C'est à Saint-Barth que Barrière ouvrira son 1er établissement transatlantique - Crédit photo : Barrière
On peut avoir plus de cent ans et toujours l'oeil vif.
En 1912, Eugène Cornuché crée à Deauville les resorts hôteliers permettant d'accueillir les joueurs de casino et par la même occasion le groupe Barrière.
Fort de son expérience acquise depuis plus d'un siècle, le groupe hôtelier spécialiste du luxe, vient pour la première de poser ses valises dans les Caraïbes.
C'est à Saint-Barth, et plus précisément l'hôtel Le Carl Gustaf, que Barrière vient d'ouvrir son nouvel établissement. Ainsi, 23 chambres, suites et bungalows seront proposés à la clientèle française offrant une autre idée du luxe au pays des alizés.
En 1912, Eugène Cornuché crée à Deauville les resorts hôteliers permettant d'accueillir les joueurs de casino et par la même occasion le groupe Barrière.
Fort de son expérience acquise depuis plus d'un siècle, le groupe hôtelier spécialiste du luxe, vient pour la première de poser ses valises dans les Caraïbes.
C'est à Saint-Barth, et plus précisément l'hôtel Le Carl Gustaf, que Barrière vient d'ouvrir son nouvel établissement. Ainsi, 23 chambres, suites et bungalows seront proposés à la clientèle française offrant une autre idée du luxe au pays des alizés.
Situé à quelques pas de la plage de Shell Beach, de la table du Shellona, à cinq minutes de marche de la vie du port et ses ruelles tranquilles, le Barrière Le Carl Gustaf n'en oublie pas moins sa touche française.
"Le choix n’a pas été celui d’une transformation radicale mais de rendre ces espaces plus fonctionnels," résume
Dorothée Boissier, du cabinet d’architecte d’intérieur en charge de la réhabilitation.
"Dans l’extension des salons et dans les villas-bungalows, nous avons aussi joué avec la lumière des Caraïbes en usant de “filtres” : celui naturel des arbres ; et puis ceux faits de tissu et de bois pour les varangues, les canisses et les panneaux sur les ouvertures."
Êtes-vous prêts à proposer un peu de l'esprit du Fouquet's à l'ombre des palmiers et de chaleur caribéenne ?
"Le choix n’a pas été celui d’une transformation radicale mais de rendre ces espaces plus fonctionnels," résume
Dorothée Boissier, du cabinet d’architecte d’intérieur en charge de la réhabilitation.
"Dans l’extension des salons et dans les villas-bungalows, nous avons aussi joué avec la lumière des Caraïbes en usant de “filtres” : celui naturel des arbres ; et puis ceux faits de tissu et de bois pour les varangues, les canisses et les panneaux sur les ouvertures."
Êtes-vous prêts à proposer un peu de l'esprit du Fouquet's à l'ombre des palmiers et de chaleur caribéenne ?