La Métropole de Lyon accueille chaque année plus de 6 millions de visiteurs en provenance du monde entier.
En 2019, elle devenait la première Capitale européenne du « Smart tourisme » avec Helsinki.
La ville se livre sous trois visages qui se complètent et s’harmonisent.
Construit entre la colline de Fourvière et la Saône, le Vieux-Lyon rappelle l’opulence d’une époque où le commerce de l’argent, l’imprimerie et les soieries assuraient la prospérité de la ville.
A « La Confluence », là où Rhône et Saône se rejoignent, l’architecture contemporaine fait vivre la ville de demain.
La « Croix rousse », « la colline qui travaille », garde son esprit de village et accueille les jeunes créateurs.
Lyon est classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco depuis 1998. La citation inclut les quartiers du Vieux Lyon, la colline de Fourvière, celle de la Croix-Rousse et la Presqu'’île. Deux fleuves, deux collines, quatre rives, c’est ainsi que l’on peut définir l’écrin du cœur historique de Lyon.
Fondée en 43 av. J.-C. par un lieutenant de Jules César, Lyon fut capitale de la Gaule celtique, puis un haut lieu du christianisme qu’illustrent aujourd’hui la Cathédrale Saint-Jean et la Basilique de Fourvière.
En 2019, elle devenait la première Capitale européenne du « Smart tourisme » avec Helsinki.
La ville se livre sous trois visages qui se complètent et s’harmonisent.
Construit entre la colline de Fourvière et la Saône, le Vieux-Lyon rappelle l’opulence d’une époque où le commerce de l’argent, l’imprimerie et les soieries assuraient la prospérité de la ville.
A « La Confluence », là où Rhône et Saône se rejoignent, l’architecture contemporaine fait vivre la ville de demain.
La « Croix rousse », « la colline qui travaille », garde son esprit de village et accueille les jeunes créateurs.
Lyon est classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco depuis 1998. La citation inclut les quartiers du Vieux Lyon, la colline de Fourvière, celle de la Croix-Rousse et la Presqu'’île. Deux fleuves, deux collines, quatre rives, c’est ainsi que l’on peut définir l’écrin du cœur historique de Lyon.
Fondée en 43 av. J.-C. par un lieutenant de Jules César, Lyon fut capitale de la Gaule celtique, puis un haut lieu du christianisme qu’illustrent aujourd’hui la Cathédrale Saint-Jean et la Basilique de Fourvière.
Le Vieux-Lyon et ses traboules
Le Vieux Lyon. La citation au Patrimoine de l'UNESCO inclut les quartiers du Vieux Lyon, la colline de Fourvière, celle de la Croix-Rousse et la Presqu'’île - DR
C’était du temps où la ville était réputait pour ses foires, où les marchands venaient de toute l’Europe faire affaire.
Ses bâtiments des 15e et 16e siècles abritaient de riches familles de banquiers, de marchands italiens, allemands ou flamands.
Secret et mystérieux, le Vieux-Lyon se découvre derrière les portes ou à travers sa dizaine de traboules, ces passages cachés et raccourcis qui permettent de passer d’une rue à l'autre en traversant un ou plusieurs immeubles et cours. Elles recèlent des curiosités architecturales.
Autour de la cathédrale Saint-Jean construite dans le style gothique, la rue Saint-Jean abrite restaurants et magasins. Rue du Bœuf, les boutiques de créateurs alternent avec des restaurants étoilés au guide Michelin.
A ne pas manquer : les traboules, l’église Saint Georges où des messes sont encore dites en latin. De style néogothique, elle est classée Monument historique. La primatiale Cathédrale Saint-Jean-Baptiste dont la construction a demandé trois siècles (de 1180 à 1480). La Basilique de Fourvière qui surplombe Lyon. De l'esplanade, la vue panoramique est imprenable. Le nom de Fourvière viendrait du latin « Forum Vetus », vieux forum.
A savoir : « Trabouler » vient du latin « trans ambulare », qui signifie « passer à travers ». Particulièrement nombreuses dans le Vieux-Lyon, les traboules permettaient, au Moyen Age, de rejoindre rapidement les bateaux sur la Saône. Elles ont aussi abrité les allées et venues clandestines des Résistants lyonnais pendant la Guerre 39-45.
Ses bâtiments des 15e et 16e siècles abritaient de riches familles de banquiers, de marchands italiens, allemands ou flamands.
