La Mamounia c’est également un potager bio, des jardins sur 8 hectares, des courts de tennis, un spa de 2 500 m². Au total, près d’un millier de personnes y sont employés
Six mois après sa réouverture, le succès est au rendez vous pour la Mamounia, hôtel de légende au cœur de Marrakech.
Effet nouveauté ou snobisme, Français en tête (22% de la clientèle), Italiens, Espagnols, Américains, mais aussi Allemands, Russes et Brésiliens sont au rendez-vous.
Les agences de la côte Est des Etats-Unis et du Canada se montrent particulièrement enthousiastes. Le marché britannique en revanche reste en retrait.
« Nous sommes au-delà de nos attentes et de notre budget (…) Nous avons affiché complet ces derniers week-ends. Jusqu’en juin, les prévisions sont bonnes, alors même que nous entamons la saison basse.
Mais il faut dire que la Mamounia était attendue et que le grand luxe ne connait pas la crise », indique Denys Courtier, directeur exécutif.
La Mamounia, c’est l’histoire d’un hôtel de légende, ouvert dans les années 20 et qui a vu passer nombre de célébrités.
Effet nouveauté ou snobisme, Français en tête (22% de la clientèle), Italiens, Espagnols, Américains, mais aussi Allemands, Russes et Brésiliens sont au rendez-vous.
Les agences de la côte Est des Etats-Unis et du Canada se montrent particulièrement enthousiastes. Le marché britannique en revanche reste en retrait.
« Nous sommes au-delà de nos attentes et de notre budget (…) Nous avons affiché complet ces derniers week-ends. Jusqu’en juin, les prévisions sont bonnes, alors même que nous entamons la saison basse.
Mais il faut dire que la Mamounia était attendue et que le grand luxe ne connait pas la crise », indique Denys Courtier, directeur exécutif.
La Mamounia, c’est l’histoire d’un hôtel de légende, ouvert dans les années 20 et qui a vu passer nombre de célébrités.
L’ancien mobilier aura rapporté près de 3 millions d’euros
Winston Churchill aimait s’y retrouver pour peindre ; hommes politiques mais aussi réalisateurs, stars de cinéma, groupes de rock, créateurs de mode, à l’instar de Martin Scorcese, Oliver Stone, Sharon Stone, Kate Winslet, Yves Saint Laurent, Jean Paul Gauthier ou Johnny Hallyday.
Vendu aux enchères, l’ancien mobilier aura rapporté près de 3 millions d’euros à la Compagnie des chemins de fer marocains, propriétaire des lieux.
Aujourd’hui, l’hôtel de style arabo-andalous compte 210 clés. « Le prix moyen s’établit à 800-850 euros », précise Denys Courtier.
Faisant la part belle aux produits du terroir, les grands chefs italien Don Alfonso, français Jean-Pierre Vigato et marocain Rachid Agouray officient en cuisine.
La Mamounia c’est également un potager bio, des jardins sur 8 hectares, des courts de tennis, un spa de 2 500 m². Au total, près d’un millier de personnes y sont employés.
Petit bémol, les liaisons aériennes régulières directes avec Marrakech. La ville ocre est plutôt bien desservie par les vols low-cost et charter, mais beaucoup moins par les grandes compagnies régulières.
A moins de passer par Casablanca. « C’est un vrai problème lorsque l’on travaille avec une clientèle attachée à la qualité du service », souligne le directeur de la Mamounia.
Vendu aux enchères, l’ancien mobilier aura rapporté près de 3 millions d’euros à la Compagnie des chemins de fer marocains, propriétaire des lieux.
Aujourd’hui, l’hôtel de style arabo-andalous compte 210 clés. « Le prix moyen s’établit à 800-850 euros », précise Denys Courtier.
Faisant la part belle aux produits du terroir, les grands chefs italien Don Alfonso, français Jean-Pierre Vigato et marocain Rachid Agouray officient en cuisine.
La Mamounia c’est également un potager bio, des jardins sur 8 hectares, des courts de tennis, un spa de 2 500 m². Au total, près d’un millier de personnes y sont employés.
Petit bémol, les liaisons aériennes régulières directes avec Marrakech. La ville ocre est plutôt bien desservie par les vols low-cost et charter, mais beaucoup moins par les grandes compagnies régulières.
A moins de passer par Casablanca. « C’est un vrai problème lorsque l’on travaille avec une clientèle attachée à la qualité du service », souligne le directeur de la Mamounia.