Laurent Abitbol sera-t-il reconduit à la présidence de Selectour ? Nombreuses sont les rumeurs qui gravitent autour de sa présidence et de son futur projet de New Coop... - DR : Marietton
TourMaG.com - Laurent Abitbol, vous aviez présenté, en accédant à la présidence de Selectour, un programme. Où en sommes-nous ?
Laurent Abitbol : Nous avions annoncé quatre grandes orientations, nous l’avons fait.
La marque : c’est fait, le réseau s’appelle désormais Selectour.
Le concept agences : c’est en construction. Tous les jours, de nouvelles agences se mettent en marche, c’est un peu long parce que ça coûte un peu d’argent. Mais le concept est bon.
Les contrats ? Ceux que nous avons signés aujourd’hui sont entre 30 et 100% meilleurs que ceux des trois dernières années ! Le chèque que les adhérents recevront en 2018 sera nettement plus important qu’en 2017.
Les négociations que nous avons menées ont apporté un bonus très conséquent.
D’ailleurs, les adhérents recevront un reversement exceptionnel en mars 2018, un petit cadeau supplémentaire par rapport aux contrats.
Nous avons gagné en effet un peu plus d’argent que prévu !
Mon objectif était de 2,5 à 3 millions de commission supplémentaire, nous sommes aujourd’hui à 5 millions signés ! Nous avons, je pense, réussi à faire ce que nous avions promis !
Quant à la New Coop, nous avons présenté un projet au conseil d’administration.
Ce projet a été adopté et nous avons entamé la « construction technique » de ce projet, qui doit être présenté à la fin de l’année à l’ensemble des adhérents. Ces derniers devront se prononcer très clairement : oui ou non !
TourMaG.com - Ce projet, peut-on en savoir un peu plus ?
L.A. : Il est important de savoir que la philosophie de l’entreprise restera la même. Une entreprise égale (et égalera) une voix.
Un volet économique deviendra plus conséquent, parce qu’il est indispensable que cette entreprise, ce réseau, rapporte plus d’argent aux adhérents par rapport à leur action.
Pour ça, il faut la faire vivre cette entreprise, il faut investir, il faut ouvrir le capital… Mais, c’est primordial, uniquement aux membres de Selectour !
On entend actuellement beaucoup de mensonges, de « n’importe quoi » qui se répandent. Tout est faux. Je le répète, le capital ne s’ouvrira qu’aux membres de Selectour !
TourMaG.com - C’est-à-dire uniquement à des adhérents Selectour ?
L.A. : Uniquement. Ni banque, ni fonds d’Investissement comme certains disent sans savoir !
Laurent Abitbol : Nous avions annoncé quatre grandes orientations, nous l’avons fait.
La marque : c’est fait, le réseau s’appelle désormais Selectour.
Le concept agences : c’est en construction. Tous les jours, de nouvelles agences se mettent en marche, c’est un peu long parce que ça coûte un peu d’argent. Mais le concept est bon.
Les contrats ? Ceux que nous avons signés aujourd’hui sont entre 30 et 100% meilleurs que ceux des trois dernières années ! Le chèque que les adhérents recevront en 2018 sera nettement plus important qu’en 2017.
Les négociations que nous avons menées ont apporté un bonus très conséquent.
D’ailleurs, les adhérents recevront un reversement exceptionnel en mars 2018, un petit cadeau supplémentaire par rapport aux contrats.
Nous avons gagné en effet un peu plus d’argent que prévu !
Mon objectif était de 2,5 à 3 millions de commission supplémentaire, nous sommes aujourd’hui à 5 millions signés ! Nous avons, je pense, réussi à faire ce que nous avions promis !
Quant à la New Coop, nous avons présenté un projet au conseil d’administration.
Ce projet a été adopté et nous avons entamé la « construction technique » de ce projet, qui doit être présenté à la fin de l’année à l’ensemble des adhérents. Ces derniers devront se prononcer très clairement : oui ou non !
TourMaG.com - Ce projet, peut-on en savoir un peu plus ?
L.A. : Il est important de savoir que la philosophie de l’entreprise restera la même. Une entreprise égale (et égalera) une voix.
