Gênes, mercredi 12 avril. Au loin se dessine la silhouette massive et élancée du MSC World Europa. Quelque 330 agents de voyages et professionnels du tourisme français s’apprêtent à monter à bord.
Même si la météo est maussade, l’effet waouh est immédiat. De par ses dimensions (plus de 330 mètres de long, 47 mètres de large et une hauteur de 68 mètres), le navire impressionne.
Il s’agit du plus grand jamais construit chez MSC. Le plus vertueux aussi (voir ci-dessous).
Même si la météo est maussade, l’effet waouh est immédiat. De par ses dimensions (plus de 330 mètres de long, 47 mètres de large et une hauteur de 68 mètres), le navire impressionne.
Il s’agit du plus grand jamais construit chez MSC. Le plus vertueux aussi (voir ci-dessous).
Les formalités d’embarquement passées, chacun s’empresse de découvrir sa cabine. Ouvrant sur la mer grâce à son balcon, celle-ci dispose d’un large canapé et d’un lit King Size.
Comme souvent sur les flots, la literie est excellente, propice à un sommeil réparateur, et surtout bien loin de toute effervescence urbaine.
Les cabines de la catégorie Deluxe Balcony sont extrêmement fonctionnelles. Le mobilier est agencé de telle sorte que l’on peut facilement travailler si l’on en éprouve le besoin. Un bureau notamment permet de facilement connecter son ordinateur.
Comme souvent sur les flots, la literie est excellente, propice à un sommeil réparateur, et surtout bien loin de toute effervescence urbaine.
Les cabines de la catégorie Deluxe Balcony sont extrêmement fonctionnelles. Le mobilier est agencé de telle sorte que l’on peut facilement travailler si l’on en éprouve le besoin. Un bureau notamment permet de facilement connecter son ordinateur.
MSC World Europa : la « World Promenade », cœur battant du navire
Souhaitant incarner le futur de la croisière, le MSC World Europa abrite une gigantesque « World Promenade », sans aucun doute l’espace le plus impressionnant du navire qui donne directement sur la mer.
S’intégrant sur les ponts 6, 7 et 8, d’une longueur de 104 mètres, c’est le cœur battant du bateau.
De jour comme de nuit, on s’y donne rendez-vous pour aller se restaurer, boire un verre, faire du shopping ou encore profiter des nombreux divertissements proposés.
La « World Promenade » se prolonge par une galerie s’étirant sur plus de 300 m2 et couverte d’un dôme en LED, ce qui confère à l’endroit un p’tit Las Vegas sur mer.
L’avantage de monter à bord du MSC World Europa, c’est d’avoir le choix. Le choix entre 13 restaurants et pas moins de 20 bars et lounges. Parmi les restaurants de spécialités, une mention spéciale pour La Pescaderia. Tout dans la décoration rappelle l’univers maritime.
Le personnel en marinière est attentionné. Ce qui n’est pas pour déplaire, certains serveurs s’expriment parfaitement en Français.
Les mets sont aussi variés qu’ils sont joliment présentés. Parmi les autres restaurants de spécialités (en option) , citons le Kaito Sushi Bar, le Butcher’s Cut (viande), le Hola Tacos & Cantina ou le Chef’s Garden Kitchen.
Ce dernier a été conçu avec le Chef suédois étoilé Michelin Niklas Ekstedt. Ici l’accent est mis sur des ingrédients naturels et une approche éthique favorisant des circuits courts, de la ferme à la table.
Ce nouveau restaurant a la particularité d’être équipé du tout premier jardin hydroponique (cultiver des plantes et légumes – sans terre – dans des espaces réduits) en mer afin d’offrir aux hôtes une expérience immersive.
S’intégrant sur les ponts 6, 7 et 8, d’une longueur de 104 mètres, c’est le cœur battant du bateau.
De jour comme de nuit, on s’y donne rendez-vous pour aller se restaurer, boire un verre, faire du shopping ou encore profiter des nombreux divertissements proposés.
