Créée en 2004 l’association ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) est désormais une institution.
C’est d’abord parce que ses membres fondateurs ont assis leur notoriété sur leur démarche éthique.
C’est aussi grâce au sérieux et à l’indépendance de son label, et à celui de sa charte d’engagement.
« ATR a développé un système d’évaluation externe de l’engagement des opérateurs de voyage souhaitant agir pour un tourisme responsable, annonce le site de l’association, avant de continuer: Ils sont donc invités à apporter la preuve des actions effectivement mises en place pour un tourisme responsable puis à faire contrôler ces preuves par un organisme de garantie compétent et indépendant »
C’est d’abord parce que ses membres fondateurs ont assis leur notoriété sur leur démarche éthique.
C’est aussi grâce au sérieux et à l’indépendance de son label, et à celui de sa charte d’engagement.
« ATR a développé un système d’évaluation externe de l’engagement des opérateurs de voyage souhaitant agir pour un tourisme responsable, annonce le site de l’association, avant de continuer: Ils sont donc invités à apporter la preuve des actions effectivement mises en place pour un tourisme responsable puis à faire contrôler ces preuves par un organisme de garantie compétent et indépendant »
Un label Ecocert
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Découvrez la Charte Éthique du Jeune Voyageur !
L’organisme qui a mis en place le label, c’est l’AFNOR (Association Française de Normalisation), qui a pour domaine d’activité notamment la certification.
Elle est aussi le représentant français auprès des instances de certifications européennes et internationale. Son indépendance est donc totale et justifie du sérieux des critères mis en place avec ATR et de l’objectivité du label.
Depuis 2015, le label a été remodelé et certifié Ecocert par le COFRAC (Comité français d'accréditation). Ce dernier impose « indépendance, compétence et impartialité » et Ecocert contrôle.
Elle est aussi le représentant français auprès des instances de certifications européennes et internationale. Son indépendance est donc totale et justifie du sérieux des critères mis en place avec ATR et de l’objectivité du label.
Depuis 2015, le label a été remodelé et certifié Ecocert par le COFRAC (Comité français d'accréditation). Ce dernier impose « indépendance, compétence et impartialité » et Ecocert contrôle.
Transparence
Le premier critère qu’impose le label « Agir pour un Tourisme Responsable » c’est la transparence.
Pour être labellisé, un Tour-Opérateur (TO) se doit d’informer la clientèle de sa démarche mais aussi s’appuyer sur les retours d’expériences de la clientèle.
En ce sens, la charte éthique du voyageur est un outil majeur, que le TO a pour obligation de diffuser.
Pour être labellisé, un Tour-Opérateur (TO) se doit d’informer la clientèle de sa démarche mais aussi s’appuyer sur les retours d’expériences de la clientèle.
En ce sens, la charte éthique du voyageur est un outil majeur, que le TO a pour obligation de diffuser.
La charte éthique du voyageur s'adresse au voyageur.
Elle déplie en 12 points ce qu’est un voyageur responsable.
Ces 12 points invitent le voyageur a respecter le patrimoine naturel et culturel de sa destination, respecter les habitudes de vies et dénoncer les manquements aux droits de l’Homme et de l’enfant, et, après son voyage, à faire du tourisme un vecteur de paix et de respect entre les peuples.
Elle déplie en 12 points ce qu’est un voyageur responsable.
Ces 12 points invitent le voyageur a respecter le patrimoine naturel et culturel de sa destination, respecter les habitudes de vies et dénoncer les manquements aux droits de l’Homme et de l’enfant, et, après son voyage, à faire du tourisme un vecteur de paix et de respect entre les peuples.
Le tour-opérateur labellisé se doit d’être transparent aussi sur la prestation qu’il propose, et la décrire clairement sur ses différents supports de communication.
Il a aussi pour mission de créer des supports expliquant sa démarche et son impact en matière de respect de l’environnement, du patrimoine, de l’humain…
Cet engagement doit être clair et vérifiable.
Enfin, à noter, dès 2020 les labellisés ATR ont l'obligation de compenser 100% des émissions carbones rejetées par l'entreprise - celles rejetées par les voyageurs devront l'être à 100% aussi d'ici 2025.