Secret et mystérieux, le Vieux-Lyon se découvre derrière les portes ou à travers sa dizaine de traboules, ces passages cachés et raccourcis qui permettent de passer d’une rue à l'autre en traversant un ou plusieurs immeubles et cours. Elles recèlent des curiosités architecturales.
Autour de la cathédrale Saint-Jean construite dans le style gothique, la rue Saint-Jean abrite restaurants et magasins. Rue du Bœuf, les boutiques de créateurs alternent avec des restaurants étoilés au guide Michelin.
A ne pas manquer : les traboules, l’église Saint Georges où des messes sont encore dites en latin. De style néogothique, elle est classée Monument historique. La primatiale Cathédrale Saint-Jean-Baptiste dont la construction a demandé trois siècles (de 1180 à 1480). La Basilique de Fourvière qui surplombe Lyon. De l'esplanade, la vue panoramique est imprenable. Le nom de Fourvière viendrait du latin « Forum Vetus », vieux forum.
A savoir : « Trabouler » vient du latin « trans ambulare », qui signifie « passer à travers ». Particulièrement nombreuses dans le Vieux-Lyon, les traboules permettaient, au Moyen Age, de rejoindre rapidement les bateaux sur la Saône. Elles ont aussi abrité les allées et venues clandestines des Résistants lyonnais pendant la Guerre 39-45.
La Confluence, audace et développement durable
Là où Rhône et Saône se rejoignent, l’architecture contemporaine fait vivre la ville de demain. Ancien quartier industriel, la Confluence abritait le marché de gros et le port Rambaud, qui alimentait la ville en marchandises arrivant par le fleuve.
A la suite des fermetures progressives des usines (fin du 20e siècle), un projet urbain a donné un nouveau souffle à ce quartier.
Les grands noms de l’architecture internationale comme Christian de Portzamparc, Kengo Kuma ou Massimiliano Fuksas ont mis leur patte à une architecture surprenante.
Quartier d’expérimentation à la pointe de l’écologie, cet éco-quartier associe audace et développement durable.
Tout en gardant son style industriel, Confluence est devenue la "figure de proue" du nouveau quartier de Lyon qui accueille le siège de grandes entreprises de communication, des institutions et aussi des restaurants branchés, des bars festifs, des galeries d'art et des magasin de design.
A Voir : le musée des Confluences, l’un des grands musées contemporains français (3 étoiles au Guide Vert Michelin 2020, ce qui signifie « vaut le voyage »).
A la suite des fermetures progressives des usines (fin du 20e siècle), un projet urbain a donné un nouveau souffle à ce quartier.
Les grands noms de l’architecture internationale comme Christian de Portzamparc, Kengo Kuma ou Massimiliano Fuksas ont mis leur patte à une architecture surprenante.
Quartier d’expérimentation à la pointe de l’écologie, cet éco-quartier associe audace et développement durable.
Tout en gardant son style industriel, Confluence est devenue la "figure de proue" du nouveau quartier de Lyon qui accueille le siège de grandes entreprises de communication, des institutions et aussi des restaurants branchés, des bars festifs, des galeries d'art et des magasin de design.
A Voir : le musée des Confluences, l’un des grands musées contemporains français (3 étoiles au Guide Vert Michelin 2020, ce qui signifie « vaut le voyage »).
La Croix Rousse, son street art et sa « maison des Canuts »
La deuxième colline de Lyon a une identité forte avec ses bâtiments étagés à flanc de colline.
Depuis le 19e siècle, la Croix-Rousse est « la colline qui travaille », par opposition à Fourvière, « la colline qui prie ».
Quartier de la soierie lyonnaise, elle résonnait au 19e siècle du son des « Bistanclaques », surnom donné aux métiers à tisser par les Lyonnais. 30 000 canuts (ouvriers de la soie) faisaient alors vivre le quartier et la ville était un centre majeur du textile en Europe.
Entre traboules et escaliers le quartier a gardé ses immeubles conçus spécialement pour abriter les métiers à tisser.
Les pentes et le plateau conservent leur vie de quartier et un esprit de village et les ateliers de soierie traditionnels, les boutiques de jeunes créateurs perpétuent l’esprit des canuts.
Hier ouvrière, la Croix-Rousse devient un quartier d’artistes où des œuvres de street-art s’affichent dans les rues qui ont conservé l’esprit rebelle des canuts !
