Verra-t-on bientôt les agents de voyages descendre dans la rue pour défendre leur licence professionnelle ?
Tandis que les représentants de la profession protestent mollement contre la disparition annoncée fin décembre 2009 de la licence professionnelle, la question est loin de laisser indifférents les agents de voyages, si l'on en croit notre sondage.
78% des personnes interrogées déclarent n'avoir jamais "envisagé la suppression de la licence d'agent de voyages" contre 19% qui répondent par l'affirmative.
Très clairement, le voyage n'est pas pour elles un produit comme les autres (93%) et ne peut être vendu par tout le monde.
Très logiquement donc "La suppression de la licence" est pour 86% d'entre eux "une mauvaise chose" car elle "protège davantage les consommateurs" (86%) et aurait "une influence sur la qualité et la fiabilité des prestations proposées aux clients" pour 86% de l'échantillon.
78% des personnes interrogées déclarent n'avoir jamais "envisagé la suppression de la licence d'agent de voyages" contre 19% qui répondent par l'affirmative.
Très clairement, le voyage n'est pas pour elles un produit comme les autres (93%) et ne peut être vendu par tout le monde.
Très logiquement donc "La suppression de la licence" est pour 86% d'entre eux "une mauvaise chose" car elle "protège davantage les consommateurs" (86%) et aurait "une influence sur la qualité et la fiabilité des prestations proposées aux clients" pour 86% de l'échantillon.
Les professionnels font d'abord confiance à eux-mêmes
78% d'entre eux sont prêts à se battre pour la défendre voire même à descendre dans la rue et en pétitionnant (52%), chacune de ses options isolées recueillant respectivement 36% et 10%. Avec ou sans licence, ils sont 62% contre 27% à croire "toujours à l'avenir de la profession ".
En revanche, ils seraient 57% contre 31% à "ne pas conseiller la profession" à leur enfants. Révélateur. Autant que ce pourcentage : 63% vs 28% des sondés "ne font pas confiance aux organismes corporatifs et syndicaux pour défendre leur intérêts...
C'est pas gagné !
Et comme on est jamais mieux servi que par soi-même, les professionnels de la distribution font d'abord confiance à eux-mêmes (33%) pour défendre leur intérêts professionnels. Viennent ensuite les réseaux (29%) et le Snav et l'APS avec respectivement 15 et 11%.
VOIR PAGE SONDAGE (cliquez)
En revanche, ils seraient 57% contre 31% à "ne pas conseiller la profession" à leur enfants. Révélateur. Autant que ce pourcentage : 63% vs 28% des sondés "ne font pas confiance aux organismes corporatifs et syndicaux pour défendre leur intérêts...
C'est pas gagné !
Et comme on est jamais mieux servi que par soi-même, les professionnels de la distribution font d'abord confiance à eux-mêmes (33%) pour défendre leur intérêts professionnels. Viennent ensuite les réseaux (29%) et le Snav et l'APS avec respectivement 15 et 11%.
VOIR PAGE SONDAGE (cliquez)