Le Futuroscope est un parc ouvert presque toute l’année avec des besoins réguliers en personnel. En moyenne 250 à 300 nouveaux candidats sont recrutés chaque saison, dont une partie via les candidatures spontanées.
Le parc croule en effet sous les demandes : près de 4000 CV par an. «Seulement un candidat sur 5 est retenu car nous privilégions les promotions internes » explique Marie-Claude Lepine, responsable du développement RH du parc.
De plus, 50% des saisonniers reviennent chaque année. Le parc propose peu de CDI, mais lorsqu’il ouvre des postes, la priorité est donnée au recrutement en interne.
« Nous cherchons à fidéliser nos saisonniers, à les accompagner dans un projet professionnel et à les inscrire dans une dynamique d’apprentissage » assure-t-elle.
Le parc croule en effet sous les demandes : près de 4000 CV par an. «Seulement un candidat sur 5 est retenu car nous privilégions les promotions internes » explique Marie-Claude Lepine, responsable du développement RH du parc.
De plus, 50% des saisonniers reviennent chaque année. Le parc propose peu de CDI, mais lorsqu’il ouvre des postes, la priorité est donnée au recrutement en interne.
« Nous cherchons à fidéliser nos saisonniers, à les accompagner dans un projet professionnel et à les inscrire dans une dynamique d’apprentissage » assure-t-elle.
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Comme souvent dans les parcs d’attractions, la population saisonnière est assez jeune. Mais pas seulement.
Un tiers des personnes employées sont des étudiants, en pleine construction de leur projet professionnel. « C’est souvent leur première expérience professionnelle» détaille Marie-Claude Lepine.
Dans le second tiers, on trouve des professionnels, surtout dans la restauration, à la recherche d’une nouvelle expérience. Enfin le dernier tiers regroupe des personnes sans projet très arrêté qui voient une opportunité d’emploi.
«Les candidats sont attirés par la notoriété et les valeurs véhiculées par le parc» développe Marie-Claude Lepine. «C’est un milieu professionnel convivial, riche en contacts humains. Ils peuvent développer leurs compétences relationnelles mais aussi personnelles».
Depuis 2005, le parc travaille en partenariat avec l’ANPE pour son recrutement avec la méthode des habilités. Les candidats sont directement testés sur des situations réelles, auxquelles ils devront faire face dans leur poste.
Grâce à cette méthode, chacun a une chance d’être embauché, quelque soit son expérience ou bien son niveau d’études.
Un tiers des personnes employées sont des étudiants, en pleine construction de leur projet professionnel. « C’est souvent leur première expérience professionnelle» détaille Marie-Claude Lepine.
Dans le second tiers, on trouve des professionnels, surtout dans la restauration, à la recherche d’une nouvelle expérience. Enfin le dernier tiers regroupe des personnes sans projet très arrêté qui voient une opportunité d’emploi.
«Les candidats sont attirés par la notoriété et les valeurs véhiculées par le parc» développe Marie-Claude Lepine. «C’est un milieu professionnel convivial, riche en contacts humains. Ils peuvent développer leurs compétences relationnelles mais aussi personnelles».
Depuis 2005, le parc travaille en partenariat avec l’ANPE pour son recrutement avec la méthode des habilités. Les candidats sont directement testés sur des situations réelles, auxquelles ils devront faire face dans leur poste.
Grâce à cette méthode, chacun a une chance d’être embauché, quelque soit son expérience ou bien son niveau d’études.