A voir : la Maison des Canuts et ses soieries d’exception. Les salles d’exposition vous font découvrir la fabrication des fils d’or, le cycle du ver à soie, l’apport social des canuts, l’invention de Jacquard et la réalité de l’industrie textile .
Le jardin des Chartreux Clos Saint Benoit : créé en 1855 sur 10,3 hectares répartis en trois terrasses, ce parc paysagé est planté d’espaces rares. La Fresque des canuts, un trompe-l'œil évolutif peint sur une surface aveugle de 1 200 mètres carrés qui raconte l’ambiance et la vie du quartier avec ses maisons, ses escaliers et ses habitants. Créé en 1987, il est régulièrement actualisé en tenant comte des transformations du quartier.
Depuis le 19e siècle, la Croix-Rousse est « la colline qui travaille », par opposition à Fourvière, « la colline qui prie ».
Quartier de la soierie lyonnaise, elle résonnait au 19e siècle du son des « Bistanclaques », surnom donné aux métiers à tisser par les Lyonnais. 30 000 canuts (ouvriers de la soie) faisaient alors vivre le quartier et la ville était un centre majeur du textile en Europe.
Entre traboules et escaliers le quartier a gardé ses immeubles conçus spécialement pour abriter les métiers à tisser.
Les pentes et le plateau conservent leur vie de quartier et un esprit de village et les ateliers de soierie traditionnels, les boutiques de jeunes créateurs perpétuent l’esprit des canuts.
Hier ouvrière, la Croix-Rousse devient un quartier d’artistes où des œuvres de street-art s’affichent dans les rues qui ont conservé l’esprit rebelle des canuts !
A voir : la Maison des Canuts et ses soieries d’exception. Les salles d’exposition vous font découvrir la fabrication des fils d’or, le cycle du ver à soie, l’apport social des canuts, l’invention de Jacquard et la réalité de l’industrie textile .
Le jardin des Chartreux Clos Saint Benoit : créé en 1855 sur 10,3 hectares répartis en trois terrasses, ce parc paysagé est planté d’espaces rares. La Fresque des canuts, un trompe-l'œil évolutif peint sur une surface aveugle de 1 200 mètres carrés qui raconte l’ambiance et la vie du quartier avec ses maisons, ses escaliers et ses habitants. Créé en 1987, il est régulièrement actualisé en tenant comte des transformations du quartier.
Lyon capitale du « smart tourism »
La Métropole de Lyon devenait en 2019 la première Capitale européenne du « Smart tourisme » avec Helsinki.
Décerné par l’Union Européenne, ce prix récompense les villes les plus innovantes et responsables en matière de tourisme. Il prend en considération le respect du patrimoine et de l'environnement, l’accessibilité, la créativité pour un tourisme différent.
« C’est avant tout un état d’esprit partagé par l'ensemble des acteurs de la ville pour améliorer toutes les expériences de Lyon : transports, aménagements urbains, culture, grands projets.... Aussi bien pour les habitants que pour les touristes, pour qu'ensemble nous profitions pleinement de la vie lyonnaise », expliquent les initiateurs.
La métropole créait en 2011 le label : « Lyon, Ville Équitable et Durable » qui vise à promouvoir une économie locale, respectueuse de l’environnement, sociale et solidaire. En la matière, elle est la première en France.
Placée au cœur de la vie urbaine lyonnaise, l’accessibilité était récompensée aux « Access City Awards » en remportant le 1er prix 2018 des villes les plus accessibles.
Lyon veut être une ville ouverte à tous les publics, à tous les budgets, pour tous les goûts, une ville culturelle et créative, qui respecte son patrimoine et ses habitants.
Ainsi, depuis presque 30 ans, la convention Traboule permet par exemple d’accéder à ce patrimoine exceptionnel tout en garantissant aux propriétaires et locataires propreté et tranquillité.
Au-delà de son patrimoine architectural et culturel, la ville s’impose comme capitale de la gastronomie. Le label Les Bouchons Lyonnais et Les Toques Blanches Lyonnaises garantissent l’authenticité, la qualité et la pérennisation des bouchons et des spécialités.
Et cet esprit d’innovation va bien au-delà de la métropole de Lyon ou de sa région. Pour la première fois dans l’histoire de la gastronomie française, trois grandes régions, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Provence-Alpes-Côte d’Azur réunissent leurs atouts et leurs territoires pour lancer une nouvelle destination touristique dédiée à la gastronomie : la Vallée de la Gastronomie-France.