Un volet économique deviendra plus conséquent, parce qu’il est indispensable que cette entreprise, ce réseau, rapporte plus d’argent aux adhérents par rapport à leur action.
Pour ça, il faut la faire vivre cette entreprise, il faut investir, il faut ouvrir le capital… Mais, c’est primordial, uniquement aux membres de Selectour !
On entend actuellement beaucoup de mensonges, de « n’importe quoi » qui se répandent. Tout est faux. Je le répète, le capital ne s’ouvrira qu’aux membres de Selectour !
TourMaG.com - C’est-à-dire uniquement à des adhérents Selectour ?
L.A. : Uniquement. Ni banque, ni fonds d’Investissement comme certains disent sans savoir !
Ce sont les adhérents qui auront le dernier mot !
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TourMaG.com - C’est en effet ce qui se répand, notamment avec l’arrivée de Rothschild au capital...
L.A. : Faux. Archi-faux ! Pourquoi Rothschild entrerait-il au capital d’une coopérative ? Ils n’ont pas le droit. Ce sont des mensonges éhontés. Et je précise que Havas pas plus.
Ceci étant, j’ai oublié de préciser que le GIE (Selectour-Havas, ndlr) fonctionne parfaitement et qu'il est rentable dès la première année. Grâce à ce GIE, Selectour va gagner beaucoup plus et Havas aussi !
TourMaG.com - Justement, en parlant du GIE, ces mêmes rumeurs expriment une certaine méfiance en indiquant que Selectour n’a pas de représentant au GIE. Laurent Abitbol représenterait tout le monde au sein du GIE ?
L.A. : Il faut savoir une chose, le GIE a un président, un directeur général qui est Jean-Marie Seveno, il a 2 administrateurs côté Havas et deux administrateurs côté Selectour.
Chez Selectour, ce sont Tony d’Andrea et Jean-Marc Gameiro. Chez Havas, c’est moi et Olivier Poncy. C’est une chose qui marche, qui génère du revenu !
En outre, ce GIE est accompagné par le directeur général de Selectour, Jean-Noël Lefeuvre et le directeur général d’Havas, Michel Dinh.
C’est quelque chose qui fonctionne contrairement à ce que disent ces gens qui ne comprennent pas comment fonctionne l’économie d’une entreprise !
Nous sommes arrivés à une période où l’on doit évoluer. Car, si nous n’évoluons pas, Selectour restera tout seul, perdu, dans un monde de TUI ou d’autres « gros », qui ont raison de faire ce qu’ils font ! C’est leur job de grossir.
Et nous, au lieu de nous défendre, devons impérativement passer à l’attaque. C’est ce que nous faisons aujourd’hui, Selectour et Havas !
TourMaG.com - L’attaque serait donc la New Coop ?
L.A. : Absolument !
TourMaG.com - Justement, ce projet, au début, remportait l’enthousiasme de tous. Or, on semble maintenant à découvrir une certaine fronde…
L.A. : Beaucoup se posent des questions. Il faut savoir qu’aujourd’hui, j’arrive à signer de nombreux contrats « bonus » parce que nos fournisseurs nous considèrent comme un réseau fédéré.
Le fournisseur appréhende mal la coopérative, parce que cette dernière est très dispersée et qu’il n’y a pas vraiment de « consignes ».
Ce que nous tentons de faire en ce moment est de fédérer vraiment ce réseau en instituant une véritable politique de ventes…
Si nous ne faisons pas ça, nous n’existerons plus et les gros partiront !
TourMaG.com - Mais, dans ce cas, tous ces adhérents indépendants perdraient un peu de leur liberté ?
L.A. : Faux. De toute façon, ce sont eux qui décideront à la fin. Le principe du « un homme, une voix » reste inaliénable. Et ceux qui ne voudront pas de la New Coop au mois de décembre, si nous ne recueillons pas 66% de réponses positives, on ne le fera pas ! C’est simple.
En revanche, les conséquences, dans le cas où le projet serait refusé, seraient pour Selectour, dramatiques dans le futur.
Je donne aujourd’hui à Selectour les moyens de se défendre pour vivre l’avenir.
