On nous le promet pour juin prochain, question d’éviter l’implosion des industries touristiques européennes, en grand danger. Et tout particulièrement celles des pays les plus dépendants, tels l’Espagne, la Grèce ou le Portugal.
Que comportera-t-il ? Des indications "simples", selon le Commissaire européen.
Le titulaire a-t-il déjà été vacciné ? Quel type de vaccin et combien de doses ? Ou, au contraire, a-t-il déjà eu la Covid-19 et présente-t-il des signes d’immunisation durables ? Le tout dans la langue du pays et traduit en anglais, bien entendu.
Voilà, les grandes lignes du projet, selon le Commissaire européen au Marché intérieur qui s’exprimait dans le cadre du Grand Rendez-vous diffusé sur Europe 1 et CNews.
Bien entendu, c’est une proposition de loi et ce n’est pas parce que l’Union européenne décide d’adopter un carnet vaccinal qu’on aura réglé nos problèmes. Ce serait trop simple !
Mais pourquoi est-ce si compliqué de trouver une solution à quelque chose qui peut paraître normal et naturel à tous ceux qui voyagent depuis longtemps et à qui ça ne posait aucun problème d’exiber leur certificat de vaccination pour la fièvre jaune quand des pays africains mais aussi la Guyane, l’exigeaient ?
Parce qu’aussi, la conception technologique de ce vaccin dit à ARN contre la Covid-19 n’a rien à voir avec la vaccinologie classique. Ici ,c’est l’organisme lui-même qui lutte contre le virus.
On le “stimule” et on sollicite ses défenses immunitaires pour qu’il fasse lui-même barrage à la maladie.
Que comportera-t-il ? Des indications "simples", selon le Commissaire européen.
Le titulaire a-t-il déjà été vacciné ? Quel type de vaccin et combien de doses ? Ou, au contraire, a-t-il déjà eu la Covid-19 et présente-t-il des signes d’immunisation durables ? Le tout dans la langue du pays et traduit en anglais, bien entendu.
Voilà, les grandes lignes du projet, selon le Commissaire européen au Marché intérieur qui s’exprimait dans le cadre du Grand Rendez-vous diffusé sur Europe 1 et CNews.
Bien entendu, c’est une proposition de loi et ce n’est pas parce que l’Union européenne décide d’adopter un carnet vaccinal qu’on aura réglé nos problèmes. Ce serait trop simple !
Mais pourquoi est-ce si compliqué de trouver une solution à quelque chose qui peut paraître normal et naturel à tous ceux qui voyagent depuis longtemps et à qui ça ne posait aucun problème d’exiber leur certificat de vaccination pour la fièvre jaune quand des pays africains mais aussi la Guyane, l’exigeaient ?
Parce qu’aussi, la conception technologique de ce vaccin dit à ARN contre la Covid-19 n’a rien à voir avec la vaccinologie classique. Ici ,c’est l’organisme lui-même qui lutte contre le virus.
On le “stimule” et on sollicite ses défenses immunitaires pour qu’il fasse lui-même barrage à la maladie.
Le nombre de vaccins "obligatoire" dépasse le raisonnable
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De médical, le débat s’est très rapidement déplacé sur le terrain des libertés individuelles, de la politique et de la contestation. L
a non-obligation pour les citoyens français de se vacciner a quelque peu atténué le débat et privé (un peu) d’arguments les complotistes.
Il faut reconnaître que l’”inflation” des vaccins au cours des dernières années, y est pour quelque chose. On inflige aux nouveaux-nés aujourd’hui pas moins de… 12 vaccins obligatoires contre toutes sortes de maladies.
Et dans le monde de demain, les transmissions de plus en plus fréquentes des virus de l’animal à l’homme, ne devraient pas arranger les choses…
La France a décidé de ne pas rendre obligatoire le vaccin contre la covid-19 et c’est tout à son honneur. Mais il y a fort à parier que tous ceux qui auront fait le choix d’y renoncer, auront moins de prérogatives.
Tout simplement parce que le monde a changé. Parce que les réseaux sociaux cristallisent les mécontentements, les revendications, les fake news, les extrémismes de tout bord.