Décerné par l’Union Européenne, ce prix récompense les villes les plus innovantes et responsables en matière de tourisme. Il prend en considération le respect du patrimoine et de l'environnement, l’accessibilité, la créativité pour un tourisme différent.
« C’est avant tout un état d’esprit partagé par l'ensemble des acteurs de la ville pour améliorer toutes les expériences de Lyon : transports, aménagements urbains, culture, grands projets.... Aussi bien pour les habitants que pour les touristes, pour qu'ensemble nous profitions pleinement de la vie lyonnaise », expliquent les initiateurs.
La métropole créait en 2011 le label : « Lyon, Ville Équitable et Durable » qui vise à promouvoir une économie locale, respectueuse de l’environnement, sociale et solidaire. En la matière, elle est la première en France.
Placée au cœur de la vie urbaine lyonnaise, l’accessibilité était récompensée aux « Access City Awards » en remportant le 1er prix 2018 des villes les plus accessibles.
Lyon veut être une ville ouverte à tous les publics, à tous les budgets, pour tous les goûts, une ville culturelle et créative, qui respecte son patrimoine et ses habitants.
Ainsi, depuis presque 30 ans, la convention Traboule permet par exemple d’accéder à ce patrimoine exceptionnel tout en garantissant aux propriétaires et locataires propreté et tranquillité.
Au-delà de son patrimoine architectural et culturel, la ville s’impose comme capitale de la gastronomie. Le label Les Bouchons Lyonnais et Les Toques Blanches Lyonnaises garantissent l’authenticité, la qualité et la pérennisation des bouchons et des spécialités.
Et cet esprit d’innovation va bien au-delà de la métropole de Lyon ou de sa région. Pour la première fois dans l’histoire de la gastronomie française, trois grandes régions, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Provence-Alpes-Côte d’Azur réunissent leurs atouts et leurs territoires pour lancer une nouvelle destination touristique dédiée à la gastronomie : la Vallée de la Gastronomie-France.
Beaujolais, reconnu par l’UNESCO et site emblématique de la région
Le Beaujolais, est le premier vignoble au monde reconnu en 2018 Géoparc Mondial de l’UNESCO.
Ce label le récompense pour sa géologie exceptionnelle, sa préservation et la pédagogie qui en découle. Véritable atout du territoire, le Géoparc Beaujolais est désormais un des « Site touristique Emblématique de la région Auvergne-Rhône-Alpes » en raison du rayonnement qu’il lui apporte.
Des contreforts du Massif Central à la Vallée d'Azergues, jusqu'au Val de Saône, les sols beaujolais ont évolué au fil des siècles, le dotant d'une géologie parmi les plus complexes en France.
L'exemple le plus probant est le vin Beaujolais, un seul cépage, le Gamay, mais 12 Appellations d'Origine Contrôlées (AOC), toutes différentes grâce à la diversité des sols !
Explorer le Géoparc Beaujolais, c'est partir à l'assaut des géosites spécifiques du terroir.
Zones de pâturages, de forêts ou de vignes, il suffit de prendre de la hauteur depuis les sommets du Mont Brouilly, du Mont Saint-Rigaud ou de la Terrasse de Chiroubles pour comprendre la complexité des paysages. Pierres dorées, pierres blanches, pierres grises, roches granitiques volcaniques, calcaires ou argile habillent les villages.
Situé en bordure du Massif Central, au Nord-Ouest de Lyon, en regard immédiat des Alpes, délimité à l'Est par la vallée de la Saône, l'histoire géologique du Beaujolais, vieille de plusieurs centaines de millions d'années, se conjugue ici au présent, dans les activités de l'homme, de l'histoire, du patrimoine, de la culture et de la vie quotidienne.
Possibilités d’initiation à la dégustation des vins du Beaujolais et découverte des terroirs, balades accompagnées, visites guidées, ateliers découverte des métiers traditionnels etc.
Plus d’infos : www.destination-beaujolais.com/geoparc
A savoir : les géoparcs mondiaux UNESCO sont des espaces géographiques unifiés, où les sites et paysages de portée géologique internationale sont gérés selon un concept global de protection, d’éducation et de développement durable. Leur approche « partant de la base » et associant la conservation et le développement durable tout en impliquant les communautés locales devient de plus en plus populaire. A ce jour, on compte 147 géoparcs mondiaux UNESCO dans 41 pays.
