Jean-Pierre Mas, en vacances au Brésil, a pris le temps de venir est présenter ce vendredi en fin d'après midi, à huis clos, les conditions et modalités du partenariat possible.
Adriana Minchella le rappelait dernièrement dans une interview à TourMaG.com, évoquant notamment les problèmes des distributeurs en butte à la défaillance de Marsans.
"Il est très difficile et de plus en plus problématique pour une agence indépendante de rester seule face à l'insolvabilité croissante des acteurs du tourisme et, notamment, des producteurs..."
Or, à ce jour, le réseau qu'elle préside ne dispose toujours pas d'une centrale de paiements.
Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé. Après un essai jugé non concluant (et pour cause) avec TB2BC, caisse des franchisés de Carlson, le Cediv est allé voir du côté de Moneydirect, système d'Amadeus.
Mais le montage financier proposé et les conditions financières ne satisfont toujours pas le Cediv.
Manor, qui jusqu'à présent s'en remettait aux recherches de son partenaire qu'il disait prêt à suivre dans le cas d'un compromis acceptable a, peu à peu, baissé pavillon.
Une position radicalement opposée à celle du Cediv et qui s'explique notamment par la nature des réseaux, l'un ouvertement majoritaire en termes de billetterie et l'autre davantage orienté tourisme et loisirs.
"Il est très difficile et de plus en plus problématique pour une agence indépendante de rester seule face à l'insolvabilité croissante des acteurs du tourisme et, notamment, des producteurs..."
Or, à ce jour, le réseau qu'elle préside ne dispose toujours pas d'une centrale de paiements.
Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé. Après un essai jugé non concluant (et pour cause) avec TB2BC, caisse des franchisés de Carlson, le Cediv est allé voir du côté de Moneydirect, système d'Amadeus.
Mais le montage financier proposé et les conditions financières ne satisfont toujours pas le Cediv.
Manor, qui jusqu'à présent s'en remettait aux recherches de son partenaire qu'il disait prêt à suivre dans le cas d'un compromis acceptable a, peu à peu, baissé pavillon.
Une position radicalement opposée à celle du Cediv et qui s'explique notamment par la nature des réseaux, l'un ouvertement majoritaire en termes de billetterie et l'autre davantage orienté tourisme et loisirs.
Une solution qui n'arrangerait guère Manor
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Cette incompréhension pourrait-elle aboutir à un clash entre Manor et son adhérent (*) ?
Poser la question c'est un peu y répondre. Selon nos informations, AS Voyages a proposé au Cediv les services de sa centrale de paiement.
Une solution plutôt vue d'un bon oeil par ses instances dirigeants.
Elle permettrait de régler une fois pour toutes le montage financier qui achoppe encore pour cause de refus des TO généralistes de faire un effort financier supplémentaire.
Pourtant, il va bien falloir qu'ils s'y fassent puisque, si l'adhésion à cette solution l'emportait, les adhérents du Cediv bénéficieraient, automatiquement, des avantages accordés aux agences de l'alliance Afat-Selectour.
Bien entendu, ce n'est pas seulement l'utilisation de la caisse de garantie qui se profile mais également des accords commerciaux qui feraient basculer, de facto, la centaine de licences du Cediv dans le giron d'AS Voyages.
Il restera à trouver les modalités juridiques de l'accord.
Une solution qui n'arrangerait guère Manor dont le périmètre tourisme loisirs se réduirait encore.
Jean-Pierre Mas, "officiellement" en vacances au Brésil, a pris le temps de venir est présenter ce vendredi en fin d'après midi, à huis clos, les conditions et modalités du partenariat envisageable.
Voilà qui ne devrait pas ravir Jean Korcia. Vaguement au courant des négociations en cours, le président de Manor, qui a ouvertement pris fait et cause pour Thomas Cook, n'a pas envie de voir partir le réseau des indépendants. Mais a-t-il vraiment le choix ?
(*) Le GIE Cediv dispose d'un siège au Conseil d'administration de Manor.
Poser la question c'est un peu y répondre. Selon nos informations, AS Voyages a proposé au Cediv les services de sa centrale de paiement.
Une solution plutôt vue d'un bon oeil par ses instances dirigeants.
Elle permettrait de régler une fois pour toutes le montage financier qui achoppe encore pour cause de refus des TO généralistes de faire un effort financier supplémentaire.
Pourtant, il va bien falloir qu'ils s'y fassent puisque, si l'adhésion à cette solution l'emportait, les adhérents du Cediv bénéficieraient, automatiquement, des avantages accordés aux agences de l'alliance Afat-Selectour.
Bien entendu, ce n'est pas seulement l'utilisation de la caisse de garantie qui se profile mais également des accords commerciaux qui feraient basculer, de facto, la centaine de licences du Cediv dans le giron d'AS Voyages.
Il restera à trouver les modalités juridiques de l'accord.
Une solution qui n'arrangerait guère Manor dont le périmètre tourisme loisirs se réduirait encore.
Jean-Pierre Mas, "officiellement" en vacances au Brésil, a pris le temps de venir est présenter ce vendredi en fin d'après midi, à huis clos, les conditions et modalités du partenariat envisageable.
Voilà qui ne devrait pas ravir Jean Korcia. Vaguement au courant des négociations en cours, le président de Manor, qui a ouvertement pris fait et cause pour Thomas Cook, n'a pas envie de voir partir le réseau des indépendants. Mais a-t-il vraiment le choix ?
(*) Le GIE Cediv dispose d'un siège au Conseil d'administration de Manor.
