"Avec un nom comme celui-ci, j'avais du mal à imaginer que ce navire puisse effectuer des croisières ailleurs qu'en Polynésie", a indiqué Teva Rohfritsch.
Cette prolongation de l'activité du "Paul Gauguin" est rendue possible notamment par un nouvel accord entre la société propriétaire du paquebot et la société Radisson qui l'exploite.
"Ceci est une excellente nouvelle pour l'industrie touristique et pour toute la Polynésie française avec en particulier les retombées économiques que cela suppose pour les îles où le paquebot fait escale", a ajouté le ministre en soulignant que l'activité de croisière représentait environ 6 des 43 milliards Fcfp de recettes générées (50 280 0000 euros pour un total de 360 000 000 euros), en une année, par le tourisme en Polynésie.
Cette annonce intervient alors qu'il y a une semaine un autre navire, le paquebot à voiles "Wind Star", quittait la Polynésie pour effectuer désormais des croisières au Costa Rica.
Très bon taux d'occupation
Franco Guerriero, membre du Conseil d'administration de la société Paul Gauguin Shipping Limited, propriétaire du navire, a confirmé ce séjour prolongé du paquebot qui ira jusqu'en janvier 2007 "et peut-être même au-delà".
"Le paquebot a de très bons résultats. Le taux d'occupation tourne autour de 95% et nous sommes heureux de continuer notre partenariat avec la société Radisson", a déclaré Franco Guerriero.
Jean-Claude Potier, représentant des propriétaires du paquebot "Paul Gauguin", a par ailleurs précisé, que les croisières proposées par le navire en Polynésie allaient être, cette année, diversifiées, avec ainsi sept croisières aux Marquises et une croisière qui passera, pour la première fois, aux Australes.
Le paquebot, qui transporte environ 12 000 passagers par an, est présent depuis 1998 dans les eaux polynésiennes.
Le ministre du Tourisme a en outre souligné son intention d'attirer d'autres sociétés de croisière en Polynésie, dont Windjammer et West cruises, un représentant de cette société devant notamment être reçu la semaine prochaine à Tahiti.
Pour ce faire, les mesures d'éxonération fiscale, actuellement possibles pour six mois de présence minimum d'un navire en Polynésie, pourraient entrer en vigueur après seulement un mois de présence.
Cette prolongation de l'activité du "Paul Gauguin" est rendue possible notamment par un nouvel accord entre la société propriétaire du paquebot et la société Radisson qui l'exploite.
"Ceci est une excellente nouvelle pour l'industrie touristique et pour toute la Polynésie française avec en particulier les retombées économiques que cela suppose pour les îles où le paquebot fait escale", a ajouté le ministre en soulignant que l'activité de croisière représentait environ 6 des 43 milliards Fcfp de recettes générées (50 280 0000 euros pour un total de 360 000 000 euros), en une année, par le tourisme en Polynésie.
Cette annonce intervient alors qu'il y a une semaine un autre navire, le paquebot à voiles "Wind Star", quittait la Polynésie pour effectuer désormais des croisières au Costa Rica.
Très bon taux d'occupation
Franco Guerriero, membre du Conseil d'administration de la société Paul Gauguin Shipping Limited, propriétaire du navire, a confirmé ce séjour prolongé du paquebot qui ira jusqu'en janvier 2007 "et peut-être même au-delà".
"Le paquebot a de très bons résultats. Le taux d'occupation tourne autour de 95% et nous sommes heureux de continuer notre partenariat avec la société Radisson", a déclaré Franco Guerriero.
Jean-Claude Potier, représentant des propriétaires du paquebot "Paul Gauguin", a par ailleurs précisé, que les croisières proposées par le navire en Polynésie allaient être, cette année, diversifiées, avec ainsi sept croisières aux Marquises et une croisière qui passera, pour la première fois, aux Australes.
Le paquebot, qui transporte environ 12 000 passagers par an, est présent depuis 1998 dans les eaux polynésiennes.
Le ministre du Tourisme a en outre souligné son intention d'attirer d'autres sociétés de croisière en Polynésie, dont Windjammer et West cruises, un représentant de cette société devant notamment être reçu la semaine prochaine à Tahiti.
Pour ce faire, les mesures d'éxonération fiscale, actuellement possibles pour six mois de présence minimum d'un navire en Polynésie, pourraient entrer en vigueur après seulement un mois de présence.