Ce label le récompense pour sa géologie exceptionnelle, sa préservation et la pédagogie qui en découle. Véritable atout du territoire, le Géoparc Beaujolais est désormais un des « Site touristique Emblématique de la région Auvergne-Rhône-Alpes » en raison du rayonnement qu’il lui apporte.
Des contreforts du Massif Central à la Vallée d'Azergues, jusqu'au Val de Saône, les sols beaujolais ont évolué au fil des siècles, le dotant d'une géologie parmi les plus complexes en France.
L'exemple le plus probant est le vin Beaujolais, un seul cépage, le Gamay, mais 12 Appellations d'Origine Contrôlées (AOC), toutes différentes grâce à la diversité des sols !
Explorer le Géoparc Beaujolais, c'est partir à l'assaut des géosites spécifiques du terroir.
Zones de pâturages, de forêts ou de vignes, il suffit de prendre de la hauteur depuis les sommets du Mont Brouilly, du Mont Saint-Rigaud ou de la Terrasse de Chiroubles pour comprendre la complexité des paysages. Pierres dorées, pierres blanches, pierres grises, roches granitiques volcaniques, calcaires ou argile habillent les villages.
Situé en bordure du Massif Central, au Nord-Ouest de Lyon, en regard immédiat des Alpes, délimité à l'Est par la vallée de la Saône, l'histoire géologique du Beaujolais, vieille de plusieurs centaines de millions d'années, se conjugue ici au présent, dans les activités de l'homme, de l'histoire, du patrimoine, de la culture et de la vie quotidienne.
Possibilités d’initiation à la dégustation des vins du Beaujolais et découverte des terroirs, balades accompagnées, visites guidées, ateliers découverte des métiers traditionnels etc.
Plus d’infos : www.destination-beaujolais.com/geoparc
A savoir : les géoparcs mondiaux UNESCO sont des espaces géographiques unifiés, où les sites et paysages de portée géologique internationale sont gérés selon un concept global de protection, d’éducation et de développement durable. Leur approche « partant de la base » et associant la conservation et le développement durable tout en impliquant les communautés locales devient de plus en plus populaire. A ce jour, on compte 147 géoparcs mondiaux UNESCO dans 41 pays.
Villefranche-sur-Saône, capitale du Beaujolais sur la route des vins
A une trentaine de kilomètres de Lyon, Villefranche-sur-Saône porte le label « Ville et pays d’art et d’histoire ». Une distinction bien méritée au vu de la richesse historique et culturelle léguée par son histoire, de ses trésors urbains, de ses hôtels particuliers, ses cours intérieures.
L’Office de Tourisme a mis au point un parcours de 24 étapes, le « Circuit des trésors cachés » à embarquer sur smartphone avec audio-guides ou guide-conférencier sur réservation.
Une idée parmi d'autres : la Route des vins du Beaujolais et les villages de Pierres Dorées. Ce sont 140 kilomètres du Nord de Lyon au Sud de Mâcon, porte de la Bourgogne, 12 appellations à découvrir et des centaines de villages à parcourir à travers des paysages bucoliques.
En direction du Sud, c'est la petite Toscane beaujolaise aux villages en « pierres dorées ». Cette pierre spéciale de calcaire teinté avec des oxydes de fer change de couleurs au fil du jour.
www.tourisme.fr/2912/office-de-tourisme-villefranche-sur-saone.htm
L’Office de Tourisme a mis au point un parcours de 24 étapes, le « Circuit des trésors cachés » à embarquer sur smartphone avec audio-guides ou guide-conférencier sur réservation.
Une idée parmi d'autres : la Route des vins du Beaujolais et les villages de Pierres Dorées. Ce sont 140 kilomètres du Nord de Lyon au Sud de Mâcon, porte de la Bourgogne, 12 appellations à découvrir et des centaines de villages à parcourir à travers des paysages bucoliques.
En direction du Sud, c'est la petite Toscane beaujolaise aux villages en « pierres dorées ». Cette pierre spéciale de calcaire teinté avec des oxydes de fer change de couleurs au fil du jour.
www.tourisme.fr/2912/office-de-tourisme-villefranche-sur-saone.htm
Les Monts du Lyonnais, le pays du saucisson, des fruits rouges et des forêts sacrées
Situés sur deux départements, la Loire et le Rhône, les Monts du lyonnais sont une limite naturelle pour les deux grands pôles urbains de Rhône-Alpes, Lyon au Nord-Est, et Saint-Étienne au Sud-Ouest.