La New Coop nécessite une augmentation de capital, moins que prévu compte tenu de nos résultats. Et j’ai besoin, pour Selectour de maîtriser nos technologies…
La suite de l'article en page 2 : "Nous allons faire de Selectour une force exceptionnelle"
L.A. : Faux. Archi-faux ! Pourquoi Rothschild entrerait-il au capital d’une coopérative ? Ils n’ont pas le droit. Ce sont des mensonges éhontés. Et je précise que Havas pas plus.
Ceci étant, j’ai oublié de préciser que le GIE (Selectour-Havas, ndlr) fonctionne parfaitement et qu'il est rentable dès la première année. Grâce à ce GIE, Selectour va gagner beaucoup plus et Havas aussi !
TourMaG.com - Justement, en parlant du GIE, ces mêmes rumeurs expriment une certaine méfiance en indiquant que Selectour n’a pas de représentant au GIE. Laurent Abitbol représenterait tout le monde au sein du GIE ?
L.A. : Il faut savoir une chose, le GIE a un président, un directeur général qui est Jean-Marie Seveno, il a 2 administrateurs côté Havas et deux administrateurs côté Selectour.
Chez Selectour, ce sont Tony d’Andrea et Jean-Marc Gameiro. Chez Havas, c’est moi et Olivier Poncy. C’est une chose qui marche, qui génère du revenu !
En outre, ce GIE est accompagné par le directeur général de Selectour, Jean-Noël Lefeuvre et le directeur général d’Havas, Michel Dinh.
C’est quelque chose qui fonctionne contrairement à ce que disent ces gens qui ne comprennent pas comment fonctionne l’économie d’une entreprise !
Nous sommes arrivés à une période où l’on doit évoluer. Car, si nous n’évoluons pas, Selectour restera tout seul, perdu, dans un monde de TUI ou d’autres « gros », qui ont raison de faire ce qu’ils font ! C’est leur job de grossir.
Et nous, au lieu de nous défendre, devons impérativement passer à l’attaque. C’est ce que nous faisons aujourd’hui, Selectour et Havas !
TourMaG.com - L’attaque serait donc la New Coop ?
L.A. : Absolument !
TourMaG.com - Justement, ce projet, au début, remportait l’enthousiasme de tous. Or, on semble maintenant à découvrir une certaine fronde…
L.A. : Beaucoup se posent des questions. Il faut savoir qu’aujourd’hui, j’arrive à signer de nombreux contrats « bonus » parce que nos fournisseurs nous considèrent comme un réseau fédéré.
Le fournisseur appréhende mal la coopérative, parce que cette dernière est très dispersée et qu’il n’y a pas vraiment de « consignes ».
Ce que nous tentons de faire en ce moment est de fédérer vraiment ce réseau en instituant une véritable politique de ventes…
Si nous ne faisons pas ça, nous n’existerons plus et les gros partiront !
TourMaG.com - Mais, dans ce cas, tous ces adhérents indépendants perdraient un peu de leur liberté ?
L.A. : Faux. De toute façon, ce sont eux qui décideront à la fin. Le principe du « un homme, une voix » reste inaliénable. Et ceux qui ne voudront pas de la New Coop au mois de décembre, si nous ne recueillons pas 66% de réponses positives, on ne le fera pas ! C’est simple.
En revanche, les conséquences, dans le cas où le projet serait refusé, seraient pour Selectour, dramatiques dans le futur.
Je donne aujourd’hui à Selectour les moyens de se défendre pour vivre l’avenir.
La New Coop nécessite une augmentation de capital, moins que prévu compte tenu de nos résultats. Et j’ai besoin, pour Selectour de maîtriser nos technologies…
La suite de l'article en page 2 : "Nous allons faire de Selectour une force exceptionnelle"
Lire page 2
Nous allons faire de Selectour une force exceptionnelle
En 2018, les adhérents recevront un chèque nettement supérieur à celui de 2017
Lire page 3
Je vois grand pour Selectour
Si je ne suis pas élu, je me poserai des questions...
Nous allons faire de Selectour une force exceptionnelle
En 2018, les adhérents recevront un chèque nettement supérieur à celui de 2017
Lire page 3
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Si je ne suis pas élu, je me poserai des questions...
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
