Pascal de Izaguirre à Toulouse au pied de l'A.330 Néo avec les actionnaires de la compagnie parmi lesquels C TERRASSOUX Y LEFEVRE D LESSUEUR H GIAOUI /crédit CH
Après des négociations réussies avec des personnels très attachés à l’entreprise, une efficace collaboration avec les équipes du Comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri) favorisant l’arrivée d’un nouvel actionnariat,
Pascal de Izaguirre et ses équipes piaffaient d’impatience pour se lancer dans une ‘’Remontada’ ’et repartir à la conquête des marchés.
Son cri du cœur (‘’tout le monde en a ras le bol !’ ) lâché lors des Ateliers de virtuels de l’IFTM, traduisait bien l’impatience de tout un secteur pour repartir dès que possible.
Avec l’une des plus jeunes flottes du marché d’ici juin 2022, et neuf avions dont cinq A330neo d’une moyenne d’âge de 5 ans, Corsair est en ordre de marche pour revenir dans le jeu et particulièrement sur les DOM TOM.
Sur ce marché qu’elle partage avec trois autres (Air France, Air Caraïbes et Air Austral) et où les prix se tiennent*, Corsair offre, avec l’A.330 Néo un excellent standard.
La cabine est élégante et dotée de 3 classes de voyage (business, premium, éco) qui accueillent 352 passagers (20 sièges en Business, 21 sièges en Premium, et 311 sièges en Economie dont 33 sièges en Eco+).
En classe économique, l’A.330 avec une configuration à 9 sièges de front offre un environnement plus agréable que les 10 sièges de front de l’A.350 ou le B.777 des concurrents.
Pascal de Izaguirre et ses équipes piaffaient d’impatience pour se lancer dans une ‘’Remontada’ ’et repartir à la conquête des marchés.
Son cri du cœur (‘’tout le monde en a ras le bol !’ ) lâché lors des Ateliers de virtuels de l’IFTM, traduisait bien l’impatience de tout un secteur pour repartir dès que possible.
Avec l’une des plus jeunes flottes du marché d’ici juin 2022, et neuf avions dont cinq A330neo d’une moyenne d’âge de 5 ans, Corsair est en ordre de marche pour revenir dans le jeu et particulièrement sur les DOM TOM.
Sur ce marché qu’elle partage avec trois autres (Air France, Air Caraïbes et Air Austral) et où les prix se tiennent*, Corsair offre, avec l’A.330 Néo un excellent standard.
La cabine est élégante et dotée de 3 classes de voyage (business, premium, éco) qui accueillent 352 passagers (20 sièges en Business, 21 sièges en Premium, et 311 sièges en Economie dont 33 sièges en Eco+).
En classe économique, l’A.330 avec une configuration à 9 sièges de front offre un environnement plus agréable que les 10 sièges de front de l’A.350 ou le B.777 des concurrents.
Créer des ‘’scénarios lumineux’’ ambiances selon l’étape du vol
Par rapport aux appareils ancienne génération, le bruit est nettement atténué et offre une sensation de calme et de douceur grâce aussi à un éclairage avec technologie LED permettant de créer des ‘’scénarios lumineux’’ et de varier les ambiances selon l’étape du vol.
L’équipage ne peut pas encore ‘’faire la pluie et le beau temps’’ à bord mais, avec 24 scénarios d’éclairage, il aura à sa main la possibilité de mettre la cabine en mode lever ou coucher de soleil.
En partenariat avec la société SITA FOR AIRCRAFT (groupe SITA) la connectivité est également déployée pour offrir aux passagers du Wi-Fi haut débit dans tout l’avion.
Coté divertissements, les écrans passagers sont larges quelque soit la classe de voyage et permettent de visionner une offre de divertissements très élargie : Films (plus de 100 dès septembre 2021), albums musicaux, playlists, radios, jeux, séries, programmes enfants…
Durant le vol, l’équipage PNC en fonction, nous dévoilait également les nouveautés dans les galleys pour un service amélioré : machine à expresso, cave à vin et micro- ondes.
Il y’a également ce que l’on ne voit pas et qui améliore significativement les performances opérationnelles et environnementales : une nouvelle motorisation, des améliorations aérodynamiques qui contribuent à réduire de 25% la consommation de carburant et les émissions de CO2.
L’équipage ne peut pas encore ‘’faire la pluie et le beau temps’’ à bord mais, avec 24 scénarios d’éclairage, il aura à sa main la possibilité de mettre la cabine en mode lever ou coucher de soleil.
