euros. La SNCF entend proposer des compensations aux passagers, en revanche, je n’ai rien entendu concernant les distributeurs… Un oubli sans doute !
Du côté de l’aérien, c’est nettement moins bien. J’en profite au passage d’ailleurs pour confirmer mes craintes concernant cette nouvelle compagnie filiale d’Air France, Joon (Koon Koon), la « compagnie nouvelle génération ».
Ben, franchement, si cette compagnie ne reste pas dans la droite lignée d’une Air France « traditionnelle », Chien Charly va se transformer en chat de gouttière.
Dominique Gobert - DR
Certes, les cabines des aéroplanes sont « refaites », l’équipage, plus jeune et payé bien moins cher (je parle des PNC, pas des pilotes) porte bien des baskets (pas très blanches pour certains) reste un personnel traditionnel d’Air France.
Un long-courrier est assuré par trois pilotes (c’était le cas sur mon vol récent), les prestations sont dignes d’une « éco » Air France, à part l’apéro qui devient payant…
Bref, rien que du vieux, y compris la pénible prestation à l’enregistrement, effectuée par des dames qui visiblement avaient des problèmes d’aigreur et fracassaient impitoyablement des passagers dont le poids du bagage dépassait, ne serait-ce que d’un malheureux kilo.
Et à 100$ le kilo supplémentaire, ça fait lourd, particulièrement pour des agents de voyages, en principe prescripteurs de la compagnie. Tout ça d’ailleurs, pour « oublier » les bagages d’une cinquantaine de passagers !
De retour également, j’apprends que les fous furieux de l’intersyndicale d’Air France restent campés dans leurs bottes et continuent ainsi à saboter non seulement leur propre entreprise, mais aussi les malheureux passagers.
Lesquels se réduisent comme peau de chagrin, mais aussi leurs partenaires distributeurs et voyagistes, qui ne savent plus vers qui se tourner.
Un long-courrier est assuré par trois pilotes (c’était le cas sur mon vol récent), les prestations sont dignes d’une « éco » Air France, à part l’apéro qui devient payant…
Bref, rien que du vieux, y compris la pénible prestation à l’enregistrement, effectuée par des dames qui visiblement avaient des problèmes d’aigreur et fracassaient impitoyablement des passagers dont le poids du bagage dépassait, ne serait-ce que d’un malheureux kilo.
Et à 100$ le kilo supplémentaire, ça fait lourd, particulièrement pour des agents de voyages, en principe prescripteurs de la compagnie. Tout ça d’ailleurs, pour « oublier » les bagages d’une cinquantaine de passagers !
De retour également, j’apprends que les fous furieux de l’intersyndicale d’Air France restent campés dans leurs bottes et continuent ainsi à saboter non seulement leur propre entreprise, mais aussi les malheureux passagers.
Lesquels se réduisent comme peau de chagrin, mais aussi leurs partenaires distributeurs et voyagistes, qui ne savent plus vers qui se tourner.
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Au plus grand avantage de cette concurrence « honnie » par les syndicats. Mais la concurrence se frotte les mains, ravie d’accueillir tous ces abandonnés de l’aérien.
Je remarque aussi que les pouvoirs publics restent toujours d’un mutisme éloquent, tandis que les espoirs d’accueillir les touristes étrangers s’amenuisent du côté de Bercy et du Quai d’Orsay.
Un ami à moi me citait le titre de la newsletter CN Traveller US daté de lundi dernier : « La grève d’Air France pourrait vous faire rater votre voyage » !
Et paf, servez chaud !
Et enfin, CWT. Finalement, rien de bien nouveau sous le soleil. A force de tergiverser, d’errer dans des stratégies pour le moins bancales ce qui devait arriver, arrive.
Quant aux contrôleurs aériens, les Marseillais particulièrement, c’est tout simplement une ignominie crasse !
Je remarque aussi que les pouvoirs publics restent toujours d’un mutisme éloquent, tandis que les espoirs d’accueillir les touristes étrangers s’amenuisent du côté de Bercy et du Quai d’Orsay.
Un ami à moi me citait le titre de la newsletter CN Traveller US daté de lundi dernier : « La grève d’Air France pourrait vous faire rater votre voyage » !
Et paf, servez chaud !
Et enfin, CWT. Finalement, rien de bien nouveau sous le soleil. A force de tergiverser, d’errer dans des stratégies pour le moins bancales ce qui devait arriver, arrive.
Quant aux contrôleurs aériens, les Marseillais particulièrement, c’est tout simplement une ignominie crasse !