Ils dominent la vallée de la Brévenne et la plaine du Forez à l'Ouest, la vallée du Gier et la vallée du Rhône à l'Est. Leurs sommets offrent un magnifique panorama sur la chaîne des Alpes. C’est un territoire aux paysages de moyenne montagne et une terre de culture qui offre de nombreux produits du terroir riches en saveurs.
Des villages de caractère aux aqueducs de Lyon, en passant par d’imposants châteaux, les Monts du Lyonnais ont mille et une histoires à raconter.
Une vingtaine de petites villes abondamment fleuries sont situées sur ce territoire formé par une mosaïque de paysages. Elles sont souvent auréolées de légendes druidiques (Brullioles), de faits d’armes médiévaux, du passage lointain de Jacques Cœur (Bruissieu), ou placé sur les Chemins de Compostelle. Elles sont « stations vertes ».
b[Saint-Martin-en-Haut, la plus grande commune rurale du Rhône, est l’une des portes d’accès aux Monts du Lyonnais. La commune possède plus de 200 kilomètres de sentiers. Certains proposent des balades ludiques pour les enfants.
Saint-Symphorien-sur-Coise est l’un des 100 plus beaux détours de France pour son bourg historique, son église collégiale. Célèbre pour ses salaisons, il est aussi considéré comme la capitale du saucisson.
C’est un territoire qui possède d’intéressantes curiosités naturelles ou venues de la nuit des temps à l’instar du Crêt des Courtines, qui possède un important site mégalithique.
Au bas des Courtines, on peut encore apercevoir les vestiges de l'aqueduc romain qui captait les sources de l'Orjolle, petit ruisseau qui tire son nom de quelques légendaires pépites d'or trouvées dans son cours.
Pour une balade mystique, il faut aller au cœur du bois de Maintignieux, une ancienne forêt sacrée où trône la Roche Mathiole, lieu sacré autrefois pour les druides d’origine celtique vénérant leurs dieux.
Dans ce département, les amoureux du patrimoine bâti trouvent de nombreuses richesses héritées du passé, chapelles et églises romanes, anciens moulins, aqueducs et voies romaines.
De leur côté, les amateurs de randonnées et de loisirs de plein air dispose d’un vaste terrain de jeu avec des dizaines de kilomètres de sentiers balisés, des sites d’escalade, des lacs, une nature préservée et de magnifiques panoramas.
Ils dominent la vallée de la Brévenne et la plaine du Forez à l'Ouest, la vallée du Gier et la vallée du Rhône à l'Est. Leurs sommets offrent un magnifique panorama sur la chaîne des Alpes. C’est un territoire aux paysages de moyenne montagne et une terre de culture qui offre de nombreux produits du terroir riches en saveurs.
Des villages de caractère aux aqueducs de Lyon, en passant par d’imposants châteaux, les Monts du Lyonnais ont mille et une histoires à raconter.
Une vingtaine de petites villes abondamment fleuries sont situées sur ce territoire formé par une mosaïque de paysages. Elles sont souvent auréolées de légendes druidiques (Brullioles), de faits d’armes médiévaux, du passage lointain de Jacques Cœur (Bruissieu), ou placé sur les Chemins de Compostelle. Elles sont « stations vertes ».
b[Saint-Martin-en-Haut, la plus grande commune rurale du Rhône, est l’une des portes d’accès aux Monts du Lyonnais. La commune possède plus de 200 kilomètres de sentiers. Certains proposent des balades ludiques pour les enfants.
Saint-Symphorien-sur-Coise est l’un des 100 plus beaux détours de France pour son bourg historique, son église collégiale. Célèbre pour ses salaisons, il est aussi considéré comme la capitale du saucisson.
C’est un territoire qui possède d’intéressantes curiosités naturelles ou venues de la nuit des temps à l’instar du Crêt des Courtines, qui possède un important site mégalithique.
Au bas des Courtines, on peut encore apercevoir les vestiges de l'aqueduc romain qui captait les sources de l'Orjolle, petit ruisseau qui tire son nom de quelques légendaires pépites d'or trouvées dans son cours.