En partenariat avec la société SITA FOR AIRCRAFT (groupe SITA) la connectivité est également déployée pour offrir aux passagers du Wi-Fi haut débit dans tout l’avion.
Coté divertissements, les écrans passagers sont larges quelque soit la classe de voyage et permettent de visionner une offre de divertissements très élargie : Films (plus de 100 dès septembre 2021), albums musicaux, playlists, radios, jeux, séries, programmes enfants…
Durant le vol, l’équipage PNC en fonction, nous dévoilait également les nouveautés dans les galleys pour un service amélioré : machine à expresso, cave à vin et micro- ondes.
Il y’a également ce que l’on ne voit pas et qui améliore significativement les performances opérationnelles et environnementales : une nouvelle motorisation, des améliorations aérodynamiques qui contribuent à réduire de 25% la consommation de carburant et les émissions de CO2.
Réduction de 25% la consommation de carburant et des émissions de CO2
Voilà un avion capable d’aller aussi loin que le Boeing 747 tout en réduisant de 180 tonnes les émissions de CO2 en moyenne par vol.
Les vénérables Boeing 747 gourmands et obsolètes sont partis et voici donc la nouvelle Corsair avec une ‘’monoflotte ‘’ Airbus, bien calibrée pour les DOM TOM et en particulier l’Océan Indien.
En effet, là ou l’A.330 classique n’a pas la possibilité de rallier Saint Denis de la Réunion avec la pleine charge passager et fret, le Néo lui n’a aucune limitation opérationnelle. Voilà pourquoi les trois premiers Néo de la flotte seront prioritairement affectés sur la desserte de l’Océan Indien.
Reste maintenant à pouvoir remplir les avions et se déployer sur le réseau, ce qui à ce jour reste très compliqué. Mais quand donc les motifs impérieux seront-ils supprimés vers les DOM-TOM ? C’est la condition sine qua non d’une reprise massive des réservations mais rien ne bouge pour le moment.
Il y’a quelques jours, Eric Koury nous confiait qu’avec l’arrivée des nouveaux avions, Corsair évaluait un certain nombre de destinations afin d’élargir son réseau. Interrogé plus précisément sur la desserte de la République Dominicaine, Pascal de Izaguirre ne nous cachait pas son intérêt.
Et même si le PDG de Corsair constatait une amélioration des ventes ces derniers jours son inquiétude et celles de ses actionnaires propriétaires d’hôtels en Outre-Mer est bien réelle quant à la réouverture des DOM TOM cet été, et de lâcher cette formule bien sentie : ‘’On sait tout sur les terrasses et les restaurants, on ne sait rien sur les conditions pour voyager...’
Les vénérables Boeing 747 gourmands et obsolètes sont partis et voici donc la nouvelle Corsair avec une ‘’monoflotte ‘’ Airbus, bien calibrée pour les DOM TOM et en particulier l’Océan Indien.
En effet, là ou l’A.330 classique n’a pas la possibilité de rallier Saint Denis de la Réunion avec la pleine charge passager et fret, le Néo lui n’a aucune limitation opérationnelle. Voilà pourquoi les trois premiers Néo de la flotte seront prioritairement affectés sur la desserte de l’Océan Indien.
Reste maintenant à pouvoir remplir les avions et se déployer sur le réseau, ce qui à ce jour reste très compliqué. Mais quand donc les motifs impérieux seront-ils supprimés vers les DOM-TOM ? C’est la condition sine qua non d’une reprise massive des réservations mais rien ne bouge pour le moment.
Il y’a quelques jours, Eric Koury nous confiait qu’avec l’arrivée des nouveaux avions, Corsair évaluait un certain nombre de destinations afin d’élargir son réseau. Interrogé plus précisément sur la desserte de la République Dominicaine, Pascal de Izaguirre ne nous cachait pas son intérêt.
Et même si le PDG de Corsair constatait une amélioration des ventes ces derniers jours son inquiétude et celles de ses actionnaires propriétaires d’hôtels en Outre-Mer est bien réelle quant à la réouverture des DOM TOM cet été, et de lâcher cette formule bien sentie : ‘’On sait tout sur les terrasses et les restaurants, on ne sait rien sur les conditions pour voyager...’
Le siège en classe business permettant une totale inclinaison pour pouvoir s'allonger et dormir /crédit CH
(*) Prix d’un aller-retour ORY PTP 21 – 28 aout constaté sur les sites des Cies le 11 mai En éco Corsair : 1238 euros Air Caraïbes : 1026 euros Air France : 1281 euros En business Corsair : 1668 euros Air Caraïbes : 2069 euros Air France : 1956 euros