Un double lapin sorti d'un chapeau qui non seulement n'arrangera pas mais pourrait même aggraver encore les affaires (peu florissantes) de la Distribution, mais aussi un "lapin" posé à la profession toute entière, car les négociations au cours de ces derniers mois ont débouché sur un marché de dupes.
Simplifier n'est pas tromper : comment le Réseau qui vit des heures difficiles pourrait-il endosser un texte qui, manifestement, n'avait pas pour objectif de préserver ses intérêts mais plutôt ceux des associations et autres organismes para commerciaux qui vendent du voyage comme M. Jourdain faisait de la prose ?
Cette première hypothèque levée, voilà que la simplification rime désormais avec mystification, le texte final de l'Ordonnance élargissant encore le spectre et permettant à de nouvelles professions touristiques de fabriquer et vendre des forfaits...
Force est de constater que ceux qui, dès les premières heures, se sont élevés avec véhémence contre ce projet de Réforme, avaient raison. Les intentions du Secrétariat d'État au tourisme étaient loin d'être claires. Le refus de la profession de l'octroi d'une licence aux Associations a démontré que, sous des apparences anodines, se cachait un véritable piège.
Cela nous rappelle un épisode comique s'il n'avait coûté beaucoup d'argent à ceux qui en ont été victimes : au lendemain du 11 septembre, on se réjouissait déjà du lobbying que l'on pensait "payant" et qui consistait à demander à l'Etat des reports de charges, exonérations et autres crédits.
Jusqu'à ce qu'un fonctionnaire zélé explique à la profession, ébahie, que l'établissement bancaire concerné ne pouvait en aucune manière prêter de l'argent directement.
Alors, vous avez dit "lapin" ?
Simplifier n'est pas tromper : comment le Réseau qui vit des heures difficiles pourrait-il endosser un texte qui, manifestement, n'avait pas pour objectif de préserver ses intérêts mais plutôt ceux des associations et autres organismes para commerciaux qui vendent du voyage comme M. Jourdain faisait de la prose ?
Cette première hypothèque levée, voilà que la simplification rime désormais avec mystification, le texte final de l'Ordonnance élargissant encore le spectre et permettant à de nouvelles professions touristiques de fabriquer et vendre des forfaits...
Force est de constater que ceux qui, dès les premières heures, se sont élevés avec véhémence contre ce projet de Réforme, avaient raison. Les intentions du Secrétariat d'État au tourisme étaient loin d'être claires. Le refus de la profession de l'octroi d'une licence aux Associations a démontré que, sous des apparences anodines, se cachait un véritable piège.
Cela nous rappelle un épisode comique s'il n'avait coûté beaucoup d'argent à ceux qui en ont été victimes : au lendemain du 11 septembre, on se réjouissait déjà du lobbying que l'on pensait "payant" et qui consistait à demander à l'Etat des reports de charges, exonérations et autres crédits.
Jusqu'à ce qu'un fonctionnaire zélé explique à la profession, ébahie, que l'établissement bancaire concerné ne pouvait en aucune manière prêter de l'argent directement.
Alors, vous avez dit "lapin" ?