Les anti-vaccin y ont trouvé un terreau de choix pour faire pousser leur crainte et leur aversion.
a non-obligation pour les citoyens français de se vacciner a quelque peu atténué le débat et privé (un peu) d’arguments les complotistes.
Il faut reconnaître que l’”inflation” des vaccins au cours des dernières années, y est pour quelque chose. On inflige aux nouveaux-nés aujourd’hui pas moins de… 12 vaccins obligatoires contre toutes sortes de maladies.
Et dans le monde de demain, les transmissions de plus en plus fréquentes des virus de l’animal à l’homme, ne devraient pas arranger les choses…
La France a décidé de ne pas rendre obligatoire le vaccin contre la covid-19 et c’est tout à son honneur. Mais il y a fort à parier que tous ceux qui auront fait le choix d’y renoncer, auront moins de prérogatives.
Tout simplement parce que le monde a changé. Parce que les réseaux sociaux cristallisent les mécontentements, les revendications, les fake news, les extrémismes de tout bord.
Les anti-vaccin y ont trouvé un terreau de choix pour faire pousser leur crainte et leur aversion.
Passeport sanitaire : aucun système ne fait l’unanimité
Dans les pays où la vaccination est très avancée, comme en Israël, l’injection devient le laisser-passer incontournable pour accéder à un certain nombre d’activités, comme de se rendre dans les bars, les restaurants, les salles de sport, etc.
Mais surtout, le vaccin va permettre de reprendre l’avion et de traverser les frontières d’ici quelques mois. Même dans l'Hexagone, on pourrait imaginer que les professionnels du tourisme l'exigent à terme.
Le nombre de destinations exigeant aux visiteurs d’être vaccinés, croît au fur et à mesure de l’avancement des campagnes vaccinales.
Autrement dit, le rythme de ces dernières devra se faire au diapason pour éviter d’être recalé dans le choix des pays où vous souhaitez partir en vacances.
Dernier impératif : trouver un système multinational qui permet aux citoyens de préserver la confidentialité de leurs données médicales lorsqu’ils voyagent.
Si beaucoup d’organismes et d’entreprises proposent actuellement des applications faisant office de passeport sanitaire, pour l’instant aucun système ne fait l’unanimité.
L’Europe y travaille aussi et pourrait doubler la ligne d'arrivée en première après ses atermoiements. Car la question devient critique car le tourisme est un enjeu économique de premier ordre et représente des dizaines de milliards d’euros sur le plan européen et des dizaines de millions d’emplois.
Il reste à voir comment sera accueilli ce certificat de vaccination, ainsi intitulé car le terme "passeport" a déjà fait beaucoup couler d'encre y particulièrement en France, où les anti-vaccin sont particulièrement actifs.
Mais surtout, le vaccin va permettre de reprendre l’avion et de traverser les frontières d’ici quelques mois. Même dans l'Hexagone, on pourrait imaginer que les professionnels du tourisme l'exigent à terme.
Le nombre de destinations exigeant aux visiteurs d’être vaccinés, croît au fur et à mesure de l’avancement des campagnes vaccinales.
Autrement dit, le rythme de ces dernières devra se faire au diapason pour éviter d’être recalé dans le choix des pays où vous souhaitez partir en vacances.
Dernier impératif : trouver un système multinational qui permet aux citoyens de préserver la confidentialité de leurs données médicales lorsqu’ils voyagent.
Si beaucoup d’organismes et d’entreprises proposent actuellement des applications faisant office de passeport sanitaire, pour l’instant aucun système ne fait l’unanimité.
L’Europe y travaille aussi et pourrait doubler la ligne d'arrivée en première après ses atermoiements. Car la question devient critique car le tourisme est un enjeu économique de premier ordre et représente des dizaines de milliards d’euros sur le plan européen et des dizaines de millions d’emplois.
Il reste à voir comment sera accueilli ce certificat de vaccination, ainsi intitulé car le terme "passeport" a déjà fait beaucoup couler d'encre y particulièrement en France, où les anti-vaccin sont particulièrement actifs.
Quel est votre avis sur le passeport sanitaire ?
Votre avis nous intéresse. Pensez-vous que le passeport sanitaire est une bonne chose ?
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Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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