Pour une balade mystique, il faut aller au cœur du bois de Maintignieux, une ancienne forêt sacrée où trône la Roche Mathiole, lieu sacré autrefois pour les druides d’origine celtique vénérant leurs dieux.
Dans ce département, les amoureux du patrimoine bâti trouvent de nombreuses richesses héritées du passé, chapelles et églises romanes, anciens moulins, aqueducs et voies romaines.
De leur côté, les amateurs de randonnées et de loisirs de plein air dispose d’un vaste terrain de jeu avec des dizaines de kilomètres de sentiers balisés, des sites d’escalade, des lacs, une nature préservée et de magnifiques panoramas.
L'Ain, une destination gourmande aux produits d'excellence
La fameuse volaille de Bresse (Poulet de Bresse, Poularde de Bresse, Chapon de Bresse) : seule volaille AOP du monde - DR : CRT ARA
Au nord de Lyon, l’Ain (Préfecture Bourg-en-Bresse) est un département qui se scinde en quatre « pays » : Bresse, Gex, Dombes, Bugey. Ses paysages naturels se juxtaposent sans se ressembler.
A l’Ouest, les plaines (Bresse, Plaine de l'Ain, Val de Saône) et les bas-plateaux (Dombes).
A l’Est, le territoire des cluses, des vallées et des montagnes avec les sommets du Jura, dont le Crêt de la Neige culmine à 1 720 mètres. Au milieu coule une rivière, l’Ain.
Le département possède de belles richesses patrimoniales : musées, châteaux, étangs, lacs, marais...
En voici quelques exemples : le château des Allymes est une des rares fortifications dont on effectue le tour complet par le chemin de ronde.
Le monastère à Ambronay fondé vers l’an 800 qui connut un grand rayonnement jusqu'à la fin du 15e siècle.
Le parc de Montcornelles, un chantier médiéval de reconstruction d’un village du 14e siècle situé dans le Bugey.
Le lac de Sylans d’une superficie de près de 50 hectares fut l’un des plus importants chantiers de glace du 19e siècle. La livraison allait jusqu’à Alger !
A travers ses territoires, le département propose une découverte de 28 sites remarquables ouverts au public.
Il a sa place dans les grandes destinations gourmandes et se distingue par une diversité rare de spécialités du terroir et de produits d'excellence. Dans son panier, 14 produits gastronomiques labellisés AOP, AOC, IGP et Label Rouge.
Parmi les produits d'Appellation d’Origine Protégée (AOP) : le Comté, le Bleu de Gex, Beurre de Bresse, la Crème de Bresse, le Morbier, la dinde de Bresse et la fameuse volaille de Bresse (Poulet de Bresse, Poularde de Bresse, Chapon de Bresse), seule volaille AOP du monde !
Auxquels on peut ajouter les fleurons du terroir aindinois connus au-delà de leurs zones d’appellation. Les grenouilles cuisinées façon Dombes, les poissons de la Dombes, les célèbres quenelles en tartes et autres galettes.
A l’Ouest, les plaines (Bresse, Plaine de l'Ain, Val de Saône) et les bas-plateaux (Dombes).
A l’Est, le territoire des cluses, des vallées et des montagnes avec les sommets du Jura, dont le Crêt de la Neige culmine à 1 720 mètres. Au milieu coule une rivière, l’Ain.
Le département possède de belles richesses patrimoniales : musées, châteaux, étangs, lacs, marais...
En voici quelques exemples : le château des Allymes est une des rares fortifications dont on effectue le tour complet par le chemin de ronde.
Le monastère à Ambronay fondé vers l’an 800 qui connut un grand rayonnement jusqu'à la fin du 15e siècle.
Le parc de Montcornelles, un chantier médiéval de reconstruction d’un village du 14e siècle situé dans le Bugey.
Le lac de Sylans d’une superficie de près de 50 hectares fut l’un des plus importants chantiers de glace du 19e siècle. La livraison allait jusqu’à Alger !
A travers ses territoires, le département propose une découverte de 28 sites remarquables ouverts au public.
Il a sa place dans les grandes destinations gourmandes et se distingue par une diversité rare de spécialités du terroir et de produits d'excellence. Dans son panier, 14 produits gastronomiques labellisés AOP, AOC, IGP et Label Rouge.