La « World Promenade » se prolonge par une galerie s’étirant sur plus de 300 m2 et couverte d’un dôme en LED, ce qui confère à l’endroit un p’tit Las Vegas sur mer.
L’avantage de monter à bord du MSC World Europa, c’est d’avoir le choix. Le choix entre 13 restaurants et pas moins de 20 bars et lounges. Parmi les restaurants de spécialités, une mention spéciale pour La Pescaderia. Tout dans la décoration rappelle l’univers maritime.
Le personnel en marinière est attentionné. Ce qui n’est pas pour déplaire, certains serveurs s’expriment parfaitement en Français.
Les mets sont aussi variés qu’ils sont joliment présentés. Parmi les autres restaurants de spécialités (en option) , citons le Kaito Sushi Bar, le Butcher’s Cut (viande), le Hola Tacos & Cantina ou le Chef’s Garden Kitchen.
Ce dernier a été conçu avec le Chef suédois étoilé Michelin Niklas Ekstedt. Ici l’accent est mis sur des ingrédients naturels et une approche éthique favorisant des circuits courts, de la ferme à la table.
Ce nouveau restaurant a la particularité d’être équipé du tout premier jardin hydroponique (cultiver des plantes et légumes – sans terre – dans des espaces réduits) en mer afin d’offrir aux hôtes une expérience immersive.
Expériences culinaires et cocktails immersifs
Aussi incroyable que cela puisse paraitre, le navire dispose de sa propre micro-brasserie. Celle-ci élabore en mer une gamme de bières, « Oceanic », produite avec de l’eau désalinisée.
Pour déguster le breuvage, il faut se rendre au pub Masters of the Sea. A moins que l’on préfère s’amuser et s’enivrer - avec modération bien sûr – au Botanic Garden Bar, The Gin Project, Fizz – Champagne Bar, ou Elixir Mixology Bar, autant d’endroits qui sont à eux-seuls une invitation au voyage.
Le choix pour le passager s’exprime également à travers la palette de divertissements proposés. Le plus visible et spectaculaire est incontestablement le Venom Drop The Spiral. L’attraction est présentée comme étant « le plus long toboggan sec en mer » avec une hauteur équivalent à 11 ponts.
Le succès est tel qu’il faut cependant s’armer de patience avant de tenter sa chance. Situé sur le pont 20, le MSC World Europa possède un vaste parc aquatique, là encore le plus grand de sa flotte.
Celles et ceux qui ne veulent pas se mouiller peuvent retrouver une partie leur enfance ou adolescence en montant à bord d’autos tamponneuses. Oui c’est possible et plutôt exaltant de faire cela pendant que l’on navigue en Méditerranée ou ailleurs.
Pour déguster le breuvage, il faut se rendre au pub Masters of the Sea. A moins que l’on préfère s’amuser et s’enivrer - avec modération bien sûr – au Botanic Garden Bar, The Gin Project, Fizz – Champagne Bar, ou Elixir Mixology Bar, autant d’endroits qui sont à eux-seuls une invitation au voyage.
Le choix pour le passager s’exprime également à travers la palette de divertissements proposés. Le plus visible et spectaculaire est incontestablement le Venom Drop The Spiral. L’attraction est présentée comme étant « le plus long toboggan sec en mer » avec une hauteur équivalent à 11 ponts.
Le succès est tel qu’il faut cependant s’armer de patience avant de tenter sa chance. Situé sur le pont 20, le MSC World Europa possède un vaste parc aquatique, là encore le plus grand de sa flotte.
Celles et ceux qui ne veulent pas se mouiller peuvent retrouver une partie leur enfance ou adolescence en montant à bord d’autos tamponneuses. Oui c’est possible et plutôt exaltant de faire cela pendant que l’on navigue en Méditerranée ou ailleurs.