Il a aussi pour mission de créer des supports expliquant sa démarche et son impact en matière de respect de l’environnement, du patrimoine, de l’humain…
Cet engagement doit être clair et vérifiable.
Enfin, à noter, dès 2020 les labellisés ATR ont l'obligation de compenser 100% des émissions carbones rejetées par l'entreprise - celles rejetées par les voyageurs devront l'être à 100% aussi d'ici 2025.
Partenariat
Deuxième critère mais pas moins important : avec qui travaille le TO.
Les engagements ne sauraient être tenus si, derrière le prestataire ne tient pas les mêmes. Si vous mobilisez votre entreprise dans le durable mais que votre prestataire sous-paie ses employés, la démarche n’a plus aucune cohérence, et le label veille aussi à ce que votre choix de partenaires aillent dans le bon sens.
Le mot partenaire doit prendre tout son sens : une charte d’engagement de l’un vers l’autre, des retours d’expérience, un appui solidaire. La relation doit donc être durable et de confiance. Ce partenaire doit souscrire aux mêmes conditions de valorisation du patrimoine et respect des ressources naturelles.
Là aussi, la transparence et l’information sont importants : à tout instant, le voyageur doit pouvoir savoir qui sont les sous-traitants et partenaires, et quelle est leur politique environnementale, sociale et culturelle. Leur avis valorisera votre action.
Les engagements ne sauraient être tenus si, derrière le prestataire ne tient pas les mêmes. Si vous mobilisez votre entreprise dans le durable mais que votre prestataire sous-paie ses employés, la démarche n’a plus aucune cohérence, et le label veille aussi à ce que votre choix de partenaires aillent dans le bon sens.
Le mot partenaire doit prendre tout son sens : une charte d’engagement de l’un vers l’autre, des retours d’expérience, un appui solidaire. La relation doit donc être durable et de confiance. Ce partenaire doit souscrire aux mêmes conditions de valorisation du patrimoine et respect des ressources naturelles.
Là aussi, la transparence et l’information sont importants : à tout instant, le voyageur doit pouvoir savoir qui sont les sous-traitants et partenaires, et quelle est leur politique environnementale, sociale et culturelle. Leur avis valorisera votre action.
Cohérence
Enfin, le troisième critère : la cohérence entre ce que vous proposez à la clientèle et ce que vous faites en interne.
L’action de l’entreprise compte autant que le produit qu’elle propose : si le voyage doit être responsable du début à la fin, le TO lui-même doit être irréprochable – ou en tout cas transparent sur les efforts à fournir.
Ainsi, il doit communiquer en interne sur la démarche, sensibiliser et former ses équipes, qu’elles soient sur le terrain ou dans les bureaux. Il doit aussi mettre en œuvre une politique interne de gestion environnementale (déchets, énergie, covoiturage…) et humaine (économie sociale et solidaire, place du handicap…).
La cohérence s’inscrit aussi sur le terrain : le TO est sensé soutenir des actions ou associations qui œuvrent localement pour améliorer son environnement naturel, social ou culturel.
Enfin, le label exige que l’entreprise inscrive de manière claire les valeurs de l’entreprise, au travers d'une charte par exemple. Au-delà de la communication auprès du grand public, ce sont aussi les salariés qui doivent se les approprier, les respecter et les faire valoir.
L’action de l’entreprise compte autant que le produit qu’elle propose : si le voyage doit être responsable du début à la fin, le TO lui-même doit être irréprochable – ou en tout cas transparent sur les efforts à fournir.
Ainsi, il doit communiquer en interne sur la démarche, sensibiliser et former ses équipes, qu’elles soient sur le terrain ou dans les bureaux. Il doit aussi mettre en œuvre une politique interne de gestion environnementale (déchets, énergie, covoiturage…) et humaine (économie sociale et solidaire, place du handicap…).
La cohérence s’inscrit aussi sur le terrain : le TO est sensé soutenir des actions ou associations qui œuvrent localement pour améliorer son environnement naturel, social ou culturel.
Enfin, le label exige que l’entreprise inscrive de manière claire les valeurs de l’entreprise, au travers d'une charte par exemple. Au-delà de la communication auprès du grand public, ce sont aussi les salariés qui doivent se les approprier, les respecter et les faire valoir.