Parmi les produits d'Appellation d’Origine Protégée (AOP) : le Comté, le Bleu de Gex, Beurre de Bresse, la Crème de Bresse, le Morbier, la dinde de Bresse et la fameuse volaille de Bresse (Poulet de Bresse, Poularde de Bresse, Chapon de Bresse), seule volaille AOP du monde !
Auxquels on peut ajouter les fleurons du terroir aindinois connus au-delà de leurs zones d’appellation. Les grenouilles cuisinées façon Dombes, les poissons de la Dombes, les célèbres quenelles en tartes et autres galettes.
Le lac de Sylans, l’un des plus importants chantiers de glace du 19e siècle
Tout commence avec un cafetier de Nantua, Joachim Moinat, qui rafraîchit dans le lac de Sylans, à l’eau très pure, les boissons de ses clients.
En 1864, il décide de consacrer son activité à l'exploitation de la glace en raison de la situation géographique et du faible ensoleillement du site.
Il obtiendra l'accord des communes des Neyrolles et du Poizat, propriétaires, et sera le seul exploitant. Son activité se développera et emploiera jusqu'à 300 ouvriers en deux équipes de jour et de nuit.
L'ouverture de la ligne des Carpates en 1882 et le raccordement du site au réseau de voie ferrée de la compagnie Paris-Lyon-Méditerranée lui ouvriront de nouveaux débouchés.
A la fin du 19e siècle, à son plein rendement, les glacières pouvaient entreposer jusqu’à 70 000 m³ de glace. Construites le plus à l’ombre, elles étaient surmontées d’une dalle de béton qui renforçaient la conservation jusqu’à l’été.
Lors des gros hivers, la production de glace s’élevait jusqu'à 300 000 tonnes. Chaque jour, une quarantaine de wagons quittaient le chantier. Ils étaient couverts de toile de jute, puis de 20 centimètres de paille et enfin de bâches de protection avec mention « ne pas différer ».
Sur dix tonnes partant de Sylans, huit arrivent à Paris. L’ancien cafetier fournissait aussi Lyon, Toulon, Marseille, Genève et Alger.
L’activité a décliné rapidement au tournant du 20e siècle avant l’arrivée massive du réfrigérateur dans les familles. La raison ? Déjà le réchauffement climatique rendait la récolte de glace moins importante disent les spécialises.
En 1926, les Glacières de Paris, à la fin de leur bail, rendent aux communes le site de Sylans dont les installations sont démontées et les bâtiments laissés à l’abandon. Rachetés fin 2007 par la Communauté de Commune du lac de Nantua, les lieux sont réhabilités et aménagés, un circuit d'interprétation permet de mieux comprendre ce site unique.
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En 1864, il décide de consacrer son activité à l'exploitation de la glace en raison de la situation géographique et du faible ensoleillement du site.
Il obtiendra l'accord des communes des Neyrolles et du Poizat, propriétaires, et sera le seul exploitant. Son activité se développera et emploiera jusqu'à 300 ouvriers en deux équipes de jour et de nuit.
L'ouverture de la ligne des Carpates en 1882 et le raccordement du site au réseau de voie ferrée de la compagnie Paris-Lyon-Méditerranée lui ouvriront de nouveaux débouchés.
A la fin du 19e siècle, à son plein rendement, les glacières pouvaient entreposer jusqu’à 70 000 m³ de glace. Construites le plus à l’ombre, elles étaient surmontées d’une dalle de béton qui renforçaient la conservation jusqu’à l’été.
Lors des gros hivers, la production de glace s’élevait jusqu'à 300 000 tonnes. Chaque jour, une quarantaine de wagons quittaient le chantier. Ils étaient couverts de toile de jute, puis de 20 centimètres de paille et enfin de bâches de protection avec mention « ne pas différer ».
Sur dix tonnes partant de Sylans, huit arrivent à Paris. L’ancien cafetier fournissait aussi Lyon, Toulon, Marseille, Genève et Alger.
L’activité a décliné rapidement au tournant du 20e siècle avant l’arrivée massive du réfrigérateur dans les familles. La raison ? Déjà le réchauffement climatique rendait la récolte de glace moins importante disent les spécialises.
En 1926, les Glacières de Paris, à la fin de leur bail, rendent aux communes le site de Sylans dont les installations sont démontées et les bâtiments laissés à l’abandon. Rachetés fin 2007 par la Communauté de Commune du lac de Nantua, les lieux sont réhabilités et aménagés, un circuit d'interprétation permet de mieux comprendre ce site unique.
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