Simplement profiter de son balcon
Avec 7 piscines et 13 bains à remous disséminés dans les différents espaces du navire, si l’on n’est pas au très select Yacht Club, on finit toujours par trouver son petit coin de paradis pour se reposer ou s’amuser. Si l’on est en quête d’une quiétude absolue, le mieux est peut-être encore de profiter de son balcon. Ne rien faire. Ne rien dire. Simplement admirer le panorama.
S’extasier devant la magie du départ à Gênes, ou l’approche d’une grande ville comme Barcelone au petit matin. Entre les deux, si l’on a les moyens, pourquoi ne pas profiter d’un soin au spa.
S’extasier devant la magie du départ à Gênes, ou l’approche d’une grande ville comme Barcelone au petit matin. Entre les deux, si l’on a les moyens, pourquoi ne pas profiter d’un soin au spa.
Des shows réglés au millimètre
Côté spectacles, le choix est toujours là. Que ce soit au Panorama Lounge (400 places), au Luna Park Arena (500 places) ou au World Theatre (1 200 places). Ni trop longs, ni trop courts, les shows sont réglés au millimètre et offrent aux spectateurs une symphonie de couleurs et de son. Pour oublier l’espace d’un instant les contraintes de nos vies trépidantes, il n’y a pas mieux.
La veille de son arrivée à Marseille, les agents de voyages ont eu droit à un concert privé de l’artiste Christophe Maé au Panorama Lounge. Une acoustique exceptionnelle, une voix remarquable pour un show maitrisé.
Lors de sa saison estivale en Méditerranée, le MSC World Europa qui possède 2 626 cabines (2 138 membres d’équipages) propose des croisières de sept jours avec des escales à Gênes, Naples et Messine en Italie, La Valette à Malte, Barcelone et donc Marseille.
Une belle opportunité pour celles et ceux qui veulent (re)partir en mer sur un bateau flambant neuf.
La veille de son arrivée à Marseille, les agents de voyages ont eu droit à un concert privé de l’artiste Christophe Maé au Panorama Lounge. Une acoustique exceptionnelle, une voix remarquable pour un show maitrisé.
Lors de sa saison estivale en Méditerranée, le MSC World Europa qui possède 2 626 cabines (2 138 membres d’équipages) propose des croisières de sept jours avec des escales à Gênes, Naples et Messine en Italie, La Valette à Malte, Barcelone et donc Marseille.
Une belle opportunité pour celles et ceux qui veulent (re)partir en mer sur un bateau flambant neuf.
« Un jour la croisière sera montrée en exemple par rapport à d’autre activités terrestres... »
Patrick Pourbaix, Directeur Général de MSC Croisières France, lors d'un point presse le 14 avril à bord du MSC World Europa. ©Jean Da Luz
« Tout le monde nous accuse, tout le monde nous montre du doigt, mais nous sommes des transitionnistes hyper actifs ». Présent lors de la première croisière en Europe du MSC World Europa, Patrick Pourbaix, directeur général de la compagnie en France, rappelle régulièrement tous les efforts effectués sur le plan environnemental.
La feuille de route est toute tracée : zéro émission nette en 2050, avec un objectif intermédiaire en 2020 de réduire de 40% les émissions de carbone. Ce parcours vers une émission zéro va bien sûr de pair avec l’utilisation de nouveaux carburants.
Le MSC World Europa est en quelque sorte la synthèse de toutes les améliorations en cours. Le navire revendique les meilleures performances au monde en termes d’émissions de CO2 par passager. C’est le premier chez MSC à fonctionner au Gaz Naturel Liquéfié (GNL), « le carburant marin le plus propre actuellement ».
Pour les spécialistes, le GNL permet d’éliminer la quasi-totalité des émissions de polluants atmosphériques, y compris les oxydes de soufre et les particules fines, ainsi que jusqu’à 85% des oxydes d’azote. Le MSC World Europa figure également au rang des premiers navires de croisière à être équipé de la technologie de piles à combustible, avec, comme le souligne Patrick Pourbaix, « des essais aux résultats très prometteurs avec la possibilité de transformer du GNL en électrique ».
Ayant la capacité de se brancher au réseau électrique à quai, le MSC World Europa va donc ainsi réduire les émissions dans les ports d’escale. Toutefois seulement quatre ports en Europe disposent actuellement des équipements nécessaires.
En France, Marseille, Nice, Toulon devraient être prêts en 2025, Le Havre un peu plus tard. MSC se dit aussi très fier quant à la gestion des déchets et du traitement des eaux usées.
« Le World Europa produit près de 4 millions de litres d’eau douce par jour » souligne le directeur général France qui aimerait qu’en, matière d’environnement « on arrête de se culpabiliser les uns les autres ».
En réalité, explique Patrick Pourbaix, « alors que c’est un des secteurs les plus propres dans le monde, les gens sont mal informés sur la croisière ». Et d’affirmer avec conviction « qu’un jour elle sera montrée en exemple par rapport à d’autre activités terrestres ».
Sur un plan plus commercial, le DG se félicite « du très bon redémarrage des réservations depuis le mois de janvier ». Tout comme l’hiver dernier qui a généré un volume d’activités en hausse de 50% par rapport au dernier hiver pré-Covid.
« On ressort de la pandémie avec quatre nouveaux bateaux plus un cinquième, l’Euribia, qui sera livré fin mai » constate Patrick Pourbaix satisfait sur 2023 d’avoir déjà « quasiment retrouvé les niveaux d’avant Covid ».
Avec « 65% des réservations d’été sont déjà engrangées », MSC France vise cette année une croissance de 30% au regard de 2019.
La feuille de route est toute tracée : zéro émission nette en 2050, avec un objectif intermédiaire en 2020 de réduire de 40% les émissions de carbone. Ce parcours vers une émission zéro va bien sûr de pair avec l’utilisation de nouveaux carburants.
Le MSC World Europa est en quelque sorte la synthèse de toutes les améliorations en cours. Le navire revendique les meilleures performances au monde en termes d’émissions de CO2 par passager. C’est le premier chez MSC à fonctionner au Gaz Naturel Liquéfié (GNL), « le carburant marin le plus propre actuellement ».
Pour les spécialistes, le GNL permet d’éliminer la quasi-totalité des émissions de polluants atmosphériques, y compris les oxydes de soufre et les particules fines, ainsi que jusqu’à 85% des oxydes d’azote. Le MSC World Europa figure également au rang des premiers navires de croisière à être équipé de la technologie de piles à combustible, avec, comme le souligne Patrick Pourbaix, « des essais aux résultats très prometteurs avec la possibilité de transformer du GNL en électrique ».
Ayant la capacité de se brancher au réseau électrique à quai, le MSC World Europa va donc ainsi réduire les émissions dans les ports d’escale. Toutefois seulement quatre ports en Europe disposent actuellement des équipements nécessaires.
En France, Marseille, Nice, Toulon devraient être prêts en 2025, Le Havre un peu plus tard. MSC se dit aussi très fier quant à la gestion des déchets et du traitement des eaux usées.
« Le World Europa produit près de 4 millions de litres d’eau douce par jour » souligne le directeur général France qui aimerait qu’en, matière d’environnement « on arrête de se culpabiliser les uns les autres ».
En réalité, explique Patrick Pourbaix, « alors que c’est un des secteurs les plus propres dans le monde, les gens sont mal informés sur la croisière ». Et d’affirmer avec conviction « qu’un jour elle sera montrée en exemple par rapport à d’autre activités terrestres ».
Sur un plan plus commercial, le DG se félicite « du très bon redémarrage des réservations depuis le mois de janvier ». Tout comme l’hiver dernier qui a généré un volume d’activités en hausse de 50% par rapport au dernier hiver pré-Covid.
« On ressort de la pandémie avec quatre nouveaux bateaux plus un cinquième, l’Euribia, qui sera livré fin mai » constate Patrick Pourbaix satisfait sur 2023 d’avoir déjà « quasiment retrouvé les niveaux d’avant